Ça fait doit faire 2500 fois qu’il répète qu’on ne vois pas de Sony au bord des stades.
La conversation , le soir au dîner chez les NW, doit être un peu lassante.
La chanson du Sony bashing

Les temps sont durs, faut pas rêver
Faut s’ serrer la ceinture
Faut pas crever
Moi, j’ai choisi une femme
Qui n’sait pas cuisiner
Et toute la vie elle va me faire bouffer
Lundi, du Sony bashing
Mardi, du Sony bashing
Mercredi, du Sony bashing
Jeudi, du Sony bashing
Vendredi, du Sony bashing
Samedi, du Sony bashing aussi
Et le dimanche, le jour du Seigneur
Chez nous, on mange
Du Sony bashing au beurre
Moi, je finirai jardinier
En l’an 2000, on m’appellera Parmentier
Même la nuit, je rêve de steak haché
Mais apparemment chez nous
Y a pas de boucher
Lundi, du Sony bashing
Mardi, du Sony bashing
Mercredi, du Sony bashing
Jeudi, du Sony bashing
Vendredi, du Sony bashing
Samedi, du Sony bashing aussi
Et le dimanche, le jour du Seigneur
Chez nous, on mange
Du Sony bashing au beurre
Ô Don Camillo,
Avec un petit morceau de pain
Et un canon de rouge
Donne-nous aujourd’hui
Notre Sony bashing au beurre
Lundi, du Sony bashing
Mardi, du Sony bashing
Mercredi, du Sony bashing
Jeudi, du Sony bashing
Vendredi, du Sony bashing
Samedi, du Sony bashing aussi
Et le dimanche, le jour du Seigneur
Chez nous, on mange
Du Sony bashing au beurre
Les temps sont durs, faut pas rêver
Y a que les pommiers pour nous sauver
Avant de les maudire, qu’ils veuillent se réveiller
Je sens bien que ça va nous arriver
Pour de vrai
Lundi, du Sony bashing
Mardi, du Sony bashing
Mercredi, du Sony bashing
Jeudi, du Sony bashing
Vendredi, du Sony bashing
Samedi, du Sony bashing aussi
Et le dimanche, le jour du Seigneur
Chez nous, on mange
Du Sony bashing au beurre