Orchidées et autres fleurs en Aveyron

Démarré par Caloux, Mai 01, 2018, 20:23:21

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urka

Très belles suites avec l'Ophrys de l'Aveyron et ses hybridations!
Les images avec les Araignées (Orchis brûlé et Dactylorhiza) nous changent de l'ordinaire.
Bravo pour ce fil!
André.

Caloux

Mais c'est néanmoins une des plus petites orchidées que l'on puisse trouver.

Ici protégée...ou cernée par Orchis militaris

123
Amitiés. Pascal

Caloux

Citation de: urka le Juin 26, 2018, 22:22:10
Très belles suites avec l'Ophrys de l'Aveyron et ses hybridations!
Les images avec les Araignées (Orchis brûlé et Dactylorhiza) nous changent de l'ordinaire.
Bravo pour ce fil!
André.

Le fil touche à sa fin et il faut bien varier les espèces et les plans.
Merci d'être resté fidèle à ce fil ! 
Amitiés. Pascal

Caloux

Et la "soldatesque" est abondante en cette fin Mai !

124
Amitiés. Pascal

Caloux

Beaucoup plus débridé est l'Orchis singe  Orchis simia  On aurait pu le qualifier de bouffon si une autre espèce ne s'était accaparé ce patronyme (voir en début de ce fil vues 11 à 14)

125
Amitiés. Pascal

thieum

Waow!! Cette dernière est vraiment superbe!!  ;)

f 1.4

Cette dernière vaut le detour. C'est aussi intéressant de voir les plans larges qui complètent bien les portraits.

Clic-Clac 51

Le jour ou je tombe sur une station a orchidée comme ça, Il sera difficile de m'y déhotter
Merci de me faire rêver
Denis ;)

urka

Bien vu, la 123!
J'ai pu voir,étonné, encore beaucoup d'Orchis pyramidales sur le Causse Méjean, il y a 8 jours...
Dommage que la saison se termine, même si nous verrons plus tard l'Orchis spirale.
André.

Caloux

Lorsque j'ai fait ces prises de vues (dernière semaine de Mai), les premiers Orchis pyramidal fleurissaient mais beaucoup étaient encore en boutons. Floraison plus précoce en vallée du Tarn et plus tardive sur le Larzac. Je ne sais pas ce qu'il peut rester aujourd'hui (à part les Epipactis bien sûr  ;) )... La période de plus forte concentration d'espèces se situe sur la seconde quinzaine de Mai en Aveyron.
Pour les spiranthes, la présence reste parcellaire dans le département et la saison fortement décalée à mi Août.

Et les dactylorhiza prennent bien le H après le R   ;).  Il ne faut pas taper trop vite sur son clavier...
Amitiés. Pascal

Roland Ripoll

Belle suite ! J'apprécie beaucoup le plan serré de l'orchis singe.
Etre simple pour être vrai

Caloux

#236
Merci à vous tous, Thieum, F1,4, Denis, André et Roland.

Retour aux ophrys avec quelques hybrides.

Hypochrome pour celui-ci

126

Amitiés. Pascal

Caloux

Et quasiment hyperchrome pour celle-là quant au labelle d'un brun presque noir au point que le dessin n'est plus discernable

127
Amitiés. Pascal

Caloux

Pour celle-ci, il faut noter des pétales trapus et d'un angle très fermé

128
Amitiés. Pascal

Caloux

Pour la suite, je vous laisse apprécier la diversité...ou pas

129
Amitiés. Pascal

Caloux

Amitiés. Pascal

Clic-Clac 51


Caloux

Merci Denis !

Petite coupure avec des papillons

Sur pimprenelle

131
Amitiés. Pascal

Caloux

On revient doucement aux orchidées avec l'Orchis pyramidal.

Observez bien sa trompe qui semble un peu chargée

132
Amitiés. Pascal

Caloux

Mon modèle n'ayant pas eu la patience de m'attendre pour une vue plus proche, voici un modèle de remplacement qui fera l'affaire.

133
Amitiés. Pascal

Caloux

De plus près on distinguera des pollinies (sacs de pollen collants) de l'Orchis pyramidal scotchés sur la trompe du pauvre papillon. Il pourra s'en débarrasser dans la plupart des cas en explorant d'autres fleurs et en déposant ses sacs pour une pollinisation réussie.
134
Amitiés. Pascal

f 1.4

Très jolie cette série avec les papillons.

Caloux

Merci F1,4 !

Je crois qu'il est temps de conclure avec ces dernières vues en espérant ne pas avoir lassé (simple question rhétorique bien sur  ;))

Ce fil a surtout tourné autour des orchidées qui restent une des attractions botaniques de l'Aveyron : un des plus grand nombre d'espèces parmi les départements de France s'y trouvent.
Le genre Ophrys y est largement présent et d'autant plus en apparentes espèces que les hybrides y pullulent : logique dès qu'un grand nombre d'espèces fleurissent en même temps.
Pour qu'un hybride puisse se développer (être fécond), il lui faut selon les spécialistes  que l'un de ses géniteurs soit largement présent d'une année sur l'autre, ce qui peut affaiblir les caractères du premier hybride mais le préserve d'une stérilité probable. Sans cela, il pourra peut être refleurir une ou deux années à partir du pied initial mais surement pas essaimer. 

A une échelle extrêmement réduite, on observe  ce qui s'est probablement passé pour nombre de plantes aujourd'hui totalement stables après des millions d'années : plantes qu'on peut retrouver d'un continent à l'autre (ou sur des distances considérables) sous une forme quasi identique. Rien de tel pour les orchidées, la stabilité n'est qu'apparente et ne s'acquière que lors d'un isolement suffisamment long (ou d'un processus évolutif régulier). Et encore...
Conclusion donc avec quelques hybrides. Pour celle ci encore une base d'ophrys araignée

135
Amitiés. Pascal

Caloux

Amitiés. Pascal

Caloux

Amitiés. Pascal