Il y a aussi la solution, évidemment "limite", d'encaisser le chèque et lui dire que c'est parti gratuitement en courrier normal au moins cher sans accusé de livraison...
Comme tu dis, elle est limite et elle se retournera contre le vendeur.
En règle générale, bien que le chéque ne soit pas un mode paiement liberatoire, généralement on fait l'échange:
chéque contre bien.
Lorsqu'on traite en correspondance, l'encaissement du chéque "prouve" le paiement" mais le vendeur doit prouver également qu'il a bien envoyé.
Il est libre de son engagement lorsque l'acheteur a reçu le produit.
Donc en cas de soucis, il doit apporter la preuve de l'envoi... pour sa bonne foi.
Si toutefois, il y avait un probléme avec le transporteur: ceci est le probléme du vendeur et non de l'acheteur.
Donc en cas de malentendu, litige, une partie qui n'est pas sérieux.... il est fortement déconseillé de faire de m^me et volontairement ( à ce propos, vous le voyez vous-m^mes dans les litiges qu'on peut avoir des pros, la 1er attitude de ces derniers est de bien respecter les codes, ne pas faire "plus" et surtout jamais "moins" et être dans cette ligne d'attitude qu'on ne pourra pas reprocher ( entres autre: impolitesse, ironie, sous-entendre, promos réprimants etc.... ).
Dans notre exemple, Focal8 a convenu d'une chose auprés de l'acheteur: ce dernier envoie le chéque sans les frais de port.
il encaisse le chéque, car dans l'attente ça l'empéche de le vendre ailleurs et fait savoir à son interlocuteur que le bien est disponible. ( cette étape est importante ).
Nb en ayant envoyé le chèque, l'acte de vente est commencée.A noter et il bon de rappeler, quel que soit la "convention" qu'on peut faire avec un chéque ( caution , encaissement à telle date etc...) une fois que le bénéficiaire a le chèque, il peut l'encaisser immédiatement malgré les accords passés.
c'est une transaction qui est basée sur la confiance... et l'émetteur ne peut rien faire contre.