hum ? : mise en relation amateurs et entreprises (stand salon photo)

Démarré par jm_gw, Octobre 30, 2016, 10:50:31

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jm_gw

Citation de: norelo le Novembre 22, 2016, 11:39:31
C'est surtout vachement honnête d'être obligé de s'inscrire avant de prendre connaissance des tarifs et conditions générales
en effet, cette pratique  est comment dire  :o ??? ::)

comme de payer pour aller voter ... ok je suis déjà en orbite   :D

fr@nck

Ils m'ont dit qu'ils laissent tomber l'affaire, pas rentable et trop risquer, ils ont une meilleure idée.

Ils vont faire un stand UBER ici :

http://www.salondestaxis.com/

;D ;D

jm_gw

Citation de: fr [at] nck le Novembre 22, 2016, 21:46:47
Ils m'ont dit qu'ils laissent tomber l'affaire, pas rentable et trop risquer, ils ont une meilleure idée.

Ils vont faire un stand UBER ici :

http://www.salondestaxis.com/

;D ;D
loool en Chine alors ?

bon faut pas déconner : y' a qques mois j' ai bien été em%¨0rdé en Chine à cause d' une grève des taxis : devinez la raison ? ils manifestaient contre le système des taxis UBER !! ca a duré 4 jours dans la vilel ou j' étais (capitale de province) et y' avais rien à Beijing !
depuis j' ai lu qu' UBER a jeté l' éponge et ca a été revendu à un groupe de l' état (?).

Peewaii

Je suis également stupéfait du nombre de petites start up qui surgissent dans le domaine, mais en y regardant de plus près il y a aussi de très bons projets qui font prendre conscience que la photographie évolue très vite et qu'il faut s'adapter impérativement aux nouvelles pratiques et attentes!  ;) https://queignec-photographe.fr/

lavagnac

pas bon du tout pour tous!!!
Grosse levée de fonds pour Meero, le site qui ubérise la photographie
Qui est Meero, cette nouvelle licorne française qui pèse un milliard de dollars?
Créée en 2016, Meero est une agence de contenus photo/vidéo capable de livrer des images en 24 heures partout dans le monde grâce à une intelligence artificielle. Elle vient de réaliser une levée de 230 millions de dollars (205 millions d'euros). Un record dans la French Tech.

L'idée est audacieuse. A l'heure où les smartphones remplacent les appareils photos, beaucoup ne donne pas cher du métier de photographe. Pour Meero, le problème de ces professionnels n'est pas là. Ils ont besoin d'une agence adaptée à l'ère numérique pour les mettre en contact avec des clients dans le monde entier à la recherche d'images de qualité. Qui aurait parié sur ce modèle? Grâce à la photo, Meero vient pourtant d'entrer dans le cercle des licornes, ces entreprises non-cotées valorisées au moins un milliard de dollars grâce à une levée record de 230 millions de dollars, soit 205 millions d'euros, auprès des fonds français Eurazeo et néerlandais Prime Ventures. Du très rarement vu dans la French Tech.

Créée par en 2016 à Paris par Guillaume Lestrade et Thomas Rebaud, la start-up livre en quelques heures des photos et des vidéos aux quatre coins du monde après les avoir retouchées pour être immédiatement utilisables. Pour aller si vite, une intelligence artificielle traite les images en quelques secondes. Sans l'IA, "on ne pourrait pas faire les millions d'images qu'on livre par mois, ou alors il faudrait des milliers de retoucheurs, ce ne serait pas possible", explique Thomas Rebaud. "On nous demande dans la journée les photos d'un hôtel à Dubaï, on est capable de livrer le lendemain le reportage". Mais avant de les envoyer, chaque image est vérifiée par un spécialiste.

Une fondation pour financer le photojournalisme

Les effets de cette recette sont fulgurants. Trois ans après son lancement, Meero a créé un réseau de plus de 50.000 photographes. Elle emploie déjà 600 salariés et prévoit de doubler ses effectifs d'ici la fin de l'année. La société reste parisienne mais dispose désormais de bureaux à New York, Tokyo, Shanghai, Mumbai, Sydney et Rio. Ses clients sont des plateformes Internet et des entreprises de tous secteurs, notamment dans le luxe, l'immobilier, le voyage et la restauration. Parmi eux Uber, Booking, Expedia, Deliveroo, L'Oréal ou Louis Vuitton.

La levée de 205 millions d'euros est déjà la troisième. En 2017, des investisseurs parmi lesquels Xavier Niel, le fondateur de Free, via le fonds d'investissements Kima Ventures, ou Bernard Arnault, patron de LVMH, ont injecté 4,1 millions d'euros. En 2018, elle avait levé 45 millions d'euros.

Meero compte désormais s'adresser au grand public. "Nous travaillons sur le marché du mariage, un service que nous lancerons en fin d'année", a indiqué Thomas Rebaud aux Echos. Les fondateurs veulent surtout devenir de véritables acteurs du monde de la photo, et pas uniquement une place de marché. Ils annoncent la création d'une fondation pour financer des photo-reportages, produire des documentaires et même éditer un magazine. Meero a-t-elle l'ambition de devenir un jour une agence de presse? "Pour l'instant, non", répond Thomas Rebaud. "On a tellement de trucs à faire que ce n'est pas du tout un enjeu pour nous".