Scanner A3

Démarré par michot233, Mars 22, 2017, 15:30:42

« précédent - suivant »

michot233

Bonjour.que valent en qualité les scanners A3 Plustek et mustek à 300 euros?C'est pour numériser des journaux.

jpsagaire

Bonsoir,

Un bon A3 c'est au minimum 500€, comme le PLUSTEK OpticPro A320 A3 qui semble, à voir les avis-clients sur les sites de vente, avoir bonne réputation, mais avec quasi l'obligation de devoir substituer son logiciel un peu cheap par Vuescan qui n'est pas gratuit (mais une bonne boite à outils) le site est en anglais mais le soft en français.

Pour des journaux ces deux marques peuvent suffire, reste à vérifier le rendu des couleurs qui risque de ne pas être terribles, après vaut mieux un Epson mais c'est beaucoup plus cher. Mais qui peut le plus peut le moins dit-on, et l'on devrait approcher la qualité photo à ces prix-là.

Mais si c'est vraiment que pour archiver des journaux... texte et images noir et blanc...

Amitiés

;) jp

à lire on apprend beaucoup !

Vitoret

Bonjour,

Pour le matériel lui-même, je ne sais pas.

Mais si ce n'est que pour scanner des journaux, la notion de qualité passe en arrière-plan. Ce type de document, souvent imprimé grossièrement sur du papier de qualité médiocre, comporte à la fois des textes et des photos. L'impression étant en offset, les photos sont donc tramées (définition 85 ou 100 points par pouce pour du papier bas de gamme, éventuellement 133, parfois 150 quand il s'agit d'une revue imprimée sur un papier de bonne qualité, 175 pour une impression de luxe).

L'important est que le texte soit lisible. C'est très facile d'y arriver (régler le scanner sur une définition de 300 ppp, au pire 200 ppp).

Mais, comme les photos sont tramées, il y aura forcément un effet de moirage, pas très agréable. Bien sûr on peut faire un détramage avec le logiciel de numérisation (même Silverfast SE le fait). Toutefois c'est difficile à envisager pour du A3 : cela va prendre un temps fou, d'ailleurs le logiciel et l'ordinateur caleront peut-être avant la fin.
Détramer c'est faire disparaître la trame offset d'impression, cela s'obtient en floutant l'image (donc en la dégradant), on règle le détramage en fonction de la définition de la trame offset (85 ppp, 100, 133, 150, ou 175).

Mais si l'on floute l'image on floute aussi le texte qui deviendra moins lisible. L'idéal, mais le temps à y passer est dissuasif, serait de faire deux numérisations successives :
– une sans détramage, pour les textes ;
– l'autre en détramant pour les photos.
Ensuite, dans Photoshop ou autre, on place ces deux scans sur des calques différents. Sur le scan des textes on élimine les images, et sur celui des images on élimine les textes. Le résultat sera peut-être bon, mais au prix d'un temps passé prohibitif. Après on aplatit l'image pour réduire son poids en octets.

On voit que cela représente un gros boulot, c'est pourquoi, pour de l'archivage, il vaut mieux dire adieu à la qualité et se résigner à ce que l'image scannée, non détramée, montre une information lisible, sans chercher plus loin.

Nota : on peut ne pas détramer lors de la numérisation et détramer ensuite dans Photoshop (en floutant). Mais que de travail pour peu de résultat ! Cela ne vaut le coup que lorsque l'on scanne une image isolée.

https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9tramage
https://www.papeo.fr/blog/le-moirage-effets-solutions-en-imprimerie-pas-cher/

VentdeSable

Hello,

Du moment qu'il fonctionne : n'importe lequel. Le moins cher marchera aussi bien que le plus cher.

Il peut y avoir des problèmes de translucidité du papier (la lumière du scanner traverse le journal et rebondi sur le fond blanc. Elle retraverse le journal avec les caractères du verso. Un masque de carton noir devrait régler la question.

Bonne acquisition.

J

Vitoret

Faire attention à l'interface pour les branchements :

– les matériels anciens étaient généralement en SCSI, c'est impossible à connecter sur un ordinateur actuel en USB, sauf peut-être avec un adaptateur (mais en existe-t'il encore, et comment cela fonctionne-t'il ?) ou avec une carte SCSI, mais une carte ne doit pas pouvoir être montée dans un ordinateur portable (pas la place de la loger) ;

– les appareils plus récents sont généralement en USB ;

– le matériel neuf est en principe en USB.

Voir :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Small_Computer_System_Interface

http://www.lesnumeriques.com/legrandforum/avis/Informatique/peripherique-connecter-express-sujet_886_1.htm

http://www.chassimages.com/forum/index.php?topic=143092.0

Vitoret

P.-S. : une chaîne SCSI doit être terminée par un « bouchon terminal » (les « Résistances de terminaison » dans l'article de Wikipedia).

Quand plusieurs appareils SCSI sont chaînés entre eux chacun doit être désigné par un numéro (de 1 à 6) que l'utilisateur règle en agissant sur un bouton cliquable équipant chaque périphérique SCSI.

On peut chaîner un maximum de 6 appareils SCSI (je ne sais plus si l'unité centrale est comprise dans les 6).

Bien sûr les périphériques doivent tous être désignés par un numéro différent.

michot233

Merci pour vos conseils,j'ai un scanner epson 4990,mais il faut scanner en deux parties et raccorder ensuite,ce n'est pas évident à cadrer sur le scanner,il faut faire un aperçu avant de scanner et recommencer si le document est mal cadré

VentdeSable

Hoops,

J'avais oublié l'histoire des SCSI. un peu compliqué avec les os 64bit mais résolu dès que vous trouvez la carte adaptec idoine (+ ou - 20 € sur le même site).

J

Vitoret

Citation de: michot233 le Mars 23, 2017, 07:37:35
Merci pour vos conseils,j'ai un scanner epson 4990,mais il faut scanner en deux parties et raccorder ensuite,ce n'est pas évident à cadrer sur le scanner,il faut faire un aperçu avant de scanner et recommencer si le document est mal cadré

J'ai le même équipement, c'est une bonne bête qui marche sans problème depuis dix ans, bien que les extrémités du tube lumineux me paraissent dégager un peu moins de lumière que le reste du tube. Mais c'est peut-être une fausse impression.

Je numérise aussi des grands formats avec mon 4990 et la seule solution est de faire deux scans que l'on rassemble dans photoshop ou autre. Ça prend plus de temps mais c'est faisable.
On a intérêt à caler le papier contre le cadre de la vitre, ce qui, toutefois, ne garantit pas un angle identique : souvent il y a une différence, faible mais perceptible, et dans Photoshop il faut corriger un des morceaux en jouant sur la rotation (taper une valeur d'angle et faire des essais).
Comme le dit VentdeSable, il est utile de placer un papier noir derrière le document pour corriger la transparence.

Pour les journaux ça n'est pas trop difficile, mais je numérise parfois des plans anciens, lesquels sont souvent pliés et d'assez grande taille. Il faut scanner chaque morceau avec la même orientation, sinon, quand on scanne tête-bêche des morceaux du document, un même pli reçoit un éclairement dans un sens différent, ce qui produit un effet contradictoire : la marque du pli peut être éclairée par le dessus pour l'un, et par en-dessous pour l'autre. Ça se voit comme le nez au milieu de la figure.
Et bien sûr il faut appliquer pour chaque morceau les mêmes réglages sur l'histogramme du pilote (point noir, point blanc, point intermédiaire). Là, c'est vraiment du boulot.

patrice



Pourquoi ne pas utiliser tout simplement un banc de reproduction!

Vitoret

Citation de: patrice le Mars 24, 2017, 07:36:29

Pourquoi ne pas utiliser tout simplement un banc de reproduction!

Le problème, c'est que ça coûte une petite fortune (je pense aux Phase One qui s'adressent à des studios et non pas à des amateurs).

Pour ma part je ne peux envisager mieux qu'un reflex Nikon 3300 à 400 € et un petit objectif macro du même nom à 250-300 €. C'est de l'APS à 24 millions de pixels. Je préfèrerais Canon dans les mêmes prix, à cause de la poignée plus confortable et d'une esthétique plus réussie — et aussi parce que Canon rabiote moins que Nikon sur les premiers prix — mais il y a seulement 18 millions de pixels.

Je ne suis pas certain que la résolution d'un document de 40 x 60 cm — c'est une dimension courante pour un plan ou une carte — soit aussi bien restituée par un APS de 24 mégapixels que par un scanner, même en 2400 points par pouce ; un capteur 24x36 ne rivaliserait peut-être pas non plus. Et la question de l'éclairement, dont le coût n'est pas négligeable, n'est pas simple à résoudre en pratique. Il y a aussi le problème du parallélisme capteur-document qui est crucial. Quant au statif, c'est très cher et la solution de fortune du pied photo est bien précaire, guère stable, avec un porte-à-faux qui n'atteint pas forcément le centre du document à reproduire.

Enfin, et ce n'est pas le moindre, le papier doit être bien plat, cela nécessite de le plaquer avec une vitre. Mais l'appareil-photo qui reçoit la lumière réfléchie pourrait bien s'y refléter et se faire un selfie.

Avec un matos spécifique tout doit bien aller, mais à quel prix ?

Jadis je m'étais bricolé un statif pour photographier des formats A5 ou A6 avec la colonne d'agrandisseur d'un petit Durst F30. L'éclairage était fourni par deux lampes de bureau placées tant bien que mal, avec des ampoules bleues. Le Minolta SRT101 était chaussé d'un 35 mm au bout de bagues-allonges. Je me servais d'un niveau d'eau pour vérifier le parallélisme et je scrutais les microprismes. Quelle galère !

dioptre

Citation de: Vitoret le Mars 25, 2017, 01:25:32
Le problème, c'est que ça coûte une petite fortune (je pense aux Phase One qui s'adressent à des studios et non pas à des amateurs).

Pour ma part je ne peux envisager mieux qu'un reflex Nikon 3300 à 400 € et un petit objectif macro du même nom à 250-300 €. C'est de l'APS à 24 millions de pixels. Je préfèrerais Canon dans les mêmes prix, à cause de la poignée plus confortable et d'une esthétique plus réussie — et aussi parce que Canon rabiote moins que Nikon sur les premiers prix — mais il y a seulement 18 millions de pixels.

Je ne suis pas certain que la résolution d'un document de 40 x 60 cm — c'est une dimension courante pour un plan ou une carte — soit aussi bien restituée par un APS de 24 mégapixels que par un scanner, même en 2400 points par pouce ; un capteur 24x36 ne rivaliserait peut-être pas non plus. Et la question de l'éclairement, dont le coût n'est pas négligeable, n'est pas simple à résoudre en pratique. Il y a aussi le problème du parallélisme capteur-document qui est crucial. Quant au statif, c'est très cher et la solution de fortune du pied photo est bien précaire, guère stable, avec un porte-à-faux qui n'atteint pas forcément le centre du document à reproduire.

Enfin, et ce n'est pas le moindre, le papier doit être bien plat, cela nécessite de le plaquer avec une vitre. Mais l'appareil-photo qui reçoit la lumière réfléchie pourrait bien s'y refléter et se faire un selfie.

Avec un matos spécifique tout doit bien aller, mais à quel prix ?

Jadis je m'étais bricolé un statif pour photographier des formats A5 ou A6 avec la colonne d'agrandisseur d'un petit Durst F30. L'éclairage était fourni par deux lampes de bureau placées tant bien que mal, avec des ampoules bleues. Le Minolta SRT101 était chaussé d'un 35 mm au bout de bagues-allonges. Je me servais d'un niveau d'eau pour vérifier le parallélisme et je scrutais les microprismes. Quelle galère !

On trouve maintenant des agrandisseurs pro, bien construits, pour une bouchée de pain, parfois même en faisant les poubelles.
On les transforme en banc de repro une fois pour toutes.
Réglages faits du parallélisme ( dans les deux sens droite-gauche et avant-arrière ) une fois pour toutes.
La fixation de l'appareil sur le bras de l'agrandisseur se fait par une fixation rapide (Arca par exemple) qui garantit un placement immuable.

Donc aucun réglage à faire.

Pour l'éclairage on trouve facilement de bons éclairages pas trop cher dont l'essenciel est d'avoir une bonne repro des couleurs ( IRC > 90).

Je rejette entièrement la solution bancale du pied photo. C'est une très mauvaise solution.

patrice

Citation de: Vitoret le Mars 25, 2017, 01:25:32
Le problème, c'est que ça coûte une petite fortune

ben voyons

https://www.leboncoin.fr/image_son/1095013950.htm?ca=16_s

et après réglage que de temps gagné, on peut même se faire une petite procédure de traitement automatique.

dioptre

Citation de: patrice le Mars 25, 2017, 09:14:51
ben voyons

https://www.leboncoin.fr/image_son/1095013950.htm?ca=16_s

et après réglage que de temps gagné, on peut même se faire une petite procédure de traitement automatique.
Jamais aimé ce genre de banc de repro. Format très limité et éclairage trop près du document

patrice

Citation de: dioptre le Mars 25, 2017, 09:52:42
Jamais aimé ce genre de banc de repro. Format très limité et éclairage trop près du document

C'était juste un exemple pour le prix, personnellement je chercherais un Krokus d'occasion et deux lampes d'architecte.
en tout cas , c'est facile de valider l'idée, il suffit de punaiser un journal sur le mur, apporter la lumière ad-oc et faire une photo.

....et bye bye les délires informatiques.

vernhet

Citation de: patrice le Mars 26, 2017, 13:40:16
C'était juste un exemple pour le prix, personnellement je chercherais un Krokus d'occasion et deux lampes d'architecte.
en tout cas , c'est facile de valider l'idée, il suffit de punaiser un journal sur le mur, apporter la lumière ad-oc et faire une photo.

....et bye bye les délires informatiques.
Krokus...pas le rêve question précision et agrément...
En étant un peu patient, on peut trouver un vrai statif de repro bien construit. Sur le coin coin, pour 50 euros avec les 4 lampes + ampoules "lumière du jour" pour la repro de documents opaques, j'en ai acheté un de marque Rohen , extrêmement précis et rigide (dont les seuls inconvénients sont le poids et l'encombrement (la colonne mesure 1,2 m et le plateau 50x60 cm...)

Vitoret

#16
Si l'on compare la numérisation d'un document de grande taille avec un reflex ou avec un scanner, on constate que  c'est surtout la définition de l'image acquise qui pénalise la reproduction par APN, le scanner donnant une résolution très supérieure.

Comparons ces matériels :
– un scanner A4 apte à une résolution réelle (et non pas prétendue) de 2 400 pixels par pouce ;
– un reflex APS-C de 24 Mpix (4 000 x 6 016 pixels) ;
– un reflex plein format (24 x 36 mm) de 36 Mpix (4 912 x 7 360 pixels).

Basons nous sur un document au format A4, la comparaison se faisant sur le petit côté de l'image puisqu'un scanner balaie sur la petite dimension de la vitre (= 210 mm, 8,27 pouces), tandis qu'un APN ne balaie pas : il capte une surface entière. Ainsi :
– pour un APS-C de 4 000 x 6 016 pixels, c'est l'équivalent de 6 016 lignes de 4 000 pixels chacune ;
– pour un APN plein format de 4 912 x 7 360 pixels, on a 7 360 lignes de 4 912 pixels chacune ;
– pour un scanner en 2 400 ppp, c'est 2 400 x 8,27 pouces = 19 848 pixels par ligne.

BASES DE CALCUL :
1° APS-C de 24 Mpix : petit côté du capteur = 15,4 mm, 0,61 pouce (définition = 4 000 pixels) ;
2° reflex 24x36 de 36 Mpix : petit côté du capteur = 24 mm, 0,95 pouce (définition = 4 912 pixels) ;
3° scanner : définition 2 400 ppp, largeur de fenêtre = 210 mm (= 8,27 pouces) ;
4° petit côté du document : 210 mm (= 8,27 pouces).

Cela implique que :
– le définition maxi des APN est celle du petit côté du capteur, si l'on augmente la distance entre l'APN et le document la définition se dégrade de plus en plus ;
mais avec un scanner on est toujours au rapport 1 = 1 , quelles que soient les dimensions du document ; la résolution d'un scanner ne se dégrade jamais.

RÉSULTATS SUR LA BASE D'UNE LARGEUR À NUMÉRISER DE 210 MM (= 8,27 POUCES) :
1° APS-C : définition maxi = 4 000 pixels ;
2° Plein format 24x36 : définition maxi = 4 912 pixels ;
3° Scanner : définition sur une ligne de 210 mm (= 8,27 pouces) : 19 843 pixels.

RÉSULTATS RAPPORTÉS EN PIXELS PAR POUCE :
1° APS-C : 484 ppp ;
2° Plein format 24x36 : 594 ppp ;
3° Scanner : 2 400 ppp.

CAS DE DOCUMENTS SUPÉRIEURS AU FORMAT A4 : avec un scanner la définition reste la même puisqu'on est toujours au rapport 1 = 1, mais avec les APN la définition se dégrade de plus en plus, au point de devenir vite très insuffisante.

Autrement dit : avec la repro par APN on gagne du temps mais on perd de la qualité, tandis qu'avec un scanner on se donne du mal, mais le résultat est toujours impeccable.

Bien sûr il faut raccorder les morceaux, mais on y arrive et les légers décalages qui subsistent sont très difficiles à percevoir, même pour qui a fait le travail. Il y a des documents qui méritent qu'on s'en donne la peine, et le logiciel du scanner permet de bons réglages dès l'acquisition.
Et si l'on scanne à seulement 1 200 ppp, le résultat sera encore très bon et supérieur à un APN.

Mais avec les APN si le document est trop grand pour le plateau du statif — ou bien si l'on souhaite une meilleure définition — on doit le photographier en deux clichés ou plus, avec nécessité de les assembler dans Photoshop. On perd alors sur tous les tableaux.

Avec un scanner on peut voir très nettement les fibres du papier et les irrégularités de l'encrage ou des tracés : c'est un régal pour les gourmets car en zoomant on rentre dans l'image, on la voit comme le graveur n'a même pas pu la voir.
Autre avantage : cela autorise le recadrage de détails qu'on peut agrandir dans de fortes proportions.
Avec un APN, même plein format, c'est impossible.

meyip

BONJOUR.....personnellement ce genre de numérisation j utilise un epson wf 7610 c'est un multifonction A3 avec le logiciel de numérisation epson qui rempli bien son rôle.....pour 149 € pour le reste j ai un vieux 4870 qui est toujours vaillant...cerises sur le gâteau il passe le A3+ et ce qui me permet après un petit étalonnage de l impression de pouvoir faire des tirages grands forma pour faire des petits plaisirs autour de moi à un prix raisonnable en utilisant des encres génériques....

jpsagaire


Bonjour, merci pour ces infos et bienvenue Meyip  ;)

jp
à lire on apprend beaucoup !