Bonjour,
Ils sont peu souvent exposés en vitrine ou sur les forums et pourtant les box et détective ont connu un tel succès qu'il en existe une multitude de modèles différents.
Leur forme, un cube plus ou moins gros, varie peu, c'est peut-être cette monotonie qui les rend moins attachants aujourd'hui.
Peut-être que, sortis de leur carton et montrés, ils deviendront plus familiers et sympatiques...
Je commence.
Par un très simple, mais tout à fait capable de faire des photos, un Kodak Hawkeye Modèle CC, au format 6 x 9 pour pellicule 620.
Comme il n'a qu'un viseur sur le haut, la position du photographe est normale pour le portrait ; en paysage, il faudra viser de côté...
Un autre Kodak, même format 6 x 9, même pellicule 620, le "Hawkeye"-Major Six-20.
Celui-là a deux viseurs, les contorsions sont inutiles pour le paysage...
La face de cet Agfa Synchro Box est un peu moins austère.
Il utilise le film 120, pour un format de 6 x 9 (cm).
Encore un Kodak, le Brownie Flash II, avec quelques couleurs.
Format 6 x 9 et bobine 620.
Les Box-Tengor, de Zeiss-Ikon ont existé en plusieurs versions ; en voici une, la 54-2, au format 6 x 9 pour pellicule 120.
Le fabricant français Lumière avait aussi quelques boîtes dans son catalogue.
Comme ce Scoutbox, qui utilisait la bobine 620 pour un format de 6 par 9.
Celui-là mérite bien le nom d'Ambassador, sa brillance en impose.
Un Coronet au format 6 x 9 pour le 120.
Les appareils à plaques, ou détective, sont moins courants.
Ils sont pourtant souvent plus perfectionnés que les simples box, avec, comme par exemple pour celui-ci, des réglages de vitesses d'obturateur, de diaphragme et de distance.
Mais ils étaient aussi surnommés "casse-plaques", chaque plaque tombant sans ménagement sur la précédente pour passer à la suivante.
Ce modèle, sans marque, peut contenir douze plaques de verre, un compteur permettant de suivre le nombre de prises de vue.
Le système de passage à la plaque suivante est simple et ingénieux, et efficace (sauf la chute...) ; d'autres constructeurs ont été moins inspirés...
Le format des plaques est de 9 x 12 cm.
Encore un box simple, quoique...
C'est le Kodak Bulls-eye, le n°2, le premier modèle à utiliser du film souple en bobine avec papier protecteur sur lequel sont inscrits les numéros de vues.
Le film en question est le 101, pour un format carré de 3,5 x 3,5", ou environ 9 x 9 cm.
Le Bulls-eye ne paie pas de mine, vu de l'extérieur, mais, si on le déshabille pour lui mettre du film (il suffit de tirer une tige), l'aspect est tout autre.
Le bois est bien agencé, agréable à la vue ; et on peut regarder et comprendre comment fonctionne l'obturateur : mais c'est très simple !
Bonjour à tous,
J'ai une de ces boites, un modèle diffusé par Manufrance dans les années 50.
Je crois que c'est une des nombreuses déclinaisons fabriquées par Goldstein sous le nom de Goldy.
Daniel.
Bonjour,
oui c' est vrai que l'on présente peu les "box"
N° 1 - Kodak Brownie n°3
Fabriqué aux Etats-Unis (par : Eastman Kodak co. Rochester. N.Y.) de 1917 à 1934.
(fabriqué aussi au Canada par : Canadian Kodak Co. Ltd Toronto, Canada.)
Format du film : 124, vue 8 x 10,5 cm
(https://farm6.staticflickr.com/5516/9797908504_b069c17179_b.jpg)
N° 2 - Eastman Kodak n° 2A Brownie - modèle C
Fabriqué aux Etats-Unis à partir de 1907
(https://farm4.staticflickr.com/3698/9799122646_ef3a08aece_z.jpg)
N° 3 - Houghton Ensign E29
Fabriqué en Grande Bretagne à partir de 1930, de format..129.
Ici la version bleu (existe en différents coloris.)
(il manque la "bonnette" qui se fixe devant l'objectif à l' aide des deux vis à gauche de ce dernier)
(https://farm4.staticflickr.com/3830/9799005076_3aa84eeecf_z.jpg)
N° 4 - Kodak Brownie Starluxe II
Fabriqué en France à partir de 1960.
(http://arthrobota.piwigo.com/uploads/v/c/y/vcyd8lzcx4//2011/11/19/20111119161058-3a963714.jpg)
N° 5 - Coronet (Tiranty) box TD 16
Fabriqué en France à partir de 1950
(http://arthrobota.piwigo.com/uploads/v/c/y/vcyd8lzcx4/2011/04/18/20110418171908-81188376.jpg)
et dire que j' avais cru que j' étais rentré dans le monde du moyen format en me payant une Lubitel ... bon j' ai du faire une pelloche avec avant de le remiser et de prendre un rolleiflex 3.5 (planar, tessar et enfin xenotar)
j' ai récupéré un rolleiflex slx avec un planar 2.8 80 hft mais ... pas de chargeur donc ca me fait un beau presse papier :D
Sont-y pas beaux ?
;-)
Citation de: Verso92 le Février 16, 2016, 19:19:43
Sont-y pas beaux ?
;-)
Bsr Verso
doit-on sortir les textes de Gainsbarre et la beauté des laids ;)
Citation de: Verso92 le Février 16, 2016, 19:19:43
Sont-y pas beaux ?
;-)
Mais si, mais si... ;)
(http://i237.photobucket.com/albums/ff33/GerPa/Appareils%20photos/FXE22351_zpsbtzxe87w.jpg)
(http://i237.photobucket.com/albums/ff33/GerPa/Appareils%20photos/FXE22353_zps6swq85pa.jpg)
(http://i237.photobucket.com/albums/ff33/GerPa/Appareils%20photos/FXE22354_zpsbrtedq6o.jpg)
Mes premiers amours en tant que collectionneur :D
Une petite photo de famille
Format 127, 120, 124, 130
Ils sont tous très beaux; j'ai une "Agfa Box" qui appartenait à ma grand-mère, et avec laquelle j'ai pris mes premières photos alors que j'avais huit ou neuf ans (j'en ai bientôt soixante!!!). Cet appareil date des année 1939/1940
Un des nombreux Goldy de la société française Goldstein. Il manque la poignée sur le dessus.
Citation de: instamatic le Février 17, 2016, 13:52:17
...Il manque la poignée sur le dessus.
C'est souvent le cas ; ce que l'on regarde surtout, c'est la façade, plus ou moins originale.
Une autre version du Zeiss Ikon Box Tengor, le 56/2, au format 6 x 9 pour film 120.
Encore un Kodak ; il ressemble beaucoup au N°2A Brownie Modèle C, mais celui-là ne s'appelle que N° 2A Brownie (comme indiqué sur le dos). Pas facile de voir la différence...
Comme celui montré plus haut, ce détective, lui aussi sans marque, ne manque pas de réglages, pour les vitesses, l'ouverture et la mise au point.
Il a aussi deux niveaux à bulle rond.
Un cache intégré peut recouvrir l'objectif pour le protéger.
La clé en bas sert pour armer l'obturateur.
Un peu plus haut à gauche, toujours sur la face avant, le sélecteur choisit la pose (P) ou l'instantané (I).
Tout en haut au milieu, c'est le réglage du diaphragme.
Sur le côté, on a, à l'avant, les réglages, de bas en haut, des vitesses instantanées (très approximatives...) et de la distance de mise au point.
Sur la plaque argentée, on a le compteur et une clé.
Le compteur indique ici 24, bien que le logement n'admet que 12 plaques de verre. Mais des supports pour plan-film, toujours au format 9 x 12, étaient alors disponibles. Leur épaisseur, deux fois moindre que ceux pour plaques, permettait de doubler la quantité de vues possibles.
Dans cette position, la clé est bloquée, la plaque, à l'intérieur, est en position pour la prise de vue.
Pour la débloquer, il faut appuyer sur le petit bouton carré à gauche, tout en tournant sens aiguille d'une montre
Le déblocage libère la plaque ,ce qui la fait tomber.
L'intérieur ouvert permet de comprendre l'astucieux système.
Dans cette position de plaque, la clé est comme sur la photo précédente.
Un petit rebord métallique, en haut du boîtier, empêche la plaque de basculer par le haut.
Normalement, lorsque le dos de l'appareil est fermé, un ressort sur la porte maintient la (ou les) plaque(s) dans cette position.
L'agrandissement montre la simplicité du système pour passer à la plaque suivante.
On tourne la clé, l'encoche (il y en a une autre sur l'autre côté) qui retient le bas du support métallique de plaque entraine celui-ci vers le bas, le haut du support ne tient plus et bascule vers l'avant, un nouveau support vient ensuite se bloquer dans l'encoche lorsque la clé finit son tour.
On voit comment tombe la plaque ; pas étonnant qu'il y ait de la casse lorsque c'était du verre...
Un petit Kodak Pocket acheté neuf par un de mes grand-père.
Oh le joli box !
En l'ouvrant (par dessus), la porte (supportant l'obturateur) peut s'enlever ainsi facilement ?
Quel est le format ?
Oui, la "porte" glisse dans deux rainures du boîtier.
C'est approximativement un 4x5, mais cm. ;)
Je viens de trouver ceci à son sujet:
http://vieilalbum.com/KodakPocket1895FR.htm
Son grand frère le
No.2 Flexo Kodak (1899-1913) format 101
Citation de: Maoby le Février 18, 2016, 00:49:15
Son grand frère le
No.2 Flexo Kodak (1899-1913) format 101
Il ressemble au Bulls-eye (http://www.chassimages.com/forum/index.php/topic,248882.msg5794134.html#msg5794134), avec le même type de film.
A-t-il aussi un intérieur en bois ou est-ce du métal ?
Citation de: Andhi le Février 18, 2016, 10:34:04
Il ressemble au Bulls-eye (http://www.chassimages.com/forum/index.php/topic,248882.msg5794134.html#msg5794134), avec le même type de film.
A-t-il aussi un intérieur en bois ou est-ce du métal ?
Un mélange de carton, bois et métal
Le No.2 Brownie camera model F (1929-33) format 120
Il serait intéressant de voir quelques photos faites avec ces box, histoire d'apprécier la "qualité" des objectifs. Je possède 3 de ces anciens appareils mais je ne les ai jamais utilisé. Je ne sais même pas s'ils fonctionnent encore
Kodak Fiftieth anniversary (1930) format 120
Bonjour
CitationIl serait intéressant de voir quelques photos faites avec ces box, histoire d'apprécier la "qualité" des objectifs. Je possède 3 de ces anciens appareils mais je ne les ai jamais utilisé. Je ne sais même pas s'ils fonctionnent encore
Vas jeter un oeil sur mon site, dans certains cas, il y a des photos exemples.
Marksman six-20 (1945) format 620
voir ici pour ma mini collection de BOX
https://www.flickr.com/photos/maoby/sets/72157643973293903/with/13550055014/
La collection de box n'est pas simple...
On peut tout prendre, mais la place peut vite manquer.
Si on veut sélectionner, les couleurs et les façades sont si variées qu'un choix raisonné devient un casse-tête.
Et même si on essaie de prendre un peu de tout, on est rapidement débordé !
Alors, finalement, on se résoud à éviter de collectionner ces boîtes.
Dommage !
Le Polo, de Coronet, a le choix du format, 6 x 9 ou 4,5 x 6 ; avec du film 120.
Parce qu'ils ont remarqué que les plaques de verre se cassaient souvent pendant l'utilisation, certains ont vite pensé qu'il fallait le remplacé par du film souple.
Des solutions ont été trouvées, parfois plus ou moins compliquées...
La gamme d'appareils Frena, d'avant et un peu après 1900 , du constructeur anglais Beck, en est une.
Celui présenté n'a pas de n° de modèle pour le répertorier, ce qui est inhabituel, tout comme sa façade avant particulière que l'on ne voit sur aucun autre.
Les réglages sont répartis un peu partout : devant, dessous, sur le côté.
Pour comprendre le fonctionnement du changement des films, il faut ouvrir...
Le tube extérieur, qui comporte un niveau à bulle, sert à faire tourner à l'intérieur un magasin de plan-films, qui peut en contenir jusqu'à 20.
La flèche rouge indique où se trouve le téton du magasin dans la boîte en bois ; il y en a un de chaque côté.
Lorsque ça tourne, il monte ou descend, selon la position du tube.
On voit le côté plan-film.
En faisant un demi-tour, on a un bord arrondi, fait en partie de carton.
Cela sert pour maintenir au fond (ici, à l'arrière...) le film exposé et son carton de protection.
Comment fonctionne le magasin, pour passer d'un plan-film au suivant ?
Le plan-film a des encoches, de chaque côté. Derrière lui vient un carton avec des encoches de chaque côté aussi, mais disposées à demi-intervalle de celles du plan-film.
Lorsque le téton 1 se déplace, il fait aussi monter ou descendre tous les plus petits indiqués par les flèches ; selon leur position, ces derniers libèrent le plan-film ou le carton.
La rotation du magasin n'est possible que lorsque l'appareil est tourné vers le haut. Un système interne bloque lorsque cette position n'est pas atteinte.
Donc, "nez" du boîtier vers le haut, on tourne sens aiguille.
Avec un demi-tour, c'est le film qui est dégagé (au fond).
On continue pour le tour presque complet, jusqu'à un blocage.
On tourne sens inverse ; le carton se dégage à son tour au fond.
On continue à tourner pour revenir à la position initiale ; on est prêt pour la prise de vue suivante.
Pour la prise de vue, là encore, c'est un peu "spécial"...
Les réglages disponibles sont, de droite à gauche :
_ la molette, visible sur la façage, sert à armer l'obturateur ;
_ la première roue crantée, cellelle sous l'avant, règle la distance, au moyen de différentes lentilles ;
_ en ouvrant le capot, sous l'appareil, on a une autre roue crantée, pour régler le diaphragme (trous plus ou moins gros sur la roue crantée) ;
_ le dernier disque permet de choisir la vitesse, jusqu'au 1/40.
Comme c'était l'usage à cette époque, on pouvait prendre son temps...
Un autre "perfectionnement" de l'engin : on peut même voir, à travers l'objectif, la vitesse (1/5) et l'ouverture (f8) choisies !
Edit
Une précision : le plan-film est au format 3 1/4 x 4 1/4". Abandonné dans cette forme (avec encoches) depuis plus d'un siècle...
Un autre box pas trop courant
(http://www.mes-appareils-photos.fr/images/Photo%20medium/Japy_Pascal-(1).jpg)
Japy Le Pascal
Voilà une rareté : et en bel état !
Est-ce qu'il fonctionne ?
Une autre boîte, un détective, dont l'aspect extérieur parait ordinaire, mais qui cache quelques surprises.
Il vient de Grande-Bretagne, de la marque Houghton. C'est une des versions du Holborn-Ilex n°5.
Le format pour les 12 plaques est de 3 1/4 x 4 1/4".
La surprise vient en l'ouvrant par l'avant.
Il découvre un bloc obturateur-optique peu ordinaire, avec quelques réglages pour les vitesses (3 + pose T) et un diaphragme à disque. Le déclencheur est le levier visible sur le côté dans l'ouverture du bas.
On règle la distance en tournant la molette extérieure visible sur la 1ère photo.
Tout le bloc obturateur optique se déplace ; un soufflet court assure l'étanchéité de la chambre.
On voit le déplacement du bloc, à gauche pour l'infini, à droite pour la distance mini (des repères sont indiqués dans la minuscule fenêtre, près de la molette).
En ouvrant l'arrière pour voir le "coffre" à plaques, on distingue au fond les plis du petit soufflet.
Une trappe sous l'appareil permet le déchargement des plaques.
Un autre appareil de chez Houghton, ou plus précisément ici Houghton-Butcher après la fusion des deux marques britanniques, le box Ensign "All distance", d'une jolie couleur noire mouchetée.
"All distance" parce que l'optique peut être déplacée vers l'avant pour des plans plus rapprochés.
Le format est en 6 x 9 sur film 120.
L'ouverture a 3 réglages par diaphragme rotatif. Le viseur à cadres repliables donne à l'ensemble un aspect particulier
L'ouverture de la boîte est une autre particularité de ce box : par côté, avec un maintien de la partie arrière sur charnière.
La Western Camera, de Chicago, aura eu une courte durée de vie, de 1897 à 1899, avant d'être intégrée dans la Rochester Optical & Cameras (ROC), de New York.
Cela permet de dater à un ou deux ans près la fabrication de leurs appareils, qui seront repris ensuite sous le même nom de modèle par la ROC.
Ce Cyclone n°5 a la pastille (souvent absente) du fabricant sur le dessus, agrandie sur la photo.
Les réglages sont réduits : une vitesse instantanée et la pose avec la flèche en croix, trois ouvertures d'un diaphragme rotatif avec le bouton plat brillant. Une clé sur le côté permet le changement de plaques.
Les 12 plaques de verre utilisées sont au format 4 x 5", ce qui en fait une boîte de grande taille.
L'ouverture arrière découvre une belle fabrication en bois, avec, au fond un système à ressort pour ralentir (plus ou moins...) la chute de plaques.
Une trappe s'ouvre au-dessous pour récupérer les plaques après les prises de vue.
Lorsqu'elles tombent, le bas glisse dans deux pointes qui les maintiennent fermement bloquées dans cette position.
La simplicité de fonctionnement de cet appareil rend son utilisation possible aujourd'hui encore, comme le font quelques amateurs aux Etats-Unis...
Citation de: Andhi le Février 29, 2016, 23:15:06
Voilà une rareté : et en bel état !
Est-ce qu'il fonctionne ?
Désolé pour le retard de la réponse. Le Japy n'était pas si propre quand je l'ai trouvé. Pour le fonctionnement, je n'ai pas encore testé : il me manque une bobine ou, au moins, les dimensions pour en refaire une.
Bientôt la retraite. Avec du temps et un atelier ça devrait pouvoir se faire
Le Houghton Ensign "Full Vue" est aussi un box, à l'aspect curieux et à l'esthétique discutable.
Il fut pourtant populaire après-guerre, en Grande-Bretagne, son pays de fabrication.
De format 6 x 6 sur film 120, on peut être surpris par sa petite taile, comparé par exemple à un folding 6 x 9 normal comme le Kodak Hawkette, lui aussi d'origine britannique, mais un peu plus présentable...
Fabriqué en plusieurs couleurs
Je le trouve sympathique ce petit Ensign
Ici un autre, avec plus de vécu :)
Son gros viseur le déforme un peu, mais la visée est nettement plus agréable que celle des box habituels : là, au moins, on voit quelque chose facilement !
Ceux en couleur autre que le noir sont peu courants.
Les tiens, Maoby, ont aussi, en plus, une prise flash ; et un indicateur de réglage de distance (sur les 3, l'optique peut être retirée vers l'avant pour le portrait).
Ce curieux petit box, appelé Goldy Metabox, de la marque française Goldstein, a quelques atouts, dont l'armement couplé à l'avancement du film, une prise synchro et la possibilité de fermer le diaphragme d'un cran ou d'ajouter un filtre.
Fermé, cela ressemble aussi à une boîte :
Il est possible que ceux qui en ont conçu le principe, chez Folmer & Shwing, se soient inspirés des box pour créer leurs appareils.
En faisant le tour, on trouve un peu plus de commandes..
Et le nom du modèle, RB Tele
En ouvrant la boîte, devant et au-dessus, on y voit un peu plus clair...
Un soufflet bien dimensionné et un grand cône de visée sont parmi les caractéristiques les plus visibles des reflex Graflex.
Ici, l'optique est un Xenar 180 mm à grande ouverture, f3,5 , pour un format de film de 3,25 x 4,25".
Le dos que l'on voit sert pour un film en bobine spécial à ces appareils.
Ce modèle, fonctionnel, date de 1917.
Le film, qui n'est plus fabriqué depuis plus d'un demi-siècle, est de type 51, pour 6 vues ; la bobine a la taille de la plus grande longueur du film, 4,25" ou près de 11 cm.
Une vue du dos, avec sa petite fenêtre inactinique pour compter les vues :
Et ouvert ; modèle de 1922, brevet de 1916.
Ce petit détéctive, de marque inconnue, ne peut contenir que 6 plaques de verre et leur châssis, au format 6,5 x 9 cm.
Sa façade avant est toute simple, avec un réglage de diaphragme extérieur à 3 ouvertures, un levier à 2 positions pour choisir une vitesse instantanée ou la pose B, et une seule fenêtre de visée.
Les prises de vue semblent en effet prévues surtout pour le mode paysage, avec un seul miroir en haut et un seul filetage pour un trépied en bas.
Le bouton de déclencheur dépare un peu par sa grande taille, sur le côté...
Mais comment faisait-on pour charger et décharger la "box" en plaques de verre? On allait chez son "droguiste" qui récupérait en final les plaques pour les tirer?
Citation de: 55micro le Avril 02, 2016, 09:18:45
Mais comment faisait-on pour charger et décharger la "box" en plaques de verre? On allait chez son "droguiste" qui récupérait en final les plaques pour les tirer?
Cela pouvait être une solution.
Mais, avec un peu d'expérience, la manutention de ces plaques dans l'obscurité n'est pas plus difficile que celle des films.
Et puis, comme bien souvent elles étaient de type orthochromatique, l'obscurité n'était pas totale : le travail pouvait se faire à la lumière rouge sans risque de voile.
Pour décharger et recharger l'appareil dans la nature, le manchon ou la tente étaient indispensables, comme aujourd'hui avec les plan-films si on veut charger ou décharger un châssis.
Le problème, c'était surtout le poids des "consommables"...
Citation de: Andhi le Avril 01, 2016, 22:43:05
....
Les prises de vue semblent en effet prévues surtout pour le mode paysage, avec un seul miroir en haut et un seul filetage pour un trépied en bas.
...
C'est plutôt en mode
portrait, dans le sens de la hauteur.
Après l'orthographe (quelques fautes...), ce sont les mots qui ne vont pas.
Ce détective est un peu plus grand que le précédent, avec un format de plaque 9 x 12 cm.
De fabrication française, avec une plaque constructeur (agrandie) apposée sur le haut, il a un minimum de réglages : 4 positions de vitesse d'obturateur réglées par la flèche sur le bas de la face avant, avec une pose B, et un réglage de diaphragme sur l'objectif ; pas de mise au point possible, la plus grande ouverture étant suffisamment petite pour que la netteté soit acceptable...
Là où il y a un peu d'originalité, c'est sur le passage d'une plaque à l'autre dans l'appareil.
En appuyant latéralement sur le poussoir que l'on voit à l'arrière au-dessus de la boîte, une pièce métallique descend à l'intérieur et pousse vers le bas la plaque à éjecter.
Cette plaque peut descendre parce qu'elle tient, en bas, sur une languette métallique centrale flexible. La plaque de verre, ou plutôt son support, n'est à un moment plus retenue en haut (une fine pièce en bois est sur toute la largeur) ni en bas (une tige métallique qui ressort sur les côtés du support de plaque ne tient alors plus dans les emplacements du boîtier).
Comme un ressort, sur la porte de l'appareil, pousse le(s) support(s) de plaque vers l'avant, celui-ci tombe en avant. Il est retenu dans sa chute, plus ou moins, par des languettes (trop) flexibles fixées sur les côtés.
En entendant le bruit de la chute, on comprend pourquoi on appelait ce genre d'appareil photo un casse-plaque !
Pour faire un mur de box, ce serait un bon début avec ces premières pierres...
Les deux ont une taille de film de 2 1/2 x 4 1/4", ou ~ 6,5 x 11cm.
Mais le Beau Brownie 2A utilise du film 116 et le Brownie Six-16, du 616, comme son nom l'indique.
La différence entre le 116 et le 616, c'est comme celle entre le 120 et le 620 : plus gros diamètre de bobine pour le premier.
Ce petit box (12,5 cm de haut), fabriqué par l'allemand Eho-Altissa avant et après-guerre, est au format 6 x 6 cm pour du film 120.
Curieusement, il n'y a rien d'écrit sous l'optique pour donner un nom à ce box tout simple.
On trouve sur la poignée ou à l'intérieur : c'est un Kodak Target Six-20, au format 6 x 9 cm pour film 620.
Sur sa minuscule béquille, tourné en mode portrait, le Kodak Brownie Flash Six-20 ressemble plus à un appareil photo qu'à une drôle de boîte...
Lui aussi au format 6 x 9 pour film 620.
Des appareils photo en forme de boîte, il en existe de toute sorte, dont l'esthétique peut plaire ou non.
Et puis, comme pour les réflex ou les foldings, il en existe que l'on peut, à mon avis, qualifier de très beaux.
Comme ce modèle Klito n°6, fabriqué par l'Anglais Hougton aux environs de 1906.
Il est au format 3 1/4 x 4 1/4 (~ 8 x 10,5 cm) ; sa façade est large parce que, tel qu'il est présenté, les prises de vue sont faites en mode paysage. Un autre modèle de même format le Klito n°7, est en mode portrait dans sa présentation normale.
Une partie avant se sépare de la chambre en tournant le gros bouton de côté pour faire la mise au point.
Pour régler vitesses et ouvertures, il faut ouvrir la porte avant, et l'on découvre de magnifiques pièces en bois et de métal.
Le magasin à l'arrière peut contenir jusqu'à 12 supports de plaques, le système de changement de plaques, avec un compteur, étant placé sur le dessus.
En n'ouvrant que la petite porte du bas, on peut extraire directement une plaque exposée, sans risque de déplacer les plaques non exposées au-dessus ; mais à faire dans l'obscurité...
Jolie collection d'appareils en fort bel état, mais je reste perplexe devant ces mécanismes et leur cinématique.
Pour le plaisir des yeux...
Le bois est d'acajou, poli sur les faces visibles.
L'ensemble obturateur-optique est monté sur planchette.
C'est une chaînette dorée qui relie le déclencheur à l'obturateur (déclencheur que l'on pousse vers le bas). Le déclenchement pneumatique, réglable, est possible avec une poire.
L'obturateur (HL = Houghton Limited) est de marque Hougthon, tout comme l'objectif.
La plaque dorée sur la porte sert de bouchon d'objectif.
L'ouverture de la porte pour les réglages pouvait être un bon moyen d'attirer l'attention des gens à photographier...
(edit : j'ai oublié le 2ème "h" de Houghton plus haut)
Citation de: stratojs le Avril 22, 2016, 15:01:38
Jolie collection d'appareils en fort bel état, mais je reste perplexe devant ces mécanismes et leur cinématique.
Et tu as raison d'être perplexe : le mécanisme de changement de plaques sur cet appareil ne me semble pas très réussi. J'ai éssayé et, le plus souvent, 2 ou 3 plaques tombent au lieu d'une !
Mais tout fonctionne...
Un petit Pocket Kodak acheté neuf par un de mes grand-pères...
... Format 50x37mm
Citation de: stratojs le Avril 22, 2016, 16:47:59
... Format 50x37mm
Ce serait donc du film 102.
J'aime bien ces systèmes où l'on voit la mécanique de l'obturateur à nu. C'est simple mais beau.
Citation de: Andhi le Avril 22, 2016, 17:00:30
Ce serait donc du film 102.
Oui, c'est bien du 102, il reste deux films vierges.
Je n'arrive pas à interprêter la date de péremption 3031, à moins que ce ne soient simplement années 30 & 31,
ou bien plus probablement, c'est le 1er décembre 1897 et 3031 le numéro de lot d'émulsion
Citation de: Andhi le Avril 22, 2016, 17:00:30
... J'aime bien ces systèmes où l'on voit la mécanique de l'obturateur à nu. C'est simple mais beau.
Oui, c'était simple, robuste et fiable, cela fonctionne toujours parfaitement après une centaine d'années.
Citation de: stratojs le Avril 22, 2016, 17:33:07
Oui, c'est bien du 102, il reste deux films vierges.
Je n'arrive pas à interprêter la date de péremption 3031, à moins que ce ne soient simplement années 30 & 31,
ou bien plus probablement, c'est le 1er décembre 1897 et 3031 le numéro de lot d'émulsion
Je vois plutôt aussi la date de péremption : Dec. 1rst, 1897.
Au-dessous, ce sont les dates des brevets (patented).
Edit : le film 102 a été discontinué en 1933.
Citation de: stratojs le Avril 22, 2016, 17:34:46
Oui, c'était simple, robuste et fiable, cela fonctionne toujours parfaitement après une centaine d'années.
Vu comme cela d'aussi près c'est encore plus beau, je trouve ; et ingénieux !
Citation de: stratojs le Avril 22, 2016, 17:33:07
Oui, c'est bien du 102, il reste deux films vierges.
...
ou bien plus probablement, c'est le 1er décembre 1897 et 3031 le numéro de lot d'émulsion
Ces bobines sont parmi les premières de la série à avoir été fabriquées, 1896 étant la date de l'introduction du film 102.
On remarque aussi sur un côté la bordure crantée particulière au modèle.
Citation de: Andhi le Avril 22, 2016, 19:29:48
Ces bobines sont parmi les premières de la série à avoir été fabriquées, 1896 étant la date de l'introduction du film 102.
On remarque aussi sur un côté la bordure crantée particulière au modèle.
Les dates mentionnées sur les produits Kodak (appareils et pellicules) sont celles des différents brevets et modifications effectuées.
J'ai de vieux appareils qui, sur le dos mentionnent plusieurs dates de différents années (parfois +/- 20 ans d'&cart me semble t'il).
... là nous parlons de date de péremption mentionnée sur la pellicule, les dates des brevets sont sur la ligne inférieure.
Ma première impression allait dans ton sens, mais à l'observation il apparait bien que le 1/12/1897 soit cette date.
Cela va faire près de 50 ans que j'ai cet appareil, et je n'avais pas regardé les bobines depuis une bonne trentaine d'années.
Ce box détective pour 12 plaques de verre au format 9 x 12 cm, fabriqué par le français Pipon (les initiales AJP sont gravées sur le bois de la porte, à l'intérieur) est commun par ses réglages simples du diaphragme à iris à 5 positions et de la vitesse d'obturateur de 1 à 6.
Quelque chose le distingue cependant, en y regardant de plus près...
Le plus souvent, quand on voit ce type d'appareil depuis l'avant, les viseurs réflex sont disposés comme suit : celui à droite sert pour la visée en portrait et celui de gauche pour le paysage en faisant basculer l'appareil. Ici, c'est l'inverse : pour utiliser le viseur de droite, il faut basculer l'appareil dans l'autre sens, pour le paysage, et c'est le viseur de gauche qui va pour le portrait.
Quand on y prête attention, peu de box et de détectives sont conçus ainsi.
De plus, celui-ci n'a qu'un écrou de pied, pour le côté portrait.
La porte du magasin est fermée par un système original à charnière.
Le changement d'épaisseur dû au nombre de supports de plaques restant fait varier la position du "quart de lune" du compteur ; une minuscule fenêtre sur la porte affiche ainsi le nombre de vues faites.
Deux petits trouvés le même jour dans la même boite. A mon avis, il y avait une fille et un garçon dans la famille
(http://www.mes-appareils-photos.fr/images/Photo%20medium/GAP-Bleu-(2).jpg)
(http://www.mes-appareils-photos.fr/images/Photo%20medium/GAP-Rose-(1).jpg)
Marrant qu'on ai pas encore croisé la star des vide-greniers : le Coronet Eclair Lux
(http://www.mes-appareils-photos.fr/images/Photo%20medium/Coronet_Eclair_Lux-(2).jpg)
Par cette présentation judicieuse de façades si joliment décorées, on se rend compte qu'avec les box on peut en voir de toutes les couleurs !
Ces 3 détectives, de la marque italienne Murer et Duroni, ont quelques points communs : un format de plaque identique, le 9 x 12 cm, le même système de changement de plaque pour l'utilisation des mêmes supports, des dimensions identiques (poids différent) et une construction soignée en bois recouvert de cuir fin.
Ils ont aussi le même compteur, rigoureusement identique à celui du détective Pipon (http://www.chassimages.com/forum/index.php/topic,248882.msg5911228.html#msg5911228), fabriqué en France ; il reste à savoir qui a copié qui pour cette particularité...
Les 3 modèles, des Express Newness, vont du plus simple à gauche au (un peu) plus compliqué à droite :
Le plus simple a, comme réglages, celui du diaphrame à trous sélectionnés par le levier sous l'objectif et, pour l'obturateur, le choix d'une vitesse et de la pose B.
On distingue la marque sur le cuir, sur la porte arrière.
Celui du milieu est un modèle SL, comme indiqué de façon plus visible, toujours sur la porte arrière.
Les réglages sont un peu plus nombreux, avec toujours le diaphragme à trous comme le modèle précédent, mais avec un réglage progressif de la vitesse d'obturation par le bouton tout en bas de la façade.
Les viseurs sont protégés par un volet.
La porte avant peut s'ouvrir, pour montrer de plus près le mécanisme tout simple de l'obturateur et le réparer si nécessaire, et pour nettoyer l'objectif et les viseurs :
Le 3ème appareil, à droite, un modèle T, se différencie du précédent par un diaphragme à iris réglable en tournant l'avant de l'objectif, par l'ouverture par poussoir sous le cuir des portes avant et arrière, par un réglage de la distance de mise au point par l'ajout ou non de lentilles choisies à l'aide du levier sous l'objectif et par des caches de viseur ayant une autre fonction.
Comme le modèle SL précédent, la porte avant s'ouvre, mais avec une disposition différente de l'obturateur.
Et pour ceux qui, comme moi, distinguent mal ce qui est écrit, on lit :
"il faut avoir soin que l'objectif soit toujours bien propre pour profiter de toute sa clarté"
et en bas : "bois de noyer composé de 3 épaisseurs à fils croisés" (je suppose que cela veut dire que le sens du bois est différent d'une couche à l'autre...)
En ouvrant les viseurs à demi (une position de blocage est prévue), on peut viser à hauteur d'oeil, parce qu'un miroir est plaqué derrière le cache ; mais tout est inversé !
Des "un peu différents"
Agfa Trollix
(http://www.mes-appareils-photos.fr/images/Photo%20medium/Agfa_Trollix.jpg)
et Gevaert Gevabox
(http://www.mes-appareils-photos.fr/images/Photo%20medium/Gevabox-6x6-03.jpg)
Un peu différents mais si attachants par leur originalité !
Ces appareils en bakélite mériteraient un fil particulier.
Je dois avouer une tendresse pour les appareils "différents" ;D
L'originalité de ce Eho-box 6 x9, de la marque allemande Eho-Altissa, vient de son viseur à cadre sur le dessus.
Les réglages pour 3 ouvertures différentes et pour la photo rapprochée (par lentille additionnelle interne) sont aussi possibles.
Cette boîte pour le format 6 x 9 est une jolie (et rare) variante du Box Ensign 2 1/4 B, de l'anglais Houghton.
L'objectif n'est pas précisément centré parce que la pellicule n'est elle-même pas exactement au milieu...
L'ouverture pour placer ou enlever le film se fait sur le côté.
Comme il faut un bord indépendant de la boîte pour tenir le film, cela fait une épaisseur supplémentaire sur un côté.
Le constructeur aurait pu rajouter une épaisseur de ce côté, mais, bon...
Il n'y a pas d'écrou prévu pour un pied.
Le Kodak N° 4 Bull's eye (modèle D) est un peu plus grand que les box habituels parce qu'il est au format 4 x 5", en utilisant du film 103.
L'avant s'enlève pour montrer la mécanique simple de l'obturateur.
Le chargement du film se fait en sortant un côté.
Trois ouvertures de diaphragme sont possibles, mais il n'y a qu'une vitesse et la pose.
La mise au point se fait par déplacement du film, à l'intérieur : il faut pousser à l'avant ou à l'arrière la clé d'entrainement du film. Le curseur des distances, à l'arrière de la clé, bouge de la même façon.
Vues par l'arrière du déplacement du bloc supportant le film, avec la fenêtre inactinique indiquant le numéro de vue :
Vue de l'intérieur, sans le support de film.
Pour voir le numéro de vue sur le papier du film, il faut ouvrir la porte arrière.
Après un box Houghton 2 1/4 B plus haut (http://www.chassimages.com/forum/index.php/topic,248882.msg5953340.html#msg5953340), voici le 2 1/4 A, tout aussi rare, peut-être même plus, qui s'en différencie par le format, carré, 2 1/4 x 2 1/4" ou 6 x 6 (cm).
Il est fabriqué curieusement, avec le viseur sur le côté, mais en bas.
On dirait qu'il a été fait à l'envers...
C'est du 6 X 6, mais pas avec n'importe quelle bobine !
En effet, celles en 120 ne passent pas, le diamètre des joues étant trop grand.
Le 620 n'est pas bon non plus, la clé d'entrainement étant trop grosse.
Il reste le 117, un type de film peu courant abandonné en 1949 ; c'était une bobine de ce type qui se trouvait dans l'appareil lorsque je l'ai récupéré, et c'est ce qui m'a permis de m'en apercevoir. Le Rolleiflex Original (le 1er modèle de la gamme bi-objectif) utilisait aussi ce film.
Le 117 est prévu pour 6 photos au format 6 X 6, le marquage sur le papier protecteur n'en indiquant que 6, au centre.
On peut essayer de mettre un film 120 sur la bobine 117, avec le risque que les dernières vues soient mal ou pas protégées par les joues.
On voit les différences de diamètre des joues, avec, à gauche le 120, au milieu , le 117 et le 620 à droite, le diamètre de ce dernier étant même légèrement supérieur à celui du 117.
Deux précisions : l'ouverture pour mettre les bobines se fait par le côté et il n'a pas d'écrou de pied ; comme le 2 1/4 B plus haut.
Bonjour,
deux petits qui sont aussi des "boites" mais avec une visée sur dépoli et un miroir :)
roll paff ihagee n°20
Fabriqué en Allemagne à partir de 1920 par: Ihagee Kamerawerk, Steenbergen & Co., Dresden
.
- Diaphragme : constitué d'une lamelle métallique percée de trois trous de diamètres différents que l'on fait glisser devant l'objectif.
-Modèle : roll paff ihagee n°20.
- Reflex SLR.
L'appareil ci-dessus une lentille Achromatique).
Le n°21, était livré avec un objectif Anastigmat Trioplan Hugo Meyer f:6,8.
- Relevage manuel du miroir.
A partir de 1927, Ihagee produit trois formats supplémentaires :
4 x 6,5 : n°50.
6 x 9 : n°60.
6,5 x 11 : n°70
(https://c2.staticflickr.com/9/8161/7145158193_6bba5c850e_o.jpg)
(https://flic.kr/p/bToNAD)roll paff ihagee n°20 (https://flic.kr/p/bToNAD) by Christophe (https://www.flickr.com/photos/christophe_picq/), sur Flickr
plan paff Ihagee n° 3
Fabriqué en Allemagne à partir de 1921 par :
- Ihagee Kamerawerk, Steenbergen & Co., Dresden,
- Modèle : Plan-Paff n°3.
- Reflex SLR.
- Format des vues : 6 x 4,5 cm.
- Film-packs plaques.
- Dos interchangeable.
- Focale d'origine : 90 mm.
- Ouverture maximale : 6,8.
- Diaphragme : constitué d'une lamelle métallique percée de trois trous
de diamètres différents que l'on fait glisser devant l'objectif.
- Image réelle sur dépoli.
- Dimensions en cm : 12 x 13 x 8.
- Relevage manuel du miroir.
(https://c4.staticflickr.com/9/8013/7145153099_b8fc45935b_o.jpg)
(https://flic.kr/p/bToM5P)plan paff Ihagee n° 3 (https://flic.kr/p/bToM5P) by Christophe (https://www.flickr.com/photos/christophe_picq/), sur Flickr
Un tout petit : Zeiss Ikon Baby box
(http://www.mes-appareils-photos.fr/images/Photo%20medium/Zeiss_Ikon_Baby_Box.jpg)
Une boîte avec soufflet, le Klito N°1 (1905) de Houghton, au format anglo-saxon 3 1/4 x 4 1/4".
Ce détective, pour 12 plaques au format 9 x 12, n'a pas de nom.
Ses indications de réglage sont en français.
Bel habillage sur ce box tout en bois !
C'est un autre modèle de Ensign 2 1/4 B, au format 6 x 9 pour film 120, de la marque britannique Houghton.