Ce n'est pas seulement le réchauffement climatique qui doit faire l'objet de notre attention.
Nos modes de consommation, notre modèle économique, notre dépendance de plus en plus importante aux terres rares, aux ressources naturelles dont l'extraction et l'exploitation sont la plupart du temps polluante tout en étant réalisées sur le dos de populations qui ne perçoivent que les miettes du gâteau.
Les photographes doivent également montrer l'exemple car on ne peut pas d'un côté s'émouvoir de la situation politique, environnementale, etc. et continuer à faire semblant pour satisfaire notre fringale tout en se donnant bonne conscience.
La terre ne nous appartient pas et c'est elle qui survivra après notre extinction, certes en très mauvais état mais elle sera toujours là.
Regardez le résultat après deux siècles de révolution industrielle : les conflits sont de plus en plus nombreux et violents ; les écarts de richesses de plus en plus insupportables tandis que la planète est malade de notre boulimie, de notre prétention.
Nous photographes devont être également des lanceurs d'alertes qui mettent en accord leurs idées avec leurs comportements.
Il est temps que nous ayons le courage de faire des efforts voire de renoncer !