L’Olympus Pen E-P5 est équipé d’un capteur Cmos au format micro 4/3 de 16 Mpix, un modèle similaire à celui de l’Olympus OM-D. Il emprunte aussi à ce dernier le processeur True Pic VI. L’alliance des deux devrait assurer la même qualité d’image que celle de l’OM-D, notamment à haute sensibilité jusqu’à 1.600 ISO. Le nouvel obturateur grimpe au 1/8000 s et le module AF a été amélioré pour diminuer la latence au déclenchement. Le pilotage en Wi-Fi de l’appareil est possible à partir d’un smartphone (Apple ou sous OS Androïd).

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Le nouveau viseur VF-4 présenté avec l’E-P5 est un gros atout pour l’appareil. Sans mauvais jeu de mot, sa résolution est “énorme” pour un viseur électronique (2.360.000 points), le dégagement oculaire important (21?mm) et le grossissement de l’ordre de x?1,48. Cela justifie un peu la taille spectaculaire de cet appendice.

Sa qualité devrait faire oublier son côté “pièce rapportée”, toujours préjudiciable sur les appareils experts qui, du coup, perdent la compacité et l’ergonomie qui, en principe, ont dirigé le choix initial et qui, conçus pour être montés sur la giffe porte-flash, privent du même coup de la possibilité de monter un flash accessoire.

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