Galerie du "roi des galeries" : Le Blaireau - N&B

Démarré par roboisdesbains, Septembre 14, 2014, 21:36:02

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Image n°105 - Ce blaireau part chercher des herbes et des feuilles pour renouveler la litière d'une chambre de son terrier mais aucune image n'a été suffisamment nette (malgré de nombreuses tentatives) pour publier ici le caractéristique retour de l'animal à reculons avec sa boule de litière sous le cou !

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#126
Image n°106 - Selon l'emplacement exact des trouées dans les frondaisons, il se peut que dans sa course de fin de journée un rayon de soleil revienne quelques secondes sur la scène naturelle alors que l'on pensait cet instant tout à fait utopique... Il faut être vigilant et chanceux pour cet hypothétique clic !



Image n°107 -  Une feuille morte transportée sur le dos de notre ami...



Image n°108 - Un petit essai N&B...



Image n°109 - Bien que sur le coup, une image de cette série - en couleur cette fois - apporte un très discret "plus" sous la forme de "dorures" sur les moustaches et sur le flanc du petit tronc à droite...

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Image n°110 - Sans recadrage, une photo "d'ambiance" où l'on perçoit de la terre meuble fraîchement pelletée par le terrassier et l'enchevêtrement des branchages !



Image n°111 - La même en couleur...

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Tessa

Pour moi c'est en noir et blanc, elle est magnifique ta photo d'ambiance.
Pour autant d'isos, elles sont très bonnes tes photos, merci du partage.

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Citation de: Tessa le Juin 26, 2015, 09:06:57
Pour moi c'est en noir et blanc, elle est magnifique ta photo d'ambiance.

Oui le noir et blanc lui va bien, lorsque j'ai créé ce fil, je ne pensais d'ailleurs publier que des images N&B, d'où le nom donné au fil de discussion "Galerie du "roi des galeries" : Le Blaireau - N&B"

Citation de: Tessa le Juin 26, 2015, 09:06:57
Pour autant d'isos, elles sont très bonnes tes photos, merci du partage.

C'est sûr que je rêverais de pouvoir descendre en ISO pour gagner en qualité mais les habitudes nocturnes de notre ami sont bien ancrées !
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roboisdesbains

En cette fin du mois de juin, mettre à profit les jours les plus longs de l'année est une bonne idée quand la météo le permet !

Autre bonne idée lorsque l'on est en affût, celle de disposer en complément du très gros tromblon sur trépied, d'un second boîtier équipé d'une focale lumineuse et plus courte : 2.8/300mm ou mieux 2.8/70-200mm, en mode VR - sur monopode voire à main levée - comme c'est ici le cas...

Cet équipement permet le cas échéant de réaliser un plan plus large ou de réagir très très vite au passage à proximité d'un animal (idéalement un blaireau qui part en vadrouille) sans que l'ont ait le temps de mettre en oeuvre la très longue focale sur trépied... pour cause de sujet trop proche voire situé en deçà de la MAP mini (qui bien sûr va croissant avec la focale)... ou tout simplement parce que l'équipement lourd ne peut être dirigé vers le bon endroit rapidement en raison des filets de camouflage ou d'autres contraintes...

Cette situation m'est arrivée ce soir, pour les deux images qui suivent, prises avec mon second boîtier, un D800, que j'avais bloqué en mode AUTO-ISO à ISO 4000 avec une ouverture de f2.8 !
La réputation de cette optique n'est plus à faire même (surtout ?) ici à pleine ouverture et 1/30e & 1/25e à main levée à 200mm...

Passage impromptu à 15 m d'un blaireau parti pour le gagnage et qui perçoit, intrigué, le clic de l'appareil en mode Quiet avant de poursuivre son chemin (un D810 aurait été plus discret que le D800)...

Image n°112 - De quoi... de quoi ?



Image n°113 - Rien... je continue son chemin !



Retour au 600mm, ISO 12800, 1/100e pour ce magnifique blaireautin de l'année en pleine santé...

Mais bon sang comment font les blaireaux pour disposer d'un poil si propre alors qu'ils passent deux tiers de leur vie sous terre par tous les temps ?

Image n°114

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Et puis... et puis... "cerise sur le gâteau", je devrais dire "merise dans les feuilles mortes" sur ce site : au sein d'une série où toutes les autres images se révéleront floues lors du vidage de carte (ISO 12800 1/40e~1/50e), les deux photographies qui suivent...

Elles font partie pour moi, notamment la première, de mon "best of" depuis des années que je photographie le blaireau... j'y retrouve le comportement type du blaireau humant l'air, l'ambiance du terrier avec la terre charriée et le gros caillou extrait du sous-sol, la lumière rasante, le "bokeh nature" qui rappelle le sous-bois, la beauté de l'animal en silhouette... sans oublier la technique mise en oeuvre et le matériel utilisé pour réussir une telle image dans ces conditions... (Rappel : les EXIFs sont dispos dans mes images)

Image n°115



Image n°116



Une fois encore j'ai été trahi par le déclenchement, je n'utilise pourtant pas la rafale mais le mode quiet et insonorise un peu le D4s avec des lainages, mais sachant que j'étais vraiment à une vitesse d'obturation inavouable au 600mm, j'ai déclenché plusieurs fois de suite en peu de temps, espérant disposer au moins d'une image à peu près nette dans le lot, car je sentais bien à la prise de vue qu'il y avait là une scène exceptionnelle...

Image n°117 - L'a pas l'air content lui...



Etant tout de même à 21m du sujet et très caché, avec une direction de vent excellente toute la soirée, le blaireautin ne m'a pas identifié (sinon c'était retour de tout le clan dans les galeries) et du coup double récompense, en plus de ces images, j'ai pu continuer mes observations jusqu'à la nuit tombée... la preuve avec l'image suivante...
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Passé une certaine heure le photographe fait une croix définitive sur la qualité technique des images... C'est l'occasion de pousser la technologie dans ses derniers retranchements et l'occasion de flirter avec les ISO 25600 pour ce dernier clic à 1/30e... à 21h40. L'Auto-Focus commence à avoir du mal à accrocher et doit parfois être aidé (merci à la nature d'avoir donné aux blaireaux un masque noir et blanc que l'AF apprécie !), la gamme des couleurs et la définition sont bien évidemment défaillantes malgré une optique et un boîtier de haute volée...

Image n°118



À cette heure en pleine forêt, il fait très sombre c'est certain... mais, points positifs, l'observateur se trouve quasi invisible et peut aussi rentrer très discrètement... une fois tous les compères partis se nourrir, les adultes bien loin et je ne sais où... deux jeunes restés assez dans les environs et que j'entendais au loin marcher dans les feuilles mortes du sous-bois...

Beaucoup de belles observations ce soir mais qui ne peuvent pas être illustrées ici avec des images de suffisante qualité... et la possibilité de partager dans cette mise à jour des images que j'aime beaucoup (j'espère qu'elles vous plairont aussi) : une super soirée !
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roboisdesbains

#133
Une lumière top, celle "qui va bien", n'est pas toujours de la partie ! En fait, elle le sera de moins en moins, avec cette saison qui avance... Il fait nuit plus tôt, c'est bien le problème ! La première image est déjà réalisée à ISO 8 000 ! Montrer de temps à autres des clichés moins aboutis pour illustrer la difficulté de la prise de vue de mon animal fétiche c'est témoigner de la réalité de la photo de blaireau en lumière naturelle... au flash ce serait tout différent ! Rassurez-vous, je ne vous infligerai pas mes innombrables photos manquant de piqué voire floues qui sont légion dans ce contexte tout-à-fait particulier !

Je n'étais pas retourné voir mes petits protégés depuis près d'un mois et me demandais même si la sécheresse les avait décimés : la réponse est non... c'est la bonne nouvelle ! Si les vers de terre ont forcément cruellement manqué, l'éclectisme de meles meles dans ses repas l'a sans doute sauvé... Il fait bon alors être omnivore et grignoter les merises qui jonchent le sol et d'autres fruits de saison, faire un tour dans les cultures (...) ou capturer quelques bestioles et insectes !

Les sorties se déroulent encore au niveau de certaines gueules de terriers que je connais, un peu plus reculées toutefois que celles de l'an dernier...

Image n°119



Mais les habitudes du clan ont un peu changé et les blaireaux se tiennent souvent, avant de partir trotter toute la nuit, plus au centre de leur village sylvestre... Je m'interdis d'y pénétrer et de ce fait c'est un véritable cache-cache entre les arbres qui se joue entre le photographe resté en périphérie et les blaireaux ! Je précise qu'ils ne m'ont pas repéré sinon il n'y aurait qu'une photo floue d'un animal rejoignant son terrier en courant !

Image n°120

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roboisdesbains

#134
J'ai changé mon type d'affût afin de  bénéficier de davantage de liberté pour pouvoir tourner tout autour de mon matériel sur trépied afin de pouvoir viser dans toutes les directions avec un certain "confort"... Je me planque en fait au centre d'un petit affût quasi cubique et fermé sur trois côtés, d'un peu moins de deux mètres carrés de surface au sol, monté rapidement avec des toiles diverses entre des troncs rapprochés. J'ai une vue quasiment à 360° dont la moitié permettant la photographie, trop de branchages pour le reste... Astuce intéressante, je rabats certaines branches basses feuillues vers moi à l'aide de petites sangles et les libère en quittant l'affût : ceci permet de disposer d'un feuillage de camouflage additionnel naturel toujours vert que l'on a pas à renouveler ! Cet affût trois étoiles n'est disponible que par certains vents, dans le cas d'un vent non favorable ce sera un autre emplacement qui sera choisi... dans cette situation avec des affûts se résumant parfois à une toile posée directement sur moi...

Les trois derniers soirs d'observation m'ont permis d'observer renards, chevreuils, blaireaux et... lièvre forestier !

À moins de 8 mètres au 600mm, ce capucin avance juste derrière un tronc... pour un portrait au 1/125e à f4 pris à ISO 10 000 !

Image n°121



Les horaires de première sortie varient... 19h30, 20h00, 20h30 ou davantage... Je suis hélas abonné quasiment dès les premiers déclenchements à ISO 12 800 avec de surcroît des vitesses très lentes amenant un "taux de raté pour cause de flou du sujet" élevé et une qualité pas formidable malgré le post-traitement...

Image n°122

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roboisdesbains

Il faut alors compter sur un environnement naturel sympa pour rehausser un peu les images, merci aux fougères !

Image n°123



Image n°124

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roboisdesbains

Je guette les temps d'arrêt des blaireaux entre les troncs... et compte sur le potentiel en basse lumière du D4s et de ses tromblons...

Alors couleur ?

Image n°125



Ou noir et blanc ?

Image n°126



Les jeunes de l'année sont déjà bien grands... 20h25 dans le sous-bois cela devient déjà limite pour photographier en ce début août... hélas les journées réduisent déjà... 1/50e au 600mm... est-ce bien raisonnable ?

Image n°127



À bientôt, je l'espère !
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Tessa

Avec la loutre, c'est l'animal que je rêve de photographier et encore plus comme toi.
J'ai construit un affut hier dans un noisetier à 6-7 mètres du terrier. C'est très près mais je n'ai pas le choix, c'est dans un talus très fouillis. Mais à quelle distance es tu des terriers?

papytos

C'est écrit plus haut : 20 mètres je crois.
Superbe reportage ! On a l'image (les images plutôt, toutes belles au regard des conditions) et les commentaires qui vont avec !
Merci Rowood of the bath !
Cordialement. Jean-Pierre.

roboisdesbains

#139
Merci Papytos !

Pour Tessa

S'il s'agit bien d'un terrier de blaireau, sans doute terrier secondaire, car tu ne parles pas de plusieurs entrées (?) il n'est pas occupé en permanence... Ton aménagement des lieux si proche a toutes les chances (lire "les malchances") de faire en sorte qu'il soit abandonné dès le lendemain par son ou ses occupants... Ne pas oublier que les galeries peuvent être très longues et passer sous ton affût ! Quand bien même ils resteraient, de si près tu te feras repérer par le changement apporté à leur environnement, par ton odeur ou celle que tu as laissée ainsi que par le bruit du déclenchement sauf si tu utilises un D810 en mode Quiet et sous caisson !

Le blaireau n'est pas méfiant, il est EXTRÊMEMENT MÉFIANT... La distance sujet photographe est essentielle si l'on souhaite l'apercevoir ou le photographier à très bon vent uniquement sinon c'est peine perdue et gène assurée pour l'intéressé...

Des observations préalables à plusieurs dizaines de mètres en te fondant dans la végétation (par exemple assis contre un tronc), en arrivant très en avance discrètement - disons une heure au moins avant la sortie escomptée (j'utilise des pièges vidéo pour le savoir) - te permettront de le voir si le vent (désolé de me répéter) est avec toi... Ensuite la plupart sortent tard et la photographie n'est plus possible...

Pour info, les images de ma toute dernière mise à jour ont été prises à 25 m, 21 m pour certaines et 19 m pour la plus proche, celle proposée en couleur et noir et blanc... avec mille précautions et un suivi depuis des années... l'impression de proximité vient du fait qu'elles ont été faites au 600mm et de surcroît parfois recadrées !

Voilà pour les infos résumées que tu trouveras détaillées si tu remontes un peu dans ce fil... Dis-toi que la photo de blaireau en lumière naturelle reste de l'ordre du "très compliqué", il faut autant de temps et de précautions que de connaissantes naturalistes et photographiques sans oublier la chance !

Je ne te dis nullement cela pour te décourager, juste pour partager en toute franchise mon expérience personnelle. En te souhaitant réussite... et bon courage pour ton projet de photo de blaireau. Le sujet est passionnant ! À ta disposition pour d'autres informations surtout si tu souhaites aller au-delà d'une image obtenue par hasard...

Relis quand même mes messages à ce sujet sur ce fil et pourquoi pas jette un coup d'oeil (voire deux) sur ma playlist dédiée à cet animal sur ma chaîne YouTube dédiée aux comportements animaliers en général (Histoires naturelles : La preuve par l'image). Sur cet animal j'ai réalisé environ une centaine de montages thématiques, accès direct à cette playlist précise ici : https://www.youtube.com/playlist?list=PLCF093DF438298F61
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Tessa

Merci beaucoup roboisdesbains pour ce message.
Avec la loutre, le blaireau est mon animal préféré.
Les deux mammifères sont très discrets mais laissent pleins de traces derrière eux, je m'amuse à les trouver.
J'ai reçu il y a 3 semaines mon tout premier matériel (j'ai 15 ans) un nikon D7100 et un objectif fixe 300mm f/4 , avant, j'utilisais l'appareil de mon père.
Avec cet achat, j'essaye de les photographier et j'ai la chance qu'une famille de blaireaux habite à moins de 300 mètres de chez moi.
Tes photos sont vraiment superbes et on devine tout le travail derrière!
Pour ne pas poster des photos sur ton fil, je poste les photos des terriers sur le mien : "mes images du mené" pour te montrer les lieux et l'affut que j'ai construit
Les vidéos aussi sont géniales!

Goelo

Merci... Et bravo !
Pour ces pages que je viens de dévorer.
Des blaireaux par chez moi, mais invisibles,
Et c'est un régal de les découvrir dans leur environnement'
Beau travail, de passion, de patience, et de respect.  :)

roboisdesbains

Merci à toi Goleo pour ce commentaire très sympa !

Je retrouve en cette soirée un site que je suis depuis des années et qui avait été squatté dès le début de l'été par M. et Mme Goupil et leurs petits... qui avaient expulsé le clan des blaireaux...

Avec l'émancipation des jeunes renardeaux, l'une des gueules de ce réseau, située en périphérie, accueille à nouveau plusieurs "noirs et blancs" dont le piège vidéo placé il y a une dizaine de jours révèle l'activité régulière (ainsi que quelques passages diurnes de renards) !

Sur un coteau bien situé pour l'ensoleillement en soirée, je crois rêver lorsque vers 20h15 une sentinelle émerge du trou et effectue un petit tour d'horizon que je photographie dans des conditions royales au 1/200e à ISO 1800~2000 !

Rien devant ?

Image n°128



Rien à droite ?

Image n°129



Rien derrière ?

Image n°130



Rien à gauche ?

Image n°131

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roboisdesbains

Après cette inspection en bonne et due forme, retour au sous-sol... M'aurait-il éventé ? Une minuscule brise... m'avais surpris dans la direction qu'elle avait empruntée... mon odeur a dû descendre le long de la pente vers le terrier (je suis en surplomb) est-ce la cause ? Les variations dans le direction des vents faibles et changeants sont un handicap difficilement contournable... Mais espérer un vent fort, constant et dans la direction qui convient est si rare...

Une heure et quart plus tard, nouvelle sortie et petit tour dans les environs... à partir d'une autre gueule du terrier, voisine de la première...

La chance est avec moi car je parviens avec une grande concentration à sortir plusieurs images correctes au 1/20e de seconde et ISO 16 000 ! Histoire de fixer l'ambiance assez extra de ce maître blaireau au coeur d'une végétation sympa comme tout !

Petit tour donc dans les environs...

Image n°132



Image n°133



Image n°134

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roboisdesbains

Puis retour à l'entrée principale où Mister blaireau disparaît non sans avoir à nouveau "vérifié" les alentours...

Image n°135



Image n°136



Image n°1"7



De nombreux terriers sont construits en appui sur des troncs couchés, au pied de souches ou de grands arbres, étais naturels des gueules de terriers dont le secret des méandres souterrains nous reste inconnu...
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revos88


Kirian

Bonjour,
Que dire après ça... ;)

Ces photos n'existeraient pas sans ton amour de la nature.
Merci de partager ton savoir.
Amicalement
Kirian

Tessa


Atriplex

Les photos sont superbes, un vrai bonheur de les regarder! (Même celles à hauts ISO!). Quel beau travail! Mais les photos ne sont pas le seul intérêt de ce fil: j'ai aussi bien apprécié les explications détaillées sur le matériel, les conditions de prise de vue, avec la passion qui apparaît à chaque instant. Et, cerise sur le gâteau, tout cela est raconté dans un français aisé et orthographiquement impeccable... Merci!!
Cordialement,
Gérard
Gérard

Michel Denis-Huot