Objectif du Lubitel

[Gér@rd]

Pour comparer avec ce qui est comparable, est-ce qu'un Zeiss Triotar aurait vraiment fait mieux ? J'en suis pas du tout sûr...

Tous les deux sont simplement des 3 lentilles et il n'y avait donc pas de miracles dans les coins. Mais pour des tirages genre magazine 18x18 ou même 24x24 ça passait très bien. Le souvenir que j'ai du Lubitel est celui d'un appareil école, simple mais pas construit au rabais. Il n'avait pas la prètention d'égaler un Rollei avec son Tessar mais ,bien maitrisé, il permettait au photographe de faire ce qu'il voulait (ce n'ètait pas lui le maillon faible qui aurait limitè la créativité du photographe). Ça et son faible prix explique son succès dans les photo-clubs.

[Verso92]

Il n'avait pas la prètention d'égaler un Rollei avec son Tessar mais ,bien maitrisé, il permettait au photographe de faire ce qu'il voulait (ce n'ètait pas lui le maillon faible qui aurait limitè la créativité du photographe). Ça et son faible prix explique son succès dans les photo-clubs.

La faible qualité des résultats fait qu'il retournait vite dans le placard...

[Victor]

En tout cas, il a été mon premier appareil photo "sérieux", avec lui, j'ai appris les bases de la prise de vue. Je l'ai toujours et il sent encore la graisse plus de 30 ans après. 
C'est sûr qu'il ne pouvait pas être comparé à un Rolleiflex ou un Mamiya C, mais à moins de 200 francs, fallait pas lui demander l'impossible.

[Jean-Claude]

Et pourtant, tu as commandé le Petzval 58mm !

Je sais, c'était pour le bokeh tournant, mais je n'ai pas pu résister   

Rien à voir, le Petzval à un comportement parfaitement connu et répétitif qui peut aller du centre net seulement à tout le champ net et là où il est net il l'est vraiment fortement.
Il y a aussi son vignettage fort ou pas, le comportement différent en fonction des distances des différents plans et sa grande de ouverture, les diaph de formes spéciales, bref un outil créatif.