Mon premier appareil photo en 1975, était le Pentax Spotmatik équipé d'office du Takumar 55 1,8 et, 10 ans plus tard, je n'avais pas l'impression de réussir à cadrer correctement !
J'avais alors environ 40 ans, toujours sportif, pouvais donc "cadrer avec les pieds, mais, dès l'apparition du numérique, pas question de recadrer, surtout avec le petit Pentax istDS de seulement 6 Mp, pas mieux avec le 30 D de Canon, assez bien 5 ans plus tard avec le Nikon D 700, mais toujours quelques limites.
Le hasard ou la malchance a voulu que, 35 ans après ce premier boitier argentique, un camion me percute en moto > amputation du pied gauche, puis du droit exactement pareil, amputations tibiales qui permettent d'obtenir des prothèses sophistiquées (faut les mériter

) avec pieds articulés;
Sauf que, pour l'équilibre, on a l'impression, surtout la certitude d'être monté sur échasses, comme dans les Landes, fort Mistral à éviter ou mouvement de foule, autrement dit, mieux vaut par prudence photographier assis, de préférence sur un scooter électrique pour handicapés.
Le champ de vision ne parait plus le même, avantage dans le cas de matériel plutôt lourd: Alpha 900 + 55-300, plus récemment, Alpha 7 III + 24-105 f 4
En ce début 2023, j'ai décidé de ne "plus me pourrir la vie", donc de sortir léger, on trouve toujours un coin tranquille où se planquer, surtout à Paris > Dès le retour d'un peu de chaleur, ce sera entre:
1) Nex 5 N + 20 2,8 > cadrage équivalent 30 mm, tel un smartphone
2) Alpha 7 III + 50 1,8 (33 mm) ou 75 1,8 (50mm)
3) Alpha 900 + 35 1,8 soit du presque grand angle 23 mm
Avec surtout, faut bien quelques avantages quant on ne marche pas trop bien > le Nex autour du coup et, par ex, l'A 7 III + 75 1,8 dans le panier devant, planqué dans une sacoche neutre, épicétou M'sieurs Dames

PS:avec l'âge, il me faut en plus supporter des bésicles, à verres teintés progressifs, une calamité dès qu'il pleut 3 gouttes, si je me récupérai un monocle d'un bourgeois Tonton par alliance, je vous ferai du Zola sans le savoir, vous en pleurez d'avance de désespoir, je présume...