FLAVO FLORES

[Henrid]

Une très jolie petite leur bien mise en valeur. 

[Seb65]

Les images 8 et 11 seront mes préférées dans cette seconde série ! Bravo Roland ! 

[Jorel]

Bien réalisé et bien mesuré en terme de lumière. Une belle douceur qui ne peut que me plaire... bravo

Philip

[agl33]

Une très jolie petite leur bien mise en valeur. 

Tout à fait

[Clic-Clac 51]

Bien réalisé et bien mesuré en terme de lumière. Une belle douceur qui ne peut que me plaire... bravo
Philip

Tout pareil
Bravo Roland
Amicalement Denis

[robsou]

Un + pour les 10 et 12 dans cette jolie série!

Robert

[Roland Ripoll]

Merci !

La Saxifrage des ruisseaux (Saxifraga aizoides), appelée également Saxifrage faux orpin, pousse en touffe dans les lieux humides, près des sources et des bords de ruisseaux.

Les fleurs d'un jaune lumineux, parfois orangé, réunies en une courte grappe assez lâche, s'épanouissent de juillet jusqu'à début septembre.

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[Henrid]

Merci pour les fleurs sauvages du matin. 

[Clic-Clac 51]

Dans cette série, ce sera surtout la 5 qui retient mon attention
Amicalement Denis

[robsou]

Un + aussi pour la 5 dans cette série sur la Saxifrage des ruisseaux.

Robert

Dans cette série, ce sera surtout la 5 qui retient mon attention
Amicalement Denis

[Jorel]

Une suite un peu "bruitée" mais un sujet des plus agréable. Difficile complémentarité des couleurs et lumière un peu basse, mais résultat agréable. bravo à vous

Philip

[Seb65]

C'est pas la plus photogénique !  La 2 me plait plus particulièrement ! 

[Roland Ripoll]

Merci !

Ce n'est pas la plus photogénique c'est vrai, mais elle a quand même un certain charme... Et puis ce n'est pas une fleur souvent photographiée.

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[Henrid]

Merci pour les petites fleurs sauvages du matin.
Amitiés 

[Jorel]

C'est que le sujet est pas vraiment facile à valoriser. Belle compositions néanmoins et bel équilibre dans les couleurs.

Philip

[Roland Ripoll]

Merci !

L'Hélianthème à feuilles de saule (Helianthemum salicifolium) est une espèce généralement discrète. En effet,  la fermeture des fleurs en cours de journée le rend parfois difficile à repérer. Il se reconnaît à la petite taille de ses fleurs, d'un beau jaune pâle, dépassant à peine du calice, celui-ci étant très visible.

Il pousse dans les garrigues, les pelouses sèches, les rocailles ensoleillées, en milieux calcaires ou siliceux, jusqu'à 700 m d'altitude. Il fleurit d'Avril à Mai.

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[Jorel]

Fleur bénéficiant d'un bokeh moins agréable que sur les précédentes propositions. Mais photographies bien réalisées.

Philip

[Ludo37]

Superbe cette fleur ! Bravo à toi Roland.
Amicalement.

[Charly 84]

Encore une très belle série,  merci pour la découverte

[Seb65]

Une jolie série avec un faible pour la 2 ! 

[Roland Ripoll]

Merci !

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[Seb65]

Cette fois-ci, ce sont la 7 et la 12 qui me séduisent le plus ! Bravo Roland ! 

[Clic-Clac 51]

Un p'tit plus pour la 9
Amicalement Denis

[Roland Ripoll]

Merci à vous deux !

Le Séneçon du Cap (Senecio inaequidens) ou "Séneçon de Mazamet" (parce que c'est dans cette ville que des graines de séneçon, en provenance d'Afrique du Sud, ont sans doute été introduites autour des années 1930, après une opération de lavage ou de façonnage des peaux de moutons dans lesquelles elles étaient accrochées) est une plante invasive, reconnaissable à ses 13 pétales.

Il faut dire qu'elle a quelques "propriétés" qui facilitent son expansion:

- elle fleurit toute l'année, avec une pollinisation soit entomogame (assurée par les insectes), soit autogame (organes mâles et femelles sur une même fleur).

- ses graines (elle peut en produire plus de 10.000 par an), d'une grande longévité, sont facilement dispersées par le vent et les poils des animaux.

- elle résiste bien aux incendies qui semblent même faciliter sa croissance.

- elle est toxique à la fois pour les plantes voisines et pour ses éventuels prédateurs, y compris la plupart des insectes et des herbivores.

En occupant rapidement les surfaces où elle s'implante, elle concurrence et étouffe les espèces indigènes qui ne peuvent persister sous son couvert. De plus, sa capacité à sécréter dans le sol des substances chimiques qui inhiberaient le développement des plantes adjacentes favoriserait du coup son propre démarrage.

Considéré par certains comme un "fléau" pour la flore locale et la biodiversité, le séneçon du Cap fait parfois l'objet d'éradication par certaines collectivités, comme par exemple sur la Dune du Pilat en Gironde...

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[Henrid]

Il faudra que je compte les pétales, mais je dois en avoir chez moi...
Merci pour la série et les explications.