Salut et merci
Bah non mon Roland, ni les piafs ni les insectes ne m'assourdissent cette année. Mon lyrisme dépendant du leur, il subit également l'épandage des néonicotinoïdes et de la connerie humaine.
Oui Pailler c'est fréquent, les forêts ont été peu déminées et j'ai en stock quelques colt et autres pétoires, casques et autre souvenir d'une autre époque de connerie.
Les plantations ont baigné cet hiver, je finis de ramasser les dégâts de la pénultième tempête de mars ou avril et je viens de trouver de la processionnaire du chêne qui semble avoir fait un sacré bond dans sa migration.
Un petit florilège de ces derniers temps pour le partage. Et pardon si je ne commente plus les images, les raisons seraient un peu négatives à exposer...
...
Bonjour Vincent
De bien belles images sur cette page, bravo à toi !

Par chez moi (Val d'Oise proche de l'Eure), je trouve aussi que les insectes sont en diminution, moi qui aime la macro, je suis obligée de photographier des bestioles de plus en plus petites (en ajoutant la bonnette) si je veux avoir quelque chose sur le capteur. J'essaie de ne pas faire comme le héron de la fable...

Petite question si cela ne te dérange pas : quand les forestiers découvrent des processionnaires du chêne (ou du pin) dans des forêts appartenant au domaine public, y a-t-il systématiquement une action menée pour les détruire ou les laisse-t-on se développer ? Je me posais cette question parce que j'ai entendu dire il y a quelques années qu'il y avait des processionnaires du chêne dans mon secteur, d'une part chez des propriétaires privés qui avaient été obligés de faire venir une entreprise, d'autre part dans la forêt régionale de la Roche-Guyon (appartenant à l'Ile de France) et là, je ne sais pas si quelque chose a été fait pour enrayer la progresssion (si tant est que ce soit possible).
J'ai cru comprendre que la processionnaire du chêne présente des risques assez sérieux pour les personnes qui passent à proximité, donc les promeneurs mais aussi les forestiers comme toi...

PS C'est vrai qu'avec l'âge on devient pessimiste pour les futurs occupants de la planète. Quand on est jeune, on est beaucoup plus insouciant (ou inconscient ?).
