LE SOMMAIRE EN IMAGE

Le point sur les nouveautés du mois en terme de matériel mais également les derniers livres parus. Une nouvelle rubrique fait son entrée dans ce numéro : « Environnement » pour vous donner une actu rapide sur la biodiversité et le patrimoine naturel français et mondial.

Sans oublier, les grandes expos de l’été partout en France et à l’étranger.

 Les Ailes du Vent de Grégory Bonnet.

Focus sur l’aigle royal, le coup de coeur de l’auteur. Dans cet ouvrage Grégory Bonnet rassemble ses meilleures images et les illustre par des aquarelles représentant le milieu Alpin, pour former un ensemble harmonieux.

Une auto-édition publiée en 1000 ex. Format 28×28 cm, 120 pages, 75 photos et 11 aquarelles.

Comme chaque année, Nat’Images met le Festival de Rambouillet à l’honneur. Pour cette 6e édition, Colette Cense remporte le premier prix avec cette image intitulée « Traversée périlleuse ».

 Les chasseurs des hauts plateaux
Adrien Lesaffre s’est rendu en Éthiopie, sur les plateaux du Mont Balé, pour y photographier l’élégant et peu farouche loup d’Abyssinie.

Sri Lanka, l’autre pays de la panthère
Alain Fournier raconte sa rencontre avec le félin…

Jacarès, une histoire d’eau
Cap sur le Pantanal (Amérique latine), où Pierre Vergnaud a photographié les caïmans à lunettes.

Pinail, havre de biodiversité au coeur du Poitou
Laurent Bourdin explique ce qui fait la spécificité de ce site poitevin.

Mares et rivières, la vie sous la surface
Yannick Gouguenheim explore les fonds des mares et en photographie les habitants.

Plein feux sur les odonates
Valentin Faivre photographie les libellules dans l’après-midi, quand la lumière est dure.

Mes nuits avec les chauves-souris
David Aupermann installe ses barrières infrarouges afin d’immortaliser le vol nocturne des chiroptères.

Prince des verticales
Le tichodrome échelette fait une halte dans le massif jurassien à l’automne. Un rendez-vous que Julien Arbez ne raterait pour rien au monde.

Brame… l’émoi des bois
Chez le cerf élaphe, la fin de l’été marque le début du brame, un rituel amoureux spectaculaire que Teddy et Didier Bracard photographient en s’armant de précautions.

Photographier le brame en parc… et pourquoi pas ?
Bernard Gauthier a listé les avantages à photographier le brame dans un cadre moins sauvage.

Les forêts enchantées
Nathalie Annoye restitue le pouvoir ensorcelant des arbres tortueux et des forêts profondes.

Les carnets naturalistes de Marcello Pettineo et Stéphane Hette : La Digitale pourpre.

Une grande partie de cette plante est tomenteuse… elle est recouverte de poils assez épais, mais attention, elle est toxique ! L’absorption de 40 grammes de feuilles fraîches est mortelle pour l’être humain.