Promenade matinale...

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autre zygène tout aussi sympa : celle de la carniole.

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scabieuses ou chardons, rien ne la rebute :  par contre c'est pas facile de l'avoir sur un plan où la netteté est maximale, même en aps-c et au 60 micro. En fx c'est même pas la peine d'essayer dans ces rapports là.

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les hespéries, papillons difficiles à identifier, sont aussi assez conciliantes lors de pdv :

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une hespérie de face :

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une autre hespérie plus commune :

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Une plus difficile à identifier, c'est bien là le problème ! il faut souvent plusieurs images pour déterminer une espèce à coup sûr, et comme on ne peut pas toujours multiplier les vues et les point de vue différents, il y a beaucoup de papillons qui restent sans nom dans les collections d'images.

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une autre :

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La même en vertical.
le choix format vertical ou horizontal au moment de la pdv se pose souvent comme un critère lié à l'esthétisme, pour ma part en illustration, et dans ces rapports là, c'est purement technique !

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le tircis, papillon des bois, est assez commun et se plaît dans les rais de lumière :

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l'hermite au sol, ses ailes ouvertes ne sont visibles qu'en vol et sont beaucoup plus colorées :

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quelquefois il replie même ses ailes complètement, ce qui peut rendre son indentification complexe à partir d'une simple image :

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ses teintes délicatement "chamoisées" s'expriment mieux à la lumière directe :

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cette hespérie montre sa longue "trompe", qui lui permet de s'affranchir aisément de la profondeur du calice de ces fleurs d'œillets sauvages :

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la belle dame, n'est pas facile à mettre en image : sur de forts rapports de grandissement, il faut faire un choix de zone de netteté, ici sur cette lavande j'ai choisi la tête.

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pour cette écaille chinée c'est plus facile car elle se tient sur un seul plan : mais elle n'est pas très esthétique dans cette position.

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Dans une autre posture, c'est la couleur qui manque :

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idem dans cette position :

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pour retrouver un peu de variété et des couleurs, il faut chercher un cadrage montrant le dessous du papillon:

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avec l'écaille chinée, on peut prendre tout son temps elle est peu sensible à la présence de l'observateur :

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les cuivrés aussi sont intéressant sur le plan des images, mais nettement moins facile à approcher, tourner autour est quasi impossible, il faut donc faire le bon choix du point de vue dès le départ : c'est donc la surprise une fois à la bonne distance.

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Une fois à bonne distance on a juste le choix du format de cadrage, et encore en opérant très lentement :

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de face :

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sur un chardon, le problème des argus et autre lycénidés est toujours le même : déclencher au bon moment, car ils bougent beaucoup lorsqu'ils cherchent du nectar, et rester concentrer sur une zone de netteté incluant absolument la tête !

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alterner les vues et les angles permet d'augmenter ses chances d'obtenir une image qui sort du lot, et surtout de contribuer à avoir plus de  chance d'effectuer une détermination correcte:

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Tiens, ça fait déjà cent pages ?
ce cerf élaphe s'est endormi, la passion ne l'anime plus ? Il en est ainsi du brame, comme de bien d'autres choses...
La question se pose pour moi aussi : à quoi ça sert d'aligner ici autant d'images ?