Extérieurement, l’appareil conserve les grandes lignes de la série OM-D mais Olympus a ajouté à ce nouveau boîtier un relief faisant office de poignée. L’E-M1 perd un peu en compacité mais gagne en prise en main.
Le capteur reste un modèle 16 Mpix mais diffère du précédent Cmos dans la mesure où cette version dispose d’un autofocus phase. Ce nouvel AF permet d’utiliser (avec une bague) les objectif de l’ancienne génération 4:3 (ceux destinés aux Olympus E-1, E-3 ou E-5).
Où est le changement ? Les autres boîtiers permettent eux aussi de monter les objectifs 4:3, c’est vrai… mais avec l’E-M1 l’autofocus est pleinement utilisable. Ce n’est pas une solution de dépannage mais une vraie utilisation réaliste.
La rafale monte à 12 i/s et l’appareil dispose d’un vrai buffer en Raw comme en Jpeg. Malgré cette cadence très élevée, l’appareil demeure très silencieux. Discrétion que beaucoup de photographes vont apprécier.
Un nouveau zoom 12-40 mm ouvert à f/2,8 est présenté conjointement à l’E-M1 : de quoi constituer un ensemble particulièrement efficace.
Olympus a réalisé un superbe travail, dont la rédaction de Chasseur d’Images a pu apprécier la qualité: bien avant l’annonce officielle de cet appareil, nous avons pu disposer, en exclusivité, d’un appareil de série, en version définitive (et non d’un prototype), ce qui nous permet de publier un banc d’essai complet, avec les mesures du labo et nos constatations de terrain, dans le n°357, daté octobre, de Chasseur d’Images.
Un numéro qui est déjà chez tous nos abonnés et que vous pouvez aussi retrouver en kiosque.
Plus de détails sur le test: Chasseur d’Images 357
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