"Achète stock d'images à prix grossiste, avec exclu, pour diffusion gra

Démarré par Gil64, Octobre 31, 2007, 14:46:35

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Cedric_g

Je jubile...

Pour le coup, ça me motive pour adhérer à l'UPC  ^_^

nad13

pour leurs mobilisations ! :-)
à leurs cotés, quelqu'uns ici aussi :-)

Les droits d'auteurs, la liberté d'expression, le respect de l'information,
d'une profession...
J'ai relayé par mail et sur p.artese.eu egalement cette action et le bel
article du Journal SudOuest a souligner !
Ca bouge en ce moment  !
RSF a lancer une declaration commune pour la liberté d'expression et Internet.
Une lutte contre la censure signée par pres de 35 investisseurs gèrent plus de
104 milliards de dollars d?actifs.
Le President part au Tchad, revient avec les journalistes dans l'affaire de
l'arche de Zoe !
Le president de l'UPC, Robert Terzian ecrit au président du CDTL et conseiller
général du Gers pour lui rappeler que la notion de "Libre de droit" n'existe
pas en France, rappel  sur le code de la propriété et fait une demande de
modification de l'appel d'offres prononcé.
Voila des bonnes nouvelles pour les reporters & photographes.
La liberté d'expression, les droits d'auteurs et l'information ne sont pas
des gadgets.
Ils sont a respecter ou a redecouvrir quelqu'en soient les niveaux et rayons
d'actions !
A micro ou mega echelle, il y a des textes et des protections specifiques à nos
professions.
C'est le moindre pour sauver la photographie professionnelle et ses differents
auteurs ou facettes de derives les plus rocambolesques !

shorty

Si je rentre assez tôt ce soir j'essaierai de répondre.

Henri34 de façon amusante vous citez un photographe que je connais "assez
bien" (;OP))))))))et qui ne se prend pas pour un auteur (mais la raison
fiscale, n'est-ce pas ?).

Bonne journée à tous S.(I)

P.S. Pour ceux (3) qui m'ont envoyé des noms d'oiseaux sur la boite attachée à
ce compte, je pense qu'il serait plus intéressant qu'ils donnent leur avis ici
dans les limites de la bienséance !

Cedric_g

Les photimiens sont incorrigibles...

Les noms d'oiseaux, je n'y ai eu droit qu'une fois je crois ^_^

esplumeor

pour les gars qui balancent des noms d'oiseaux...

Bandes d'aigrettes garzettes !

Sérieusement balance les mail au modo pour qu'il fasse le ménage, de telles
pratiques sont vraiment puantes.

Eric34

spice de pouillot, va ... :-))

Sans blagues, ce genre de mobilisation fait du bien. Mais je reste persuadé,
(n'est-ce pas mon cher Henri :-)) que l'UPC gagnerait a publier un bareme
accessible a tous, pro ou amateur, au lieu de ne le reserver qu'a ses membres.
Ca ferait une reference publique, sans que cela deviennne un tarif mais une
simple recommandation (pour des raisons legales), et çà eviterait pas mal de
"ah je ne savais pas, je croyais que toutes les photos valaient un euro"...
Pas tous, car quand on ne veut pas savoir, on ne sait pas, mais pas mal...

Cedric_g

(qui dit mieux comme nom d'oiseau ?...)


Je plussoies pour les barêmes UPC. Avec des tarifs conseillés publics
accessibles par le plus grand nombre, de nombreux photographes y réfléchiraient
à deux fois avant de brader leur boulot !

Zouave15

A propos d'oiseaux, vous n'avez pas pensé au Butor ? Ils sont plus durs à
observer dans la nature que sur les forums? Cela dit je préférerais que Shorty
explique calmement le fond de sa pensée que je ne cerne pas bien.

Pour les tarifs, je ne pense pas que ce soit le rôle de l'UPC de les divulguer
(je ne les défends pas ni ne suis adhérent). Pourquoi ? Parce ce que c'est un
organisme payant, qui représente ses adhérents. C'est louable, mais ça n'a pas
vocation à être universel, par définition. Une sorte de syndicat.

Je pense aussi que leur but est de tirer vers le haut et que la notion de
"photographe UPC" soit plus ou moins un label.

Rien qui me dérange là-dedans.

Simplement, il serait plus valide qu'un collectif à but non lucratif et sans
adhésion préalable définisse des  tarifs universels, peut-être pas trop chers.
Une sorte de prix plancher, les meilleurs ou déjà réputés se vendant plus cher.

On pourrait commencer ici, non ?

La dernière fois que j'ai proposé ça, je me suis fait "jeter"?

Cedric_g

Je pense !

Mais effectivement, ça pourrait faire grincer des dents certains ;-) et pourrait
se retourner contre les photographes (je vois déjà les chacals : "ah ben vous
voyez bien, les barêmes, là : vous êtes au-dessus mon bon monsieur ! Z'êtes
trop chers !")

Benaparis

Shorty, j'avoue ne pas comprendre votre notion qui consiste à dire que le
photographe auteur n'est pas un photographe professionnel.

Le photographe professionnel, est une personne qui a pour source principal de
revenu la réalisation et la vente de photo que ce soit à titre d'indépendant ou
de salarié (c'est le cas notamment des photographe de presse), c'est aussi
simple que cela et ne souffre d'aucun débat possible. Maintenant n'importe
quelle personne physique peut tirer un revenu accessoire de ses photos, et selon
le type de photo réalisée dépendra un régime social et fiscal comme pour le
photographe professionnel.

Benaparis

Concernant le régime social du photographe, il peut dependre d'un ou plusieurs
organisme selon la destination des photographies qu'il réalise. Si c'est une
commande d'un organisme de presse patenté la loi impose normalement (parceque
ce n'est pas toujours le cas en pratique et je le déplore) qu'il soit rémunéré
sous forme de salaire, il est donc salarié. Après il y a les photographe
indépendants. S'il réalise des commandes pour des entreprise ou agence de pub,
vend à des banques d'images des photos qu'il a réalisé à titre personnel (un
reportage d'auteur par ex.), ou encore vend ses photos par le biais de galerie
par exemple il relève du statut social des auteurs photographe donc des Agessa,
cela dit depuis peut ceux qui réalisent des photos d'art (les plasticiens par
exemple) peuvent relever du régime de la Maison des Artistes. Enfin ceux qui
réalisent des photos de mariage ou encore les portraitistes relèvent du statut
des artisans à moins de se constituer en société.

Fiscalement, pour la salarié c'est très clair, pour l'indépendant les revenus
qu'il perçoit en tant qu'auteur sont déclarés en tant que BNC et pour ceux qui
sont artisans ou constitué en société les revenus sont déclaré en tant que BIC.

Bien entendu un photographe professionnel ou non peut relever des différents
régimes sociaux et fiscaux, mais là il faut sacrément bien s'accrocher pour ne
pas se planter et se faire rattraper par le patrouille car les finesses sont
nombreuses.

Pour ce qui concerne le statut du photographe et en particulier celui d'auteur
photographe je vous recommande le site suivant qui a pour mérite de bien
déblayer le terrain.

Cordialement

nad13

Un peu comme le matos, les assurances,
il y en a de chers et d'autres moins...
et pourtant tout le monde trouve chaussures à son pied !!
un bareme indicatif, a plusieurs niveaux comme les mutuelles ou les tarifs
mannequins.
faut adapter le tarif au cahier des charges, temps de prise de vue neccessaires,
le matos, le format, le support, le photographe etc
cela permettant une base + ou - 30% pour exemple..
Pas le meme prix un canikon reflex qu'un compact , non  ?

Zouave15

Vu l'engouement qu'elle a suscité, c'est sûrement une bonne idée o)))

Cela dit Cedric, il y a déjà des différences de prix entre photographes, tu ne
l'avais pas remarqué ? o))

Ensuite, si on arrivait à établir une grille fondée sur le prix de revient
d'une photo (approximativement bien entendu car ça dépend de trop de choses),
on pourrait dire : voilà combien coûte, pour tel usage, une photo "standard".

Vous noterez que ça n'a rien à voir avc le fait d'être pro ou amateur. Ainsi,
les amateurs ne casseraient plus le marché, et auraient une référence. Car les
pros habitués à placer leurs photos et à négocier ne se rendent pas compte du
désarroi de l'amateur, qui n'a aucune idée de la valeur d'une photo.

Chaque photographe pourrait avoir sur son site ou ailleurs plusieurs catégories
de photos : les standards au prix standards, et les autres.

Par exemple, j'envisage pour ce qui me concerne de distinguer les paysages de
base (faits en me baladant, ou encore pas assez réussis et que jusqu'à présent
je jetais) et ceux dignes d'édition ou d'expo.

Vu ce qui sort dans la pressse, les dépliants et autre, la photo standard est ce
qui est le plus demandé.

Mais je me garderai bien de définir plus avant ce qu'est une photo
"standard".

Alors, est-ce que ça intéresse quelqu'un ? Cédric, tu ne voudrais pas lancer le
débat en donnant un prix ? Bon, ça va être long car il faut définir la taille,
l'usage, etc. mais on peut essayer ?

polym

bonne idée !!!

même si c'est difficile à évaluer, c'est toujours utile.

Zouave15

J'ai eu le feu vert pour répercuter l'info Appel d'offres + réaction de
l'UPC sur le site de mon édituer, et même en page d'accueil ! (pour
l'instant).

Voir sous :
Photo et rémunération
?> Abus manifeste : appel d'offres pour une photothèque libre de droits

Si d'autres faisiaent ça, peut-être que certains réfléchiraient. Car sur le
net, tout se sait.

Henri34

Rapidos, :
Merci à ton éditeur, Zouave, pour relayer l'info. Petite précision : la lettre
de Phillipe Roy, qui est excellente, vient en plus de celle de Robert Terzian,
le président de l'UPC, qui a aussi écrit aux ministéres de la culture et du
tourisme.
Eric, merci d'insister, tu connais mon avis sur la question, non ?
Quant au bareme minimum, je crois que Sevgin avait déjà lancé l'idée il y a
quelques mois. Je trouve moi aussi que ce serait tres bien qu'il y en ait un
qui circule pour les photimiens qui n'ont aucune idée des prix, si c'est
possible. Peut-etre pas facile à mettre en oeuvre surtout pour sa diffusion.
Personnellement, je transmets le mien sans probleme aux photographes qui me le
demandent.

Gil64

Utile implication en dehors de toute guerre de chapelle : pro/anti UPC,
amateur/pro.


Si on imagine un barême minimum assis sur le coût de revient, fait-on alors
abstraction d'une marge commerciale ? Tu me diras les tarifs UPC n'en tiennent
pas compte non plus. Ce qui semble logique.

nad13

En 2003, un code de bonne conduite et des regles pour la photographie scolaire
firent l'objet d'une nouvelle circulaire "Education Nationale"...

http://p.artese.eu/content/view/32/88888888/

Pour le moins curieuse sur certains plans, (interdiction de mettre le nom
d'auteur par ex)
On peut s'en inspirer pour des applications autres, ou suivre ces premiers pas
de reflexion "prise de vue"
Comment, pourquoi, quels prix ?

Une grille de tarif indicative, des années que nous la suggerons, de mon coté le
President du syndicat de ma region m'avait dit en 2002 que ce n'etait pas
possible... au vue de la loi, interdisant une entente.
Mais qd est il , s'il s'agit d'une suggestion collective ?
Les nouvelles technologies changent le paysage.
On se doit d'evoluer aussi par rapport aux demandes des entreprises ou des
particuliers.
Pas de soucis, mes prix aussi sont sur mes sites professionnels...
On peut essayer des premieres grilles, sondages, stats en fonctions des chiffres
communiqués de façon anonymes ou pseudo.
Cela serait fortement utiles pour toutes les entreprises et les photographes
amateurs et pros.
voter en ligne par ex et en tirer des conclusions et tarifs au fur et a mesure.
Pour construire une grille "photo multimedia" de demain ? se serait cool pour
les generations qui nous remplaceront...
En leur souhaitant...
La photographie... jusqu'ou ?

Zouave15

enfin, la mienne o)) est d'établir un prix plancher en-dessous duquel il
s'agirait de revente à perte.

Le plus simple me semble-t-il est de chercher ce prix de base unique, et de lui
appliquer ensuite des coefficients en fonction du type de photo, de
l'utilisation, etc.

Est-ce que quelques pros par exemple pourraient nous faire un calcul de
référence, approximatif bien entendu sur la base suivante : chiffre d'affaires
permettant de vivre divisé par nombre moyen de photos vendues par an ? Ou un
truc dans le genre.

Bon, si c'est absurde? proposez mieux !

Zouave15

Bien sûr, ça s'applique à la vente de photos faites au préalable, vendues sur
un site par exemple.

Les commandes n'entrent pas dans ce créneau car c'est soit un salaire, soit
une relation de sosciété à société.

Cedric_g

Est-ce que quelqu'un connaît le budget global de la Mairie de Lille, et en
particulier celui du Service Animation ?

Tout rapport avec le mail que j'ai partiellement masqué dans mes premières
interventions ne serait "évidemment" que pure coïncidence ^_^


(ça c'est juste histoire de foutre la m... au cas où un fonctionnaire
lillois passerait par là ; quand je dis que les collectivités locales se foutent
de la gueule des photographes, je parle pas des mairies de village, hein !)

daniel419

Demande aussi le montant du budget dépenses somptuaires petits fours et vin
mousseux...

Cedric_g

Pour ceux qui ont la flegme de chercher, suivre le lien !

Benaparis

de cette idée de barème?
En aucun cas une commande implique nécessairement une relation de société à
société ou le versement d'un salaire, par ailleurs il n'est pas nécessaire
d'être professionnel pour répondre à une commande dès lors que l'on est en
mesure d'y répondre (bien qu'en pratique ce ne soit pas toujours évident faute
de disponibilité la plupart du temps).

La principale différence entre entre une commande et la vente d'oeuvres
préexistantes c'est que dans le premier cas au titre de la rémunération
artistique on va inclure des frais de mise en oeuvre en plus du montant de la
cession des droits en excluant les frais de production (location de matériel,
hébergement, déplacement etc...etc...) qui feront l'objet d'un poste à
part , alors que dans le deuxième cas on ne se base que sur la cession des
droits mais avec cette importante subtilité qui est que l'on va malgré tout
tenir compte des frais de mise en oeuvre et de production afin de les compenser
ce qui permettra entre autre de financer des projets futurs, mais aussi de
dégager un bénéfice et de vivre... C'est d'ailleurs pourquoi l'UPC publie
un barème ne concernant que la cession de droits d'oeuvre préexistantes
puisqu'il existe déjà un barème pour les oeuvres de commande (cf.
http://www.edelamarre.com/FORMATION/UtiliserebarOCP.htm).

Benaparis

Pour mémoire, on entend par frais de mise en oeuvre ce que l'on appelle dans
d'autres profession libérales les honoraires (mais le terme est impropre dans
une note d'auteur photographe), bref, et pour faire simple c'est le temps
passé à la réalisation des photos (préparation du sujet inclus).

Pourquoi tout ce laïus me direz vous, puisque d'une certaine manière cela
revient à la proposition de Zouave15 de ne proposer un barème que pour les
cessions de droits sur les oeuvres préexistantes? La réponse est simple :
d'abord parce qu'elle est justifiée pour les bonnes raisons, ensuite savoir ce
qu'il faut inclure dans l'assiette de calcul de cession des droits selon les
cas (oeuvre préexistante ou non) et enfin éventuellement rappeler le barème pour
les oeuvres de commande.

Pardon d'avoir insisté sur des notions déjà bien connus de certains mais dans
ce domaine il y a encore beaucoup de confusion et de termes impropres.
N'hésitez pas à consulter le site suivant, vous y trouverez le fameux le fameux
barème pour les oeuvres de commande.

Vous souhaitant à tous une excellente journée.