Choix logiciel traitement raw Avantage inconvénient Capture one, Dxo ou ...

Démarré par nico_grodio, Novembre 22, 2015, 11:12:08

« précédent - suivant »

B_M

bgl1 relisez le message : C'est à vous de faire l'effort d'apprendre pas à pas le logiciel. On ne le fera pas à votre place en répondant à une question par ci une question par là. On ne peut pas le faire à votre place.
Par ailleurs vous devez faire allusion aux aperçus dynamiques lorsque vous parlez de disque non connecté. Des sortes de vignettes hdef sur lesquelles LR travaille lorsque les fichiers photos originaux ne sont pas disponibles. C'est pour un usage nomade avec un portable en complément d'un ordi principal. Vous verrez ça plus tard.
Un dernier mot : LR ne touche pas aux fichiers photos originaux. Vous ne risquez aucun crash irréversible et mystérieux. LR travaille sur son catalogue c.a.d. sa base de données. (Le gros mot est dit : LR est une base de  donnée avant tout.)
BM
B_M

nico_grodio

Merci à tous pour vos avis et conseil.

je vais encore réfléchir et me documenter sur tous ces logiciels.

Bonne continuation et encore merci


AlainPre

Ce fil est un peu ancien mais j'ajoute tout de même un comm car j'ai dû il y a quelques temps choisir un dérawtiseur. Capture NX étant déclaré comme mort, je n'avais pas le choix.

J'ai testé plusieurs logiciels grâce aux versions d'eval et j'ai finalement sélectionné Capture One pour 2 raisons :
- Le rendu des couleurs, vraiment excellent (c'est peut-être uen affaire de goût)
- La possibilité de travailler en session.

Car les catalogues LR me sortent aussi par les yeux.
(usine à gaz si on veut travailler sur plusieurs ordinateurs, ou pour restaurer une sauvegarde partielle, etc)

Et non C1 n'est pas compliqué à utiliser. Je le trouve même plutôt simple. Quelques tutoriels ici

THG

Le week-end dernier, j'ai formé 8 personnes débutantes sur Lightroom, sur deux jours.

Le catalogue ne leur a semblé ni une contrainte, ni un écueil et, avec des arguments pertinents et de simple bon sens, ils ont parfaitement compris et assimilé le sujet, et vu son intérêt fondamental dans la construction d'un flux de travail efficace, simple et transparent.

Affirmer que le catalogue est un obstacle revient à exprimer deux choses : soit on n'a jamais utilisé le programme, soit on n'en a pas saisi le fonctionnement pour tout un tas de raisons : refus de l'effort de documentation, lecture de trop nombreuses inepties ici ou ailleurs, etc.

Et ce qui prête encore plus à sourire, en lisant les avis négatifs sur le catalogue Lr, c'est que les logiciels concurrents fonctionnent tous... sur une base de données (C1, DOP).

AlainPre

De mon coté j'ai précisé pourquoi les catalogues ne me plaisent pas :
- Il m'arrive fréquemment de commencer un traitement sur un ordinateur et de le terminer sur un autre.
- Quand un traitement est terminé j'archive, et je peux être amené à restaurer une séance particulière sur un autre ordinateur que celui où le traitement initial a été fait.

Le seul moyen que j'ai trouvé pour résoudre ces 2 contraintes était de créer un catalogue par séance. Autrement dit de simuler un fonctionnement en sessions.

D'autre part je n'ai absolument pas besoin des outils de recherches transversaux (recherche par mots clé sur toutes les séances). Quelqu'un citait l'exemple du photographe de mariage qui n'a pas besoin de ça non plus. En fait les seuls personnes intéressées par les recherches transversales sont les photographes d'illustration (ou photo de stock) qui doivent retrouver rapidement toutes les images sur un sujet donné.

Quand tu dis que l'utilisation du catalogue n'a pas été une contrainte pour des débutants. Je veux bien le croire, c'est quand on pousse l'utilisation plus loin qu'il devient lourd (voir les deux cas que j'ai cités).
Et quand tu dis que les logiciels fonctionnent tous sur le principe d'une base de données. Oui mais pas une base de données qui regroupe TOUTES les photos.

Si tu peux me donner la série d'opérations à réaliser pour traiter mes deux contraintes de départ, je suis preneur. Pour l'instant tous ceux qui ont voulu me faire une démo ont perdu des traitements dans l'opération.

Je dirais pour finir qu'il y a beaucoup de sortes de photographes et c'est dommage que LR ne propose pas la possibilité de travailler suivant les besoins de chacun (autrement dit un choix entre catalogue ou sessions).

THG

Citation de: AlainPre le Mai 11, 2016, 09:05:57
De mon coté j'ai précisé pourquoi les catalogues ne me plaisent pas :
- Il m'arrive fréquemment de commencer un traitement sur un ordinateur et de le terminer sur un autre.
- Quand un traitement est terminé j'archive, et je peux être amené à restaurer une séance particulière sur un autre ordinateur que celui où le traitement initial a été fait.

Le seul moyen que j'ai trouvé pour résoudre ces 2 contraintes était de créer un catalogue par séance. Autrement dit de simuler un fonctionnement en sessions.

D'autre part je n'ai absolument pas besoin des outils de recherches transversaux (recherche par mots clé sur toutes les séances). Quelqu'un citait l'exemple du photographe de mariage qui n'a pas besoin de ça non plus. En fait les seuls personnes intéressées par les recherches transversales sont les photographes d'illustration (ou photo de stock) qui doivent retrouver rapidement toutes les images sur un sujet donné.

Quand tu dis que l'utilisation du catalogue n'a pas été une contrainte pour des débutants. Je veux bien le croire, c'est quand on pousse l'utilisation plus loin qu'il devient lourd (voir les deux cas que j'ai cités).
Et quand tu dis que les logiciels fonctionnent tous sur le principe d'une base de données. Oui mais pas une base de données qui regroupe TOUTES les photos.

Si tu peux me donner la série d'opérations à réaliser pour traiter mes deux contraintes de départ, je suis preneur. Pour l'instant tous ceux qui ont voulu me faire une démo ont perdu des traitements dans l'opération.

Je dirais pour finir qu'il y a beaucoup de sortes de photographes et c'est dommage que LR ne propose pas la possibilité de travailler suivant les besoins de chacun (autrement dit un choix entre catalogue ou sessions).

Toutes les contraintes que tu cites dénotent d'une méconnaissance du programme, soulignée par cette insistance à vouloir créer plusieurs catalogues, ce qui est totalement inutile.

Mis à part le fait que je ne vois pas l'intérêt de s'imposer un traitement d'images réparti sur deux ordinateurs différents, il y a tout simplement la solution d'exporter au format Original, c'est à dire un Raw accompagné d'un sidecar XMP qui contient tout le travail effectué sur l'ordinateur A, et qu'on peut transférer sur l'ordinateur B (dans le cas où on aime se compliquer la vie). Au pire, on peut avoir deux sessions de Lightroom (ordinateur A et ordinateur B), et on trimballe les images sur un DD externe.

Quant à l'idée de session, elle est totalement inutile puisque l'épine dorsale du flux de travail dans Lightroom repose sur les collections.

Aucun logiciel accessible au grand public ne permet de partager les tâches entre deux ordinateurs distincts. Pour cela, il y a des solutions spécialisées, mais le coût de la licence n'est pas du tout le même.

Enfin, tous les photographes ne sont pas fournisseurs de stocks ou prestataires pour les mariages. En ce qui me concerne, et comme beaucoup de photographes, j'utilise les outils de recherche "transversaux" (terme qui ne veut rien dire) au quotidien, et cela au sein d'une organisation et d'un flux fluides et totalement transparents.

AlainPre

Les besoins et les préférences diffèrent d'un utilisateur à l'autre.
Ce qui serait grave ce serait de n'avoir plus le choix. Heureusement pour l'instant les dérawtiseurs sont nombreux, et avec toute une gamme de prix.

THG

Citation de: AlainPre le Mai 12, 2016, 15:57:24
Les besoins et les préférences diffèrent d'un utilisateur à l'autre.
Ce qui serait grave ce serait de n'avoir plus le choix. Heureusement pour l'instant les dérawtiseurs sont nombreux, et avec toute une gamme de prix.

Ce n'est pas une question de préférences ou d'utilisateur.

En photographie, on peut faire ce qu'on veut mais, au départ, on doit passer par l'apprentissage de notions de base incontournables.

Lightroom, c'est pareil, on peut en faire ce qu'on veut, mais il y a aussi des notions de base à assimiler, sur le bout des doigts, parce que le programme a été créé comme cela, en se basant sur le retour de milliers de beta-testeurs en 2006, et après avoir consulté des centaines de photographes à partir de 2002. Et donc, Lightroom a été conçu pour un seul catalogue, avec un flux de travail qui s'articule autour du système de collections, tout en laissant une grande liberté de manœuvre à l'utilisateur.

Mal connaître un logiciel n'a rien de répréhensible : il suffit de se documenter, d'apprendre et, parfois, de se remettre en question. Par contre, là où je n'adhère pas, c'est quand on tient des propos erronés dans un forum fréquenté par de nombreux débutants qui cherchent des réponses fiables à leurs interrogations, ou qu'on fasse porter le chapeau à un programme alors qu'on ne l'utilise pas comme il faudrait. Il ne me viendrait pas à l'esprit, par exemple, de contester la philosophie d'un Capture One, alors que je ne suis pas utilisateur du programme ou, tout au moins, mon expérience avec ne me permet en aucun cas de répondre à de nombreuses sollicitations passées (et très nombreuses) d'un point de vue contenu rédactionnel et formation. Et d'ailleurs, je suis déjà très impliqué avec DxO.

Je rappelle quand même que je suis formateur et rédacteur - je forme et j'informe des milliers de personnes sur Lightroom tous les ans, au travers de mon bouquin qui est dans les meilleures ventes depuis des années, au travers de ma propre communauté dans les réseaux sociaux, dans des salles de cours ou dans les innombrables articles et formations vidéo. À cela s'ajoute le fait que je suis très impliqué dans le programme lui-même. Désolé si je me jette des fleurs, mais je tenais à préciser tout cela ;-)