Mode manuel vs semi auto.

Démarré par harobas, Octobre 27, 2012, 14:26:08

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pixoux

Citation de: Laure-Anh le Novembre 01, 2012, 12:00:23
VentdeSable,

Je vais redire la même chose différemment puisque tu insistes...

En portrait, que tu utilises un mur blanc ou un réflecteur, un exercice de base en lumière naturelle, par excellence non contrôlée, est de réaliser un portrait avec un cahier des charges très précis : le visage doit convenablement éclairé, avec une exposition de l'arrière-plan imposée invariable et un écart d'exposition entre visage et arrière-plan constant. Ce n'est pas comme réaliser un portrait en studio où la lumière est entièrement sous contrôle. La première difficulté est de mettre au préalable tout en place en vue de faire le portrait. Le temps de tout mettre en place, la lumière naturelle est susceptible d'avoir varié si bien que la deuxième difficulté est de réagir en conséquence afin de réaliser rapidement le portrait imposé avant que la lumière ambiante ne change à nouveau.

Si Harobas vient shooter le modèle quand tout est mis en place, depuis le même point de vue, avec le même cadrage, avec la même lumière et avec le même couple ouverture-vitesse en mode A, il obtiendra le même portrait obtenu par Verso92 en mode M. C'est évident.

Mais si la lumière change : Verso92 qui est en mode M saura aussitôt que la lumière a changé, il saura également quelle est l'intensité de ce changement au tiers d'IL près et adaptera en un tour de main ses réglages pour obtenir exactement le même portrait que précédemment comme si le changement de lumière n'avait pas eu lieu ; Harobas qui travaille en mode A ne s'apercevra très probablement pas du tout que la lumière a changé...

- Dans ce cas, comment Harobas peut-il réaliser le portrait demandé, c'est-à-dire avec le visage convenablement éclairé, une exposition de l'arrière-plan imposée invariable et un écart d'exposition entre visage et arrière-plan constant ?
-  Si Harobas n'est pas en mesure de noter un changement de lumière d'1/3 IL entre deux prises de vues successives en mode A, comment fait-il, toujours en mode A, pour mettre en place l'éclairage qui convient dans l'hypothèse où la lumière naturelle est susceptible de varier souvent, à l'improviste et plus ou moins fortement pendant la phase préparative (dans la mesure où la mise en place du modèle et du set d'éclairage n'est pas instantanée mais demande un temps non négligeable) ?

Bien à toi,
Laure-Anh,ne perds pas ton temps à répondre à Ventdesable,tu peux remarquer que personne n'a répondu à ses interventions car il est bien connu sur ce forum pour pourrir de nombreux fils.Il souffre visiblement de troubles délirants mégalo-maniaques.

VentdeSable

Citation de: pixoux le Novembre 01, 2012, 14:54:23

Laure-Anh,ne perds pas ton temps à répondre à Ventdesable,tu peux remarquer que personne n'a répondu à ses interventions car il est bien connu sur ce forum pour pourrir de nombreux fils.Il souffre visiblement de troubles délirants mégalo-maniaques.
;-)

Pas très construit comme argument mais vous pouvez peut-être peser le pour et le contre et dans un bel élan contributif donner votre avis non pas sur la forme mais sur le fond. Parce que le reste... honnêtement...

Alors : en mode "A" une image exposée à 100 iso - 1:5,6 au 125ème est elle différente d'une image exposée, dans les mêmes conditions de luminosité, d'une image exposée en mode "M"  à 100 iso - 1:5,6 au 125ème ?

Et ensuite dire pourquoi ?

J

Verso92

#102
Pas sûr d'avoir bien compris la problématique du fil, mais bon...
En mode M, une fois qu'on a réglé son exposition, elle reste valable quel que soit le cadrage, à condition que la lumière ambiante ne change pas. En mode A, non...
- Première série : paramètres équivalents à peu de chose près (voir remarque en fin de message).

- Deuxième série : en mode M, les paramètres TdP/ouverture ont été conservés (on considère la mesure de la première photo correcte, et on ne changera rien même en cas de cadrage différent). En mode A, il faut tout vérifier et compenser le cas échéant à chaque fois que le cadrage change...

(à noter, même si c'est marginal, que l'exposition en mode A n'est pas tout à fait égale à celle obtenue en mode M : la faute à la précision de 1/3 d'IL en mode M (précision commandes + affichage), alors qu'en mode A, l'obturateur est réglé en "continu"...)

Laure-Anh

Citation de: pixoux le Novembre 01, 2012, 14:54:23
Laure-Anh,ne perds pas ton temps à répondre à Ventdesable, tu peux remarquer que personne n'a répondu à ses interventions car il est bien connu sur ce forum pour pourrir de nombreux fils.Il souffre visiblement de troubles délirants mégalo-maniaques.

Perso, je n'ai jamais eu de souci avec VentdeSable. Je vais continuer à lui répondre... ;)
1 - Quelle différence y a-t-il entre ces deux images prises en mode A avec correction d'exposition à zéro ?



Laure-Anh

f10 & 8 s à 100 ISO pour la 1 et f10 & 4 s toujours à 100 ISO pour la 2 : il n'y a aucune différence de rendu mais la lumière naturelle a changé entre les deux prises de vues ; plus précisément, elle était deux fois plus intense sur la 2.

En pratique, celui qui travaille en mode A ne s'aperçoit pas, même pas, quand la lumière ambiante change du simple au double. C'est le gros défaut quand on travaille en mode A et qu'on délègue le contrôle de la lumière aux automatismes du boîtier.

Laure-Anh

2 - Quelle différence entre ces trois images prises en mode M ?






Laure-Anh

La lumière a varié de moins d'un dixième d'IL d'une image à l'autre...

Celui qui travaille en mode M est en mesure de détecter un changement de lumière infime. Il sait mettre en évidence ce changement infime pour le montrer à d'autres que lui.

Laure-Anh

Quand bien même la lumière naturelle change et double d'intensité, celui qui travaille en mode M est en mesure de faire les mêmes photos qu'auparavant, c'est-à-dire les photos qu'il aurait faites si la lumière ambiante n'avait pas changé :




jamix2

Citation de: Laure-Anh le Novembre 01, 2012, 17:06:27
...
En pratique, celui qui travaille en mode A ne s'aperçoit pas, même pas, quand la lumière ambiante change du simple au double. C'est le gros défaut quand on travaille en mode A et qu'on délègue le contrôle de la lumière aux automatismes du boîtier.
Cette affirmation est complètement ridicule. Ce n'est pas parce que l'on utilise le mode A que l'on est scotché à la position zéro et insouciant des paramètres d'exposition. Le mode A associé à la correction d'exposition donne strictement le même contrôle sur son image que le mode M.

Laure-Anh

Citation de: jamix2 le Novembre 01, 2012, 17:17:34
Cette affirmation est complètement ridicule. Ce n'est pas parce que l'on utilise le mode A que l'on est scotché à la position zéro et insouciant des paramètres d'exposition. Le mode A associé à la correction d'exposition donne strictement le même contrôle sur son image que le mode M.

C'est ce que je pensais également...avant d'aborder le portrait en lumière naturelle et en mode M. En mode A, avec les logiciels de dérawtisation, on en prend généralement à son aise, on expose à 1 IL près sans conséquence. En mode A, avec ou sans correction, la plupart du temps, on n'est pas conscient des variations de la lumière au cours de nos sorties photos. En mode A avec ou sans correction, même quand on est appliqué, personne ou presque personne ne met en évidence les variations de lumière inférieures au 1/3 IL...

En mode M, on a les moyens d'avoir un contrôle plus précis.

Lyr

Citation de: Laure-Anh le Novembre 01, 2012, 17:06:27
f10 & 8 s à 100 ISO pour la 1 et f10 & 4 s toujours à 100 ISO pour la 2 : il n'y a aucune différence de rendu mais la lumière naturelle a changé entre les deux prises de vues ; plus précisément, elle était deux fois plus intense sur la 2.

En pratique, celui qui travaille en mode A ne s'aperçoit pas, même pas, quand la lumière ambiante change du simple au double. C'est le gros défaut quand on travaille en mode A et qu'on délègue le contrôle de la lumière aux automatismes du boîtier.

Mais si tu veux une image "bien exposée", le mode A est plus intéressant, car si quelqu'un entre dans la pièce et éteint la lumière, avec ton mode M, tu auras une image noire, alors qu'en mode A, il va changer le temps d'exposition et tu auras un sujet visible sur ta photo (la pièce ne se retrouvant pas dans le noir absolu).

Si tu veux montrer un changement de lumière par rapport à une référence, alors ton explication se tient.
Mais si tu veux obtenir une photo du sujet, la discussion est différente.
Le mode M demande de garder un oeil sur le barregraphe afin de suivre, si l'envie nous en prend, le brusque changement de lumière, alors qu'en mode A, on lui donne une consigne, et lui change ce qu'il a à changer pour suivre la consigne.

Tous les deux sont des outils.

Des outils différents.

Et des outils différents n'ont pas les mêmes usages ni les mêmes destinations.

Pour ton usage, c'est peut-être le mode M, mais de là à dire qu'un utilisateur du mode A ne saura pas voir un changement de lumière, je n'en suis pas si sûr.

Lyr

Citation de: Laure-Anh le Novembre 01, 2012, 17:40:25
C'est ce que je pensais également...avant d'aborder le portrait en lumière naturelle et en mode M. En mode A, avec les logiciels de dérawtisation, on en prend généralement à son aise, on expose à 1 IL près sans conséquence. En mode A, avec ou sans correction, la plupart du temps, on n'est pas conscient des variations de la lumière au cours de nos sorties photos. En mode A avec ou sans correction, même quand on est appliqué, personne ou presque personne ne met en évidence les variations de lumière inférieures au 1/3 IL...

En mode M, on a les moyens d'avoir un contrôle plus précis.

Et si je veux, pour mon portrait, un histogramme "bien centré"?
Le mode M va bloquer tout, la lumière va changer, et je vais me retrouver avec mes données qui seront déplacées vers les ombres d'un tiers d'IL car la lumière aura changé.
Donc je devrai passer un coup de curseur au développement pour remonter d'1/3 IL.

Alors qu'en mode A, l'appareil aura compenser et gardé mon histogramme comme je le voulais, que la lumière ait baissé ou augmenté.

jamix2

Citation de: Laure-Anh le Novembre 01, 2012, 17:40:25
...En mode A, avec les logiciels de dérawtisation, on en prend généralement à son aise, on expose à 1 IL près sans conséquence.
Tu crois vraiment à ce que tu écris là ?
Citation de: Laure-Anh le Novembre 01, 2012, 17:40:25
En mode A, avec ou sans correction, la plupart du temps, on n'est pas conscient des variations de la lumière au cours de nos sorties photos.
Mais le mode A avec correction ce n'est pas la même chose que le mode A tout à zéro, ne pas vouloir le reconnaître rend ta croisade en faveur du mode A sympathique mais mal étayée.

Laure-Anh

Citation de: Lyr le Novembre 01, 2012, 17:43:15
Et si je veux, pour mon portrait, un histogramme "bien centré"?
Le mode M va bloquer tout, la lumière va changer, et je vais me retrouver avec mes données qui seront déplacées vers les ombres d'un tiers d'IL car la lumière aura changé.
Donc je devrai passer un coup de curseur au développement pour remonter d'1/3 IL.

Alors qu'en mode A, l'appareil aura compenser et gardé mon histogramme comme je le voulais, que la lumière ait baissé ou augmenté.

Quand la lumière change ne serait-ce que d'un tiers d'IL, on s'en aperçoit en mode M et on corrige le tir en conséquence. Pas besoin de corriger en post-production. Le problème ne se pose pas.

L'histogramme est représentatif de la scène cadrée, c'est-à-dire du visage du modèle et de son environnement. En mode A, il suffit de déplacer le modèle dans le cadre pour que l'exposition change bien que la lumière ambiante reste constante et bien que l'éclairage de son visage reste également inchangé. En mode A, quand on met en place le réflecteur face  au visage, l'exposition change également tandis que la lumière ambiante reste constante, notamment en arrière-plan...Comment dans ces conditions gère-t-on en mode A la mise en place du modèle et du set d'éclairage avec précision en vue de faire un portrait en lumière naturelle sans flash selon un cahier des charges bien précis : avec un visage convenablement éclairé, une exposition de l'arrière-plan imposée invariable et un écart d'exposition visage/arrière-plan constant ? Dans l'hypothèse où la lumière naturelle reste constante durant toute la durée du shooting. Puis dans l'hypothèse où la lumière naturelle change au cours du shooting ?

Laure-Anh

Jamix2,

Je photographie le plus souvent en mode A. Pour autant, la correction d'expo en mode A, sauf erreur de ma part, se fait par palier d'1/3 IL. Comment faire pour gérer des variations de lumière inférieures à un tiers d'IL, de l'ordre du 1/10 d'IL ? Notamment en proxy ou en macro où la cellule à main est inopérante ? Si tu as des solutions, je suis preneuse.

Tonton-Bruno

Citation de: Laure-Anh le Novembre 01, 2012, 18:24:08
Jamix2,

Je photographie le plus souvent en mode A. Pour autant, la correction d'expo en mode A, sauf erreur de ma part, se fait par palier d'1/3 IL. Comment faire pour gérer des variations de lumière inférieures à un tiers d'IL, de l'ordre du 1/10 d'IL ? Notamment en proxy ou en macro où la cellule à main est inopérante ? Si tu as des solutions, je suis preneuse.
C'est l'appareil qui le fait pour toi, en ajustant la vitesse au 1/10 de IL.

Si tu regardes les données EXIF complètes et brutes, tu verras que les variations de vitesse sont en fait encore plus subtiles que ça.

Laure-Anh

Oui, Tonton Bruno. Tu as tout-à-fait raison.

Verso92 l'a écrit plus haut : l'exposition varie en continu en mode A. De même que la puissance d'un flash cobra varie en continu en mode TTL et non pas par valeurs fixes bien définies. Je parle de gérer de manière volontaire et consciente les variations de moins d'un tiers d'IL, notamment via les touches de correction d'exposition.

Tonton-Bruno

Citation de: Laure-Anh le Novembre 01, 2012, 18:34:09
Oui, Tonton Bruno. Tu as tout-à-fait raison.

Verso92 l'a écrit plus haut : l'exposition varie en continu en mode A. De même que la puissance d'un flash cobra varie en continu en mode TTL et non pas par valeurs fixes bien définies. Je parle de gérer de manière volontaire et consciente les variations de moins d'un tiers d'IL, notamment via les touches de correction d'exposition.

J'ai failli te répondrer: ça se fait sous l'agrandisseur !

OK. Tu fais ça sous LR avec un masque local, et on n'en parle plus.

seba

Citation de: Laure-Anh le Novembre 01, 2012, 18:34:09
Verso92 l'a écrit plus haut : l'exposition varie en continu en mode A. De même que la puissance d'un flash cobra varie en continu en mode TTL et non pas par valeurs fixes bien définies. Je parle de gérer de manière volontaire et consciente les variations de moins d'un tiers d'IL, notamment via les touches de correction d'exposition.

Comment peut-on d'ailleurs faire ça en mode M ?

Tonton-Bruno

Citation de: seba le Novembre 01, 2012, 18:44:05
Comment peut-on d'ailleurs faire ça en mode M ?

Je pense que Laure-Anh veut dire qu'à la prise de vue, en déplaçant un reflecteur, elle peut obtenir des variations très subtiles de 1/10 IL qui seraient mangées par un automatisme.

C'est ce que j'appelle de la photo de studio en lumière ambiante ou lumière continue.

On le fait plus pour des natures mortes que pour des portraits, mais c'est vrai que pour les natures mortes, je préfère rester en mode M intégral, y copris ISO et MaP.

Verso92

Citation de: Laure-Anh le Novembre 01, 2012, 18:34:09
Verso92 l'a écrit plus haut : l'exposition varie en continu en mode A. De même que la puissance d'un flash cobra varie en continu en mode TTL et non pas par valeurs fixes bien définies. Je parle de gérer de manière volontaire et consciente les variations de moins d'un tiers d'IL, notamment via les touches de correction d'exposition.

Tu peux dans certains cas gérer des variations de 1/6 d'IL, via les menus de configuration associés aux modes de mesure de certains boitiers... mais ce n'est guère fait pour être changé à la volée sur le terrain (plus de l'étalonnage, en fait)...
De toute façon, en mode M, la précision de l'affichage et l'incrément des commandes est de 1/3 d'IL...

Laure-Anh

Citation de: Tonton-Bruno le Novembre 01, 2012, 18:49:16
Je pense que Laure-Anh veut dire qu'à la prise de vue, en déplaçant un reflecteur, elle peut obtenir des variations très subtiles de 1/10 IL qui seraient mangées par un automatisme.

C'est ce que j'appelle de la photo de studio en lumière ambiante ou lumière continue.

On le fait plus pour des natures mortes que pour des portraits, mais c'est vrai que pour les natures mortes, je préfère rester en mode M intégral, y copris ISO et MaP.
Oui, c'est bien cela. Mister Pola et Olivier Chauvignat aiment bien gérer le ratio de leurs flashes au 1/10 IL près. Je suppose qu'ils sont aussi rigoureux quand ils façonnent leur éclairage en lumière naturelle non contrôlée sans flash. J'essaie de prendre exemple. Accessoirement d'appliquer les recettes apprises à la photographie animalière et à la macro sur le terrain.

Lyr

Gérer le ratio au 1/10ème, OK.

Si ton mode A "mange" l'ajout de lumière apporté par ton réflecteur qui met 1/10ème de plus, en attendant, le ratio sera conservé.
Pour le cas particulier cité, si tu avais calé ta référence par exemple sur l'exposition des tons moyens du visage, ça va diminuer un peu cette exposition, mais la solution, si l'on veut conserver ce mode A, c'est la mesure spot sur les tons moyens (ou clairs, ou foncés, selon ce que l'on veut garder constant) du visage (ou autre, si pas portrait).

Je concède que le mode M pour une série de cas est fort pratique, voire le seul choix, mais sur la question posée en ouverture, on en revient, plus largement, à pouvoir dire que bien gérer son mode A donne la même chose, voire mieux dans d'autres circonstances.

Verso92

Citation de: Lyr le Novembre 02, 2012, 00:05:53
Gérer le ratio au 1/10ème, OK.

Personnellement, je n'y crois pas trop. La commande de diaph des Nikon, par exemple, n'est pas aussi précise...

Tonton-Bruno

Disons que dans des conditions de studio, si on veut construire son éclairage, il vaut mieux opérer en mode manuel.

Pour ce qui est de l'usage d'un réflecteur, j'avais fait un rapide tuto pour l'ancêtre de ce forum an avril 2004, il y a plus de huit ans.

A l'époque déjà, je disais qu'on pouvait considérer le réflecteur comme une source de lumière secondaire, au même titre qu'un projecteur ou qu'un flash.