LA TÊTE DE L’EMPLOI
QUAND URSUS FAISAIT SA PUB
PHO•pho•phoTUS !
Sur le principe de feu Motus, saurez-vous trouver ce mot de six lettres en lien avec la photographie ?
L'ACTU DÉCHIFFRÉe
2
40
1934
8500
C’est le nombre d’artistes (architectes, designer·euses, dessinateur·ices, graphistes, illustrateur·rices, peintres, photographes, plasticien·nes, sculpteur·rices) défendus par la SAIF depuis 1999. Vingt-cinq ans d’actions qui méritaient bien un film commémoratif.
5
49,8
1935
20000
6
74
1988
90000
C’est le nombre de photos produites par Norbert Ghisoland durant sa carrière. 45000 ont survécu aux affres du temps, dont un étrange portrait que son arrière-petit-fils Antoine a tenté de décrypter pour L’Avenir.
23
600
3000
C’est, en kilomètres, la longueur du Te Araroa trail, une randonnée longue distance à travers la Nouvelle-Zélande qu’a effectuée Dylan Moron, un photographe et vidéaste strasbourgeois (bon, il est peu question de photo dans la vidéo, mais c’est dépaysant).
32400000
C’est, selon d’habiles calculs, le salaire horaire de Richard Bellia.
Dans les journaux, les photos étaient encore en noir et blanc, et les gens n’avaient pas l’habitude de voir des photos de guerre en couleur. Bien sûr, aujourd’hui, plus personne n’y pense. À l’époque, savoir si la guerre devait ou non être montrée uniquement en noir et blanc ne faisait pas partie de mes préoccupations. Contrairement à ce qu’on a suggéré, je n’ai pas cédé à des pressions éditoriales. J’ai travaillé en couleur au Nicaragua parce que je réagissais à ce que je voyais, et peut-être à ce que je ressentais.
Je ne pense pas que la rue ait inspiré ou inspire la mode. La rue a vu certaines choses. Une fois les bas supprimés, il fallait les collants… Eh bien, le collant est encore là aujourd’hui ! La rue a accepté certains vêtements qui n’ont, depuis, jamais quitté le paysage. J’ai photographié le premier jean en 1961 : il est encore là. La suggestion vient toujours des créateurs mais la femme accepte ce qu’elle veut. Elle adopte ou elle abandonne.
la petite Musique de fin
On trouve tout sur Internet, y compris des études sur l’image photographique dans la chanson congolaise. Dans cet essai, Dieudonné Moukouamou Mouendo analyse la présence de la photo , « comme trace rémanente du passé ou comme forme d’expression métaphorique », dans les textes de Nguashi N’timbo, Trio Madjesi, Pamelo Mounk’a, Hardos Massamba et quelques autres. Avec « Wélé (Elle est partie) », par exemple, Zao livre une chanson d’amour aux résonances funestes, où la séparation avec l’être aimé est associée à la mort, le vers « Laisse-moi une photographie de toi au carrefour » étant une référence directe aux rites funéraires des ethnies Kongo.
« Clique Clac », c’est chaque jeudi le résumé d’une semaine sur la Toile
à travers quelques liens sélectionnés par la rédaction de Chasseur d’Images.