Bjr,
les zones brûlées "taillées au cutter" pour reprendre l'expression de Chasseurs d'images, sont les deux défauts les plus détestables à mon sens quand on vient de l'argentique, car ils sont "typiquement numériques".
Elles étaient fréquentes il y a encore peu d'années avec les APS C, et encore présent avec les 4/3.
Qu'en est-il maintenant avec le 550D (18millions de très petits pixels) !
merci
Zones "brulées" ou zones "floutées"... ?
Citation de: JamesBond le Octobre 20, 2010, 15:56:40
Zones "brulées" ou zones "floutées"... ?
Zones "brulées"
.
oui, mais au moins sur les Eos, le reglage de Contraste est Effectif et Efficace !!
... entre -2 et -4, meme les contre-jours assez violents passent !!
test Eos 20d a -2... + preuve qu'1 Pare-Soleil est mieux qu'1 Filtre UV = reflets indesirables !
Citation de: geraldb le Octobre 20, 2010, 15:53:04
Bjr,
les zones brûlées "taillées au cutter" pour reprendre l'expression de Chasseurs d'images, sont les deux défauts les plus détestables à mon sens quand on vient de l'argentique, car ils sont "typiquement numériques".
Elles étaient fréquentes il y a encore peu d'années avec les APS C, et encore présent avec les 4/3.
Qu'en est-il maintenant avec le 550D (18millions de très petits pixels) !
merci
Elles n'étaient pas moins fréquentes avec les fils inversibles (diapo) aussi exigeantes en matière d'exposition qu'un capteur numérique.
Les films inversibles constituaient la seule exception dans le photo argentique où le photographe pouvaient voir la photo brute de d&coffrage issue de leur boitier, contrairement aux fils négatifs conçus pour le tirage papier
avec les corrections d'exposition éffectuées par les tireuses automatiques qui rattrapaient l'exposition, le client final ne pouvant pas voir le résultat réel, dans toute sa virginité exempte de quelque correction qui soit.