RETOUR SUR TERRE
LOUIS DUFAY, PIONNIER DE LA COULEUR
PHO•pho•phoTUS !
Sur le principe de feu Motus, saurez-vous trouver ce mot de six lettres en lien avec la photographie ?
EN BREF ET EN VRAC...
En concert, je vois beaucoup de photographes avec de gros objectifs, ils ne connaissent même pas le groupe, ne s’ambiancent pas et prennent toute la place… Quand tu vois leurs photos, ce n’est pas possible ! Le matos, ça ne fait pas tout. C’est inspirant qu’on soit plein de meufs à s’y mettre et à se retrouver en concert. Nos regards se complètent et on se tire vers le haut, il n’y a pas du tout de concurrence. Fuck les hommes, c’est notre tour.
J’ai fait des portraits, mais je préfère la photographie de rue parce qu’elle est plus honnête. Il y a tellement de choix à faire à la volée. Je pensais qu’en tant que photojournaliste, je tendais un miroir à la société, mais je me suis rendu compte que l’image dans le miroir est la mienne. Comme l’a dit Minor White, « toutes les photographies sont des autoportraits ». En fin de compte, mes photographies me parlent de moi.
la petite Musique de fin
Il y a 45 ans, The Vapors connaissait un joli (et unique) succès avec « Turning Japanese », chanson considérée à l’époque par certains comme une ode à la masturbation, quand bien même David Fenton, le chanteur-compositeur, affirmait le contraire : « C’était à propos de quelque chose que j’avais vécu moi-même. Une relation amoureuse se termine et vous n’avez plus que des photos. (…) Les Américains ont pensé que « Turning Japanese » était une expression argotique anglaise pour la masturbation, alors que j’avais trouvé la formule un matin au réveil. Ça aurait pu aussi bien être « Turning Portuguese » ! Au moins, ça a créé un intérêt autour du titre. Mais ce n’était pas l’intention, c’était juste une chanson d’amour. »
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