Lou...

[NeoBeo]

.

[hetocy]

Le rendu des ombres de la cuisse droite pourrait être amélioré amha.
Avec un telle modèle tu dois sans doute avec des choses un peu plus pêchues 

[Nikon Nissoumi]

Ah tient !
Le mouvement des suicide girls cherche à envahir le forum maintenant ? 
Tu t'es fait enrôlé comme photographe dans cette grosse machine à faire du fric ? 

https://www.suicidegirls.com/

[Crinquet80]

Dans ce genre , je préfère de loin ce que fait Beth Ditto avec son image !

[Hector06]

Ah tient !
Le mouvement des suicide girls cherche à envahir le forum maintenant ? 
Tu t'es fait enrôlé comme photographe dans cette grosse machine à faire du fric ? 

https://www.suicidegirls.com/

Cette machine ne fait du fric que pour elle même 

[SPOTMATIK]

Le rendu des ombres de la cuisse droite pourrait être amélioré amha.
Avec un telle modèle tu dois sans doute avec des choses un peu plus pêchues 

l'intérieur de la cuisse n'arrange rien ....... avec un coussin placé entre les jambes  et le regard vers l'appareil aurait ajouté une touche sympa , voire complice .....

[onaivalf2]

Le rendu des ombres de la cuisse droite pourrait être amélioré amha.
Avec un telle modèle tu dois sans doute avec des choses un peu plus pêchues 

Même avis, et je rajouterai que j'aurai épuré le lieu de prise de vue, en supprimant avant la prise de vue (ou après en post prod) la plante dans l'angle derrière sa tête et le bout de cadre qui dépasse à gauche.

[bigre]

comme d'habitude, je suis en désaccord complet avec ce qui a été écrit.

La force de cette photo est sa crudité. Bourrelets, cellulite, tatouages ainsi que ce décor prosaïque.

Au lieu d'atténuer ce que certains pensent être des défauts et qui n'en sont pas, je pense qu'il faudrait aller dans le sens du courant de la photo intimiste et les montrer sans complexe mais dans une action et un lieu cohérents.

Montrer les gens tels quels dans leur environnement.

Avec un modèle c'est moins évident, puisque ce genre de photo est plutôt faite en vivant avec la personne photographiée.

Photographier le modèle dans des moments de sa vie quotidienne où évidemment le corps apparaisse avec ses caractéristiques et ses tatouages.

Par exemple en mettant en place un dialogue avec elle ou au lieu de poser, elle écouterait ou parlerait ou se baladerait chez elle ou poserait à sa façon, se présenterait, se montrerait. Jouer sur son narcissisme. (sa "fierté" comme on dit).

"Voilà ! ça c'est moi ! et alors ?"

Ceci n'est que mon ressenti, mon avis etc.

[onaivalf2]

comme d'habitude, je suis en désaccord complet avec ce qui a été écrit.

La force de cette photo est sa crudité. Bourrelets, cellulite, tatouages ainsi que ce décor prosaïque.

Au lieu d'atténuer ce que certains pensent être des défauts et qui n'en sont pas, je pense qu'il faudrait aller dans le sens du courant de la photo intimiste et les montrer sans complexe mais dans une action et un lieu cohérents.

Montrer les gens tels quels dans leur environnement.

Je trouve que tu as parfaitement raison, mon problème sur cette photo c'est que j'ai réagi par rapport au lieu et à la pose choisie d'où les conseils à son auteur. Et effectivement  l'auteur aurait pu choisir un autre environnement, pourquoi pas plus "cru", plus avec l'idée qu'on peut se faire avec ce genre là. Mais là c'est une autre histoire...

[langagil]

+1 avec le post #7
Je lui aurai également suggéré, par cohérence (du moins de mon pont de vue), une pose pied nu, d'une part mon regard est trop "attiré" vers ces/ses chaussures d'autre part qui les porteraient dans cette situation? 

[hetocy]

comme d'habitude, je suis en désaccord complet avec ce qui a été écrit.

La force de cette photo est sa crudité. Bourrelets, cellulite, tatouages ainsi que ce décor prosaïque.

Au lieu d'atténuer ce que certains pensent être des défauts et qui n'en sont pas, je pense qu'il faudrait aller dans le sens du courant de la photo intimiste et les montrer sans complexe mais dans une action et un lieu cohérents.

Montrer les gens tels quels dans leur environnement.

Avec un modèle c'est moins évident, puisque ce genre de photo est plutôt faite en vivant avec la personne photographiée.

Photographier le modèle dans des moments de sa vie quotidienne où évidemment le corps apparaisse avec ses caractéristiques et ses tatouages.

Par exemple en mettant en place un dialogue avec elle ou au lieu de poser, elle écouterait ou parlerait ou se baladerait chez elle ou poserait à sa façon, se présenterait, se montrerait. Jouer sur son narcissisme. (sa "fierté" comme on dit).

"Voilà ! ça c'est moi ! et alors ?"

Ceci n'est que mon ressenti, mon avis etc.

Ok avec tout ca sauf que les propositions que tu developpes dans ton post participent d'une autre démarche qui est à 1000 lieues de l'esprit qui anime ( je pense ) cette photo qui reste dans les codes habituels de la photo " de modèle " qui est d'ailleurs tout aussi respectable 

[bigre]

Ok avec tout ca sauf que les propositions que tu developpes dans ton post participent d'une autre démarche qui est à 1000 lieues de l'esprit qui anime ( je pense ) cette photo qui reste dans les codes habituels de la photo " de modèle " qui est d'ailleurs tout aussi respectable 

Il est probable que tu aies raison.

Mais au vu de la photo, la démarche " intimiste" m'aurait semblé meilleure. Pourquoi ? Sans doute parce qu'il se dégage, pure impression subjective je l'admets, un air un peu marginal chez cette tatouée et qu'il aurait été intéressant de lui demander d'être "elle-même" en se présentant frontalement, ou ds son quotidien.

Pour être clair, il me semble donc que cette démarche est en germe dans cette photo.
Mais, je ne suis pas ds la tête et le coeur de néobéo.

Sinon, effectivement, pour une photo " classique ", cette photo est trop défectueuse (décor, rendus disgracieux déjà soulignés, etc.)

Il faut bien ouvrir de nouveaux horizons, oser de nouvelles voies [Dans ce forum    ],  proposer des analyses un peu différentes.

Ceci n'est qu'un avis.

[makhno]

Il est probable que tu aies raison.

Mais au vu de la photo, la démarche " intimiste" m'aurait semblé meilleure. Pourquoi ? Sans doute parce qu'il se dégage, pure impression subjective je l'admets, un air un peu marginal chez cette tatouée et qu'il aurait été intéressant de lui demander d'être "elle-même" en se présentant frontalement, ou ds son quotidien.

Pour être clair, il me semble donc que cette démarche est en germe dans cette photo.
Mais, je ne suis pas ds la tête et le coeur de néobéo.

Sinon, effectivement, pour une photo " classique ", cette photo est trop défectueuse (décor, rendus disgracieux déjà soulignés, etc.)

Il faut bien ouvrir de nouveaux horizons, oser de nouvelles voies [Dans ce forum    ],  proposer des analyses un peu différentes.

Ceci n'est qu'un avis.

femme tatouée,c'est plus respectueux...

[bigre]

Autant j'ai du mal à adhérer / comprendre tes productions, autant je suis d'accord avec ton analyse / lecture / direction à prendre... A ma décharge ( et ce n'est pas une excuse ) je ne trouve aucun modèle... Lou m'a été présenté par Jérôme qui réalise des calligraphies sur le corps... J'ai donc accepté avec plaisir, sur le thème " suicide girl " dont je n'avais jamais entendu parler auparavant... J'ai essayé de faire de mon mieux... C'était une première pour moi... De la pdv en intérieur, une jeune fille en lingerie, moi qui suis adepte du portrait plutôt serré en extérieur ( temps de merde, juste une petite porte-fenêtre comme unique source, séance réalisée chez Lou, très petit salon, j'ai donc du utiliser un 35mm avec deux mètres de recul )... Voilà pour les explications, et réponses à d'autres com's qui m'ont fait bien marrer... Pour en revenir à ce que tu évoquais, le " je suis tel que je suis et j'assume ", au quotidien... Oui, tu as raison...

Cool ! tu me rassures sur mon regard et mon empathie.

Perso, je serais d'avis que tu continues sur cette lancée. ça manque dans cette section.

[Nikon Nissoumi]

comme d'habitude, je suis en désaccord complet avec ce qui a été écrit.

La force de cette photo est sa crudité. Bourrelets, cellulite, tatouages ainsi que ce décor prosaïque.

Au lieu d'atténuer ce que certains pensent être des défauts et qui n'en sont pas, je pense qu'il faudrait aller dans le sens du courant de la photo intimiste et les montrer sans complexe mais dans une action et un lieu cohérents.

Montrer les gens tels quels dans leur environnement.

Avec un modèle c'est moins évident, puisque ce genre de photo est plutôt faite en vivant avec la personne photographiée.

Photographier le modèle dans des moments de sa vie quotidienne où évidemment le corps apparaisse avec ses caractéristiques et ses tatouages.

Par exemple en mettant en place un dialogue avec elle ou au lieu de poser, elle écouterait ou parlerait ou se baladerait chez elle ou poserait à sa façon, se présenterait, se montrerait. Jouer sur son narcissisme. (sa "fierté" comme on dit).

"Voilà ! ça c'est moi ! et alors ?"

Ceci n'est que mon ressenti, mon avis etc.

Et moi je pense que tu n'as pas compris.
Ce n'est pas tant la photo qui soit critiquable que les codes qu'elle véhicule.
A l'origine, la démarche "suicide" qui se revendiquait alors comme un mouvement féministe et qui a d'ailleurs été fondé par une femme photographe américaine avait, entre autres choses, comme but annoncé de casser les normes en vigueur dans le milieu de la photo de mode/charme afin de permettre à toutes les femmes rejetées par ce système de se libérer des normes et stéréotypes qu'il véhiculait et qu'il imposait.
Le mouvement "suicide" prétendait y arriver en bousculant la bien séance et l'ordre établi en s'inscrivant volontairement dans un rejet agressif avec une référence marquée pour la culture underground.
Le recours au tatouage (longtemps refusé par "l'establishment" de la mode), une parole libérée et crue ainsi qu'une sexualité débridée et provocatrice sont quelques uns des apanages de celles qui rejoignent le mouvement.
En se tatouant, en posant nue et en ne cachant rien de ses tendances sexuelles la "suicide girl" commet une sorte de suicide social irréversible (d'où l'explication du terme "suicide") qui est supposé faire d'elle une femme définitivement libre et assumée sans possibilité de retour en arrière.
Voire... 

Quand on s'y intéresse d'un peu plus près (et en ce qui me concerne c'est la rencontre d'une suicide girl qui a fait que je me sois penché sur la question), il apparait assez vite qu'en fait d'émancipation de la femme, le mouvement "suicide" à surtout mis en place un système relativement pernicieux qui draine à lui des jeunes filles finalement pas forcément ni si libre ni si bien que ça dans leur peau et qu'en prétextant de les libérer, il les exploite sans vergogne ni beaucoup de soucis de ce qu'elles deviendront en suite.
Quand on choisit de se "suicider" à vingt ans, il convient de comprendre que c'est pour la vie et que ça peut être très lourd de conséquences ultérieurement. 

Ici je n'analysais pas particulièrement la photo ou la pose du modèle présenté et je suis intimement convaincu qu'il soit possible de photographier la nudité (féminine ou masculine d'ailleurs) sous toutes ses formes et à tous les âges et de le faire bien, attendu que c'est le seul talent qui déterminera du résultat final. 
Non, ce que je veux rappeler c'est qu'en tant que photographes nous avons aussi une responsabilité et (je veux le croire  ) une éthique. En photographiant des modèles "suicide" (ou assimilables), il convient de garder à l'esprit que, quelque part, c'est à cette organisation finalement pas forcément très reluisante qu'on fait référence et qu'on contribue ainsi plus ou moins directement à promouvoir.
Après, à chacun de faire avec sa conscience, ses convictions et en fonction des circonstances, bien évidement mais à la condition préalable cependant d'avoir fait l'effort de bien comprendre tout les tenants et les aboutissants du message véhiculé par les images qu'on crée et ce à quoi il renvoie.
Je ne parlais donc clairement pas de technique photographique ou de sensibilité artistique mais bien d'un problème de société.               

[shamrock]

Ce qui me gêne, c'est la mise au point trop en arrière; le canapé est plus net que les chaussures qui font pourtant partie du sujet et sont en premier plan.
Le focus aurait du être fait AMHA sur les calligraphies du molet avec une zone de netteté englobant d'un coté les chaussures et de l'autre la cuisse...