Charte 18%

Démarré par Dormeur74, Mars 18, 2019, 21:29:56

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Laure-Anh

Et dans le cas d'un éclairage monosource, la mesure dôme sorti en direction du boîtier est elle-même une "exposition à droite" par rapport à la mesure dôme sorti en direction de la source : et ne peut pas à ce titre servir à photographier le tout-venant (c'est-à-dire surface plane noir 8%, surface plane gris moyen 18%, surface plane blanc mat 98%,  perpendiculaires à l'axe optique ou tournées selon n'importe quel angle par rapport cet axe ; modèle humain, nu ou habillé, quel que soit son maquillage, quel que soit l'angle sous lequel il est perçu par le boîtier ;  objet non plan mais ovoïde de ton blanc mat 98% ; tout à la fois ou bien séparément.)

Pour photographier le tout-venant dans le cas ci-après, il faut prendre l'expo qui découle de la mesure avec flashmètre dôme sorti ou bien dôme rentré en direction de la source : autrement dit, prendre en compte la valeur de 2000 lux, et non pas 1700 lux, ni 1400 lux.

Gérard B.

P.T..n! Quand j'ai fait des photos avec flashs studio avec exposition réussie, je ne savais que c'était si compliqué. Comme le mode d'emploi et quelques photographes confirmés me l'on appris, j'ai placé le flashmètre près du modèle dôme tourné vers l'objectif. ;D

matopho

#277
 [at] Laure-Anh

Où allez-vous chercher tout cela ? Que vient faire l'exposition à droite dans tout cela ? Exposez à droite c'est, pour faire court, ajouter 1,33 IL à l'exposition mesurée.

Je repose ma question : comment mesurez-vous quand l'éclairage est rasant pour, par exemple, faire ressortir le volume d'un tableau ou d'un bas relief ?

Citation de: Gérard B. le Avril 02, 2019, 23:08:28
P.T..n! Quand j'ai fait des photos avec flashs studio avec exposition réussie, je ne savais que c'était si compliqué. Comme le mode d'emploi et quelques photographes confirmés me l'on appris, j'ai placé le flashmètre près du modèle dôme tourné vers l'objectif. ;D

Cela fait depuis presque le début de ce fil que tout le monde répète la même chose. Sauf Laure-Anh qui s'obstine à vouloir mesurer l'exposition en pointant le dôme en direction de la source et à ajouter d'autres considérations qui n'ont rien à voir avec la mesure de l'exposition.
+ c loin - c net

zuiko

Laure-Anh ou pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué...
;)

seba

Le principe de Laure-Anh, c'est que la zone la plus claire et la plus éclairée du sujet ne soit pas cramée.
Evidemment ça peut arriver en cas d'éclairage très latéral avec mesure conforme au mode d'emploi (ce qu'on remarque sur beaucoup de portraits).
Le seul truc qu'elle peut conseiller, c'est de ne jamais suivre le mode d'emploi des posemètres.

Tonton-Bruno

Citation de: seba le Avril 03, 2019, 06:59:11
Le seul truc qu'elle peut conseiller, c'est de ne jamais suivre le mode d'emploi des posemètres.
Elle conseille systématiquement de ne pas suivre les indications des constructeurs.

Pour la sensibilité des capteurs, c'est pareil.
Elle conseille d'appliquer systématiquement une sensibilité plus faible de 1 IL par rapport à la sensibilité affichée par les constructeurs, "pour mieux remplir les photosites".
Cette méthode aberrante conduit à utiliser au développement des courbes de transfert totalement linéaires qui donnent des images plates immondes qu'il faut ensuite triturer pour leur redonner un contraste acceptable.

Beaucoup de photographes s'imaginent à tort que le secret des bonnes photos réside dans l'emploi de techniques très compliquées, alors que pour ne pas se tromper il suffit de suivre les recommandations simples des fabricants, ce qui permet de se focaliser sur les seules choses vraiment importantes: l'esthétique et la sensibilité.

megaboub


Et en termes de diaph, ça fait combien d'écart 300 lux ?

Dormeur74

Certe Laure-Ahn déconseille de respecter les notices, mais on ne peut pas lui reprocher de manquer d'argumentation ; je préfère de loin une démarche de ce type à une position reposant sur  "le principe de l'autorité", "l'orthodoxie" ou "la force de l'usage". Et qui est dans les petits papiers des constructeurs d'hier et d'aujourd'hui pour savoir s'ils n'ont pas suivi aveuglément l'invention de Norwood après avoir vérifié qu'on ne pouvait pas l'améliorer ?
Cela dit, il est trop tard pour moi, à 70 spires, de changer mes habitudes. Et cela est d'autant plus vrai que je n'ai jamais été confronté à la situation étrange lue ici : "Je n'ai pas droit à l'erreur : quelle mesure est-ce que j'utilise ?".
Sur ce point, je rejoins complètement Tonton Bruno quand il écrit : "J'ai toujours considéré qu'un bon photographe de studio, c'était avant tout un bon directeur d'acteur et un bon éclairagiste. Appuyer ensuite sur le bouton au bon moment, c'est presque secondaire".
En argentique, un dos polaroid permet de prévisualiser le résultat global assez rapidement, en numérique on peut choisir son ouverture en temps réel avec une simple carte du type Eyefi.
Pour moi la plus grosse faute n'est pas de mal orienter son dôme, mais d'en arriver à ne pas avoir droit à l'erreur. Je crois qu'il faut savoir raison garder.
Le sujet n'en est pas moins intéressant.

seba

Citation de: megaboub le Avril 03, 2019, 10:12:03
Et en termes de diaph, ça fait combien d'écart 300 lux ?

Entre 1400 et 1700, ça fait environ 0,3 IL.

seba

Citation de: Dormeur74 le Avril 03, 2019, 10:36:44
Et qui est dans les petits papiers des constructeurs d'hier et d'aujourd'hui pour savoir s'ils n'ont pas suivi aveuglément l'invention de Norwood après avoir vérifié qu'on ne pouvait pas l'améliorer ?

A mon avis c'est simplement que tout le monde a trouvé que le dôme remplissait bien son office et c'est devenu incontournable. Sans changer quoi que ce soit dans le mode d'emploi.
D'ailleurs je suis tombé sur des mesures de réponse effective du dôme sur deux posemètres différents, la courbe de réponse n'est pas la même et en plus aucun des deux ne suit une cardioïde, ça s'en écarte plus ou moins (mais pas énormément).

frmfrm

Citation de: seba le Avril 03, 2019, 12:02:04
Entre 1400 et 1700, ça fait environ 0,3 IL.

A mon avis, ca doit faire moins que ça parce qu'une valeur est mesurée avec le dôme et l'autre avec le disque. Les constantes de calibration sont différentes ( environ 320 pour le dôme et 250 pour le disque) ce qui fait qu'on doit avoir environ 1/10 d'EV de différence pour les expos données par le posemetre.

Maintenant,avec les mêmes valeurs (320 et 250) on doit arriver à 0,4 EV si on mesure la même source (dans l'axe de la source ) entre le dôme et le disque.


seba

#286
Citation de: frmfrm le Avril 03, 2019, 12:28:52
A mon avis, ca doit faire moins que ça parce qu'une valeur est mesurée avec le dôme et l'autre avec le disque. Les constantes de calibration sont différentes ( environ 320 pour le dôme et 250 pour le disque) ce qui fait qu'on doit avoir environ 1/10 d'EV de différence pour les expos données par le posemetre.

Maintenant,avec les mêmes valeurs (320 et 250) on doit arriver à 0,4 EV si on mesure la même source (dans l'axe de la source ) entre le dôme et le disque.

Peut-être. Comme je n'ai pas de posemètre avec disque et dôme, je ne peux pas comparer.
Il faudrait voir si la mesure est la même ou pas dans l'axe.

Remarque, en principe, dans l'axe, dôme sorti ou rétracté ça devrait être pareil (à moins que le mécanisme soit connecté à une bidouille électrique).
...
Ah non pas forcément, j'ai vu un dessin où on voyait que la cellule derrière le dôme était placée de manière à voir plus ou moins de la surface du dôme sorti ou rétracté.

frmfrm

Citation de: seba le Avril 03, 2019, 12:49:03
Peut-être. Comme je n'ai pas de posemètre avec disque et dôme, je ne peux pas comparer.

Tu peux regarder la doc d'une sekonic, pages 21 et 22 :

http://www.cameramanuals.org/flashes_meters/sekonic_l-408_manual.pdf

Les constantes de calibration sont 250 pour le disque et 340 pour le dôme.

Pages 21 paragraphe 9.2, il y a un exemple de calcul ( mais il n'est pas forcement clair et contient une erreur dans le développement :-) )

2.5, c'est C / 100 ,  la constante de calibration  (250 ) divisée par la valeur de la sensibilité ( 100 ISO ).
2 EV doit se lire 2 puissance l'exposure value donnée par le posemètre.   ( 2 ^ 9,5 = 724 ).

Si on lit 9.5 EV avec le disque, c'est que l'on a mesuré un éclairement de 2,5 * 724 = 1810 lux.

Si on utilise la même formule, mais avec la constante de 340, il faut un éclairement de 2460 lux pour obtenir 9.5 EV en lecture sur le posemètre.


Laure-Anh

Citation de: frmfrm le Avril 03, 2019, 17:25:34
Les constantes de calibration sont 250 pour le disque et 340 pour le dôme...

C'est pour que le flashmètre dôme rétracté dirigé vers la source et le même flashmètre dôme sorti dirigé vers la source disent la même chose...

Laure-Anh

Citation de: matopho le Avril 02, 2019, 23:29:10
[at] Laure-Anh

Où allez-vous chercher tout cela ? Que vient faire l'exposition à droite dans tout cela ? Exposez à droite c'est, pour faire court, ajouter 1,33 IL à l'exposition mesurée.

Exposer à droite, c'est exposer plus clair que l'expo juste liée à la lumière qui sert à photographier sans cramer les hautes lumières utiles.
C'est ce qu'a fait Seba avec son orange : elle est plus claire sans pourtant autant cramer les HL utiles , reflets spéculaires exclus, et cela sans que l'écart de contrastes soit modifié.

Optimiser à la prise de vue l'acquisition du fichier RAW par un ajout volontaire de +1IL1/3, c'est tout-à-fait autre chose.
Par exemple, tu photographies une charte CMP en calant la luminance 50 à 50 et la luminance 96 à 96 : puis tu ajoutes +1IL1/3 à cette expo juste "traditionnelle".
C'est une manip liée au fait que les constructeurs tels que Canon, Fujifilm ont calé la limite "utilisateurs grand-public" à 1IL1/3 en deçà de la limite réelle de saturation du capteur.

matopho

Citation de: Laure-Anh le Avril 03, 2019, 23:19:41
...
C'est une manip liée au fait que les constructeurs tels que Canon, Fujifilm ont calé la limite "utilisateurs grand-public" à 1IL1/3 en deçà de la limite réelle de saturation du capteur.

C'est le résultat de la définition de la valeur ISO. Voir les référence dans les messages précédents. C'est donc en principe valable pour tous les fabricants, à quelques petites variations près.
+ c loin - c net

frmfrm

Citation de: Laure-Anh le Avril 03, 2019, 23:00:43

C'est pour que le flashmètre dôme rétracté dirigé vers la source et le même flashmètre dôme sorti dirigé vers la source disent la même chose...

Non parce que par principe ils ne disent pas la même chose.

Tu peux aller voir la page suivante ou tu retrouveras l'équation pour une mesure incidente ( et E est identique pour un disque ou pour un dome puisque l'on mesure la même source).  Elle est dans une forme un peu différente de celle donnée dans la doc sekonic.

Regarde aussi la partie "Calibrated reflectance" :-)


Laure-Anh

Citation de: Dormeur74 le Avril 03, 2019, 10:36:44
Certe Laure-Ahn déconseille de respecter les notices, mais on ne peut pas lui reprocher de manquer d'argumentation ;
je préfère de loin une démarche de ce type à une position reposant sur  "le principe de l'autorité", "l'orthodoxie" ou "la force de l'usage". Et qui est dans les petits papiers des constructeurs d'hier et d'aujourd'hui pour savoir s'ils n'ont pas suivi aveuglément l'invention de Norwood après avoir vérifié qu'on ne pouvait pas l'améliorer ?

Cela dit, il est trop tard pour moi, à 70 spires, de changer mes habitudes. Et cela est d'autant plus vrai que je n'ai jamais été confronté à la situation étrange lue ici : "Je n'ai pas droit à l'erreur : quelle mesure est-ce que j'utilise ?".

Merci pour ta bienveillance.
Il est étrange que personne ne régisse au fait que "mesurer une source flashmètre dirigé vers le boîtier" implique qu'il faille un boîtier positionné à un endroit donné pour que la mesure puisse être effectuée. Comment mesure-t-on une source : cela peut se faire et cela se fait indépendamment du boîtier dont la présence n'est pas requise.
Le flashmètre prend pour référence le gis moyen 12,5%. Canon et Fujifilm prennent également ce gris moyen 12,5% pour référence pour leurs boîtiers.
Dans le cadre général, c-à-d pour photographier le tout-venant, on mesure la (mono) source flashmètre dôme sorti ou bien dôme rentré dirigé vers la source et on utilise cette expo quel que soit l'angle de vue ; en ce faisant on a l'expo juste liée à la monosource et on peut y ajouter +1IL1/3 sans crainte de cramer quoi que ce soit.

Dans  le cadre de cas que j'ai soumis, pour photographier le tout-venant , à savoir un objet ovoïde ou sphérique en verre blanc mat 98% et une charte blanche, quel que soit l'angle de vue, c'est l'expo liée à 2000lux qu'il faut utiliser en mode d'enregistrement jpeg , et on y ajoutant +1IL1/3 en mode d'enregistrement RAW.

Si l'on utilise l'expo liée à 1400 ou bien à 1700 lux, on crame le blanc mat 98%de la sphère en mode d'enregistrement jpeg ; de même, on crame le blanc mat 98%de la sphère en mode d'enregistrement RAW si l'on y associe +1IL1/3. Cela ne fait pas un pli. Si l'on utilise l'expo liée à 1400 ou bien à 1700 lux en mode d'enregistrement RAW en utilisant la limite de saturation "utilisateurs grand-public" calée à 1IL1/3 en deçà de la limite réelle de saturation du capteur, on s'y prend de la mauvaise manière pour mesurer la monosource mais cette mauvaise manière de faire est sans conséquence pratique. Avec une marge de manoeuvre hyperconfortable de +1IL1/3, on s'aveugle tant et plus, on se fourvoie, et on chambre les copines parce que c'est plus facile que de se remettre en question.

Si tu as un globe en verre blanc mat 98% ou bien un objet ovoïde blanc 98% chez toi, fais l'essai par toi-même...
Sinon, je prendrai le temps de te poster ça ce week-end.
Amicalement,

frmfrm


seba

Citation de: frmfrm le Avril 03, 2019, 17:25:34
Tu peux regarder la doc d'une sekonic, pages 21 et 22 :

http://www.cameramanuals.org/flashes_meters/sekonic_l-408_manual.pdf

Les constantes de calibration sont 250 pour le disque et 340 pour le dôme.

Pages 21 paragraphe 9.2, il y a un exemple de calcul ( mais il n'est pas forcement clair et contient une erreur dans le développement :-) )

2.5, c'est C / 100 ,  la constante de calibration  (250 ) divisée par la valeur de la sensibilité ( 100 ISO ).
2 EV doit se lire 2 puissance l'exposure value donnée par le posemètre.   ( 2 ^ 9,5 = 724 ).

Si on lit 9.5 EV avec le disque, c'est que l'on a mesuré un éclairement de 2,5 * 724 = 1810 lux.

Si on utilise la même formule, mais avec la constante de 340, il faut un éclairement de 2460 lux pour obtenir 9.5 EV en lecture sur le posemètre.

OK vu, merci.

seba

Citation de: Laure-Anh le Avril 03, 2019, 23:52:32
Il est étrange que personne ne régisse au fait que "mesurer une source flashmètre dirigé vers le boîtier" implique qu'il faille un boîtier positionné à un endroit donné pour que la mesure puisse être effectuée.

Il est étrange que tu n'aies jamais lu le mode d'emploi des posemètres.

Tonton-Bruno

Citation de: seba le Avril 04, 2019, 06:51:15
Il est étrange que tu n'aies jamais lu le mode d'emploi des posemètres.
Ce n'est pas si étrange que ça.
Elle n'en possède pas et n'en a sans doute jamais utilisé.

egtegt²

Citation de: Laure-Anh le Avril 03, 2019, 23:19:41

Exposer à droite, c'est exposer plus clair que l'expo juste liée à la lumière qui sert à photographier sans cramer les hautes lumières utiles.
C'est ce qu'a fait Seba avec son orange : elle est plus claire sans pourtant autant cramer les HL utiles , reflets spéculaires exclus, et cela sans que l'écart de contrastes soit modifié.
[...]
Ça n'est pas tout à fait juste, exposer à droite c'est exposer pour que les HL soient à la limite d'être cramées. Dans certains cas, ça peut correspondre à l'exposition juste, voire à une exposition plus sombre que l'idéal. Ça dépend du niveau des HL de ta scène. Ce que tu dis est vrai si les HL ne sont pas trop fortes.

frmfrm

Citation de: Laure-Anh le Avril 03, 2019, 23:19:41

Optimiser à la prise de vue l'acquisition du fichier RAW par un ajout volontaire de +1IL1/3, c'est tout-à-fait autre chose.
Par exemple, tu photographies une charte CMP en calant la luminance 50 à 50 et la luminance 96 à 96 : puis tu ajoutes +1IL1/3 à cette expo juste "traditionnelle".
C'est une manip liée au fait que les constructeurs tels que Canon, Fujifilm ont calé la limite "utilisateurs grand-public" à 1IL1/3 en deçà de la limite réelle de saturation du capteur.

C'est quoi la limite "utilisateur grand public" :-)

Il y a pas mal de normes pour les APN.

Une d'entre elle définie la sensibilité Ssat qui place la saturation à environ 3 diaphs au dessus du gris moyen. En fait on prend une réserve de 41% au dessus de 100% de réflexion.   ( log2(141/18) = 2.97 ). A cette sensibilité, on capture tout entre 18% et 141% de réflexion. La réserve de 41% permet de capturer un peu des spéculaires ou permet une légère erreur sur l'expo. Cette sensibilité est la sensibilité mesurée sur le site DXOMARK.

Mais les fabricants sont généreux et certains proposent plus, voir pas mal plus.

Pour un pentax 645Z on doit avoir la saturation à environ 3,1 diaphs du gris moyen.
Pour un leica M10 il me semble qu'on a la saturation à pas loin de 4 diaphs du gris moyen.

Plus la sensibilité mesurée par DXO est éloignée de la sensibilité "constructeur", plus la marge/réserve est grande.

Maintenant si tu photographie un objet qui réfléchit 90% de la lumière incidente, il est à 2,32 diaphs du gris moyen, si tu ajoute 1,3 " d'optimisation ", tu arrives à 3,5 diaphs. Il sera cramé avec le pentax, mais pas avec le leica .

Les appareils n'ont pas tous la même réserve , ajouter quelque chose peut se concevoir ( en sachant bien ce que l'on fait :-) ), mais je crois qu'il il faut le calculer pour son appareil ( et surtout tenir compte  de la scène à capturer ) et pas prendre un truc tout prêt trouvé sur CI ;-)

Arnaud17

La seule vérité absolue en mesure de la lumière est qu'il n'y a que des valeurs relatives.

Dans ce fil, il y avait des données de départ qui étaient partiellement fausses, venant de n'importe ou.
Rapidement, il y a eu bifurcation sur les bienfaits du dôme pour la lecture incidente.
On pourrait même croire qu'il n'y a pas de salut en dehors le dôme.
Le perfide a fini par céder à la tentation de médire pour essayer d'avoir raison.

Lamentable.
veni, vidi, vomi