Quel diffuseur pour flash cobra?

Démarré par Rhylaxk, Décembre 28, 2016, 14:58:07

« précédent - suivant »

jesus

Citation de: jmk le Février 20, 2017, 19:21:05
Sur un mal entendu on pourrait avoir une photo bien exposée !  ;D :D
Le mode A en concert a besoin de grosse correction d'exposition ...

seba

Citation de: jesus le Février 20, 2017, 20:34:47
Le mode A en concert a besoin de grosse correction d'exposition ...

Ca dépend du concert je dirais.

jmk


Laure-Anh

#278
Citation de: jmd2 le Février 18, 2017, 10:37:52
http://www.chassimages.com/forum/index.php/topic,263965.msg6247477.html#msg6247477
dans ce message, j'ai démontré que c'est à 10% près qu'il faut mesurer la distance pour rester à 1/3 de diaph près.
donc distinguer 1,49 m de 1,35m  :-[


Pourquoi ne pas donner en exemples des distances telles que 1m et 1,10m ? Ou bien 2m et 2,20m ?
Pourquoi embrouiller et perturber les lecteurs débutants avec des mesures telles que 1,49m et 1,35m qui sont des distances non divisibles mentalement de tête ?

Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
Il suffit de rappeler que :
- une différence de distances source-sujet de 10% (= plus finement 0,0955...) équivaut à une différence de 1/3IL,
- une différence de distances source-sujet de 20% équivaut à une différence d'éclairement de 1/2IL,
- une différence de distances source-sujet de 25% équivaut à une différence d'éclairement de 2/3IL,
- et une différence de distances source-sujet de 40% équivaut à une différence d'éclairement de 1IL.
Il n'y a rien à démontrer, ces 4 différences d'éclairement les plus significatives font partie des acquis de base dès lors que l'on a compris et bien compris comment varient les valeurs d'ouverture photographique.

Pour ta gouverne, si c'est 147cm au lieu de 135cm ou bien 148cm au lieu de 136cm, ou bien encore 218cm au lieu de 200cm, ou bien encore 249cm au lieu de 228cm, la différence d'éclairement est dans ces conditions - dans la mesure où les différences entre ces distances diverses et variées ne dépassent pas 0,0955 - inférieure à 1/3IL si bien que cette différence est par conséquent non enregistrable en pratique par un boîtier photo dont la précision est limitée au 1/3IL.
Bref, si c'est 147cm au lieu de 135cm ou bien 148cm au lieu de 136cm, ou bien encore 218cm au lieu de 200cm, ou bien encore 249cm au lieu de 228cm, la différence d'éclairement est en pratique considérée comme étant nulle. Donc pas besoin de mètre à mesurer.


Citation de: jmd2 le Février 18, 2017, 10:37:52
http://www.chassimages.com/forum/index.php/topic,263965.msg6247477.html#msg6247477
...
alors pour régler un flash en manuel à 1/3 de diaph, il FAUT un mètre.
conséquence :
- soit on achète un mètre et on mesure (ou on trace des repères au sol, façon tournage des films)
- soit on achète un flashmètre (ce que je préfèrerais)
- soit on travaille avec du Nikon et on le laisse faire tout seul  ;)

C'est purement et simplement de l'escroquerie intellectuelle !!!
Tu mêles une fausse vérité, celle que tu nous sers à tort et à travers depuis le début, à deux vérités vraies :
c'est chercher à tromper les lecteurs débutants de façon intentionnelle et avec une mauvaise foi navrante.
Cela n'a rien à voir avec un partage d'expériences personnelles diverses et variées fondées sur des bases solides et fiables - véritablement reproductibles par tout un chacun.

- soit on achète un flashmètre (c'est incontournable en multi-sources, c'est pédagogique et didactique !...)
- soit on s'entraîne pour estimer efficacement la distance source-sujet à vue de nez et on y arrive très bien, soit on investit 4,50 €uros dans un mètre déroulant : auxquels cas on sera aussi performant qu'avec un flashmètre en éclairage mixte avec un seul flash,
- soit on travaille en Nikon et on obtient ce que l'on peut et comme l'on peut, sans être maître du ratio "ambiante/flash", sans être maître de rien, sans véritablement savoir où l'on va, et sans pouvoir expliquer à autrui comment obtenir ceci ou cela. A force de pratiquer constamment en mode Auto, on sera complètement désemparé et démuni pour réaliser des photos de mouvements rapides, notamment des photos d'oiseaux en vol à la mangeoire ou des macros d'insectes en mouvement. Et on sera complètement ignorant/ignare voire bardé de mauvaises habitudes le jour où on voudra aborder 'éclairage de studio.

Laure-Anh

#279
Pour que les lecteurs débutants ne se fassent pas avoir par tes chants de sirènes,
je propose de photographier la même chose que ce que Henz proposait de faire plus haut :
à savoir photographier Jean-Yves Le Drian à l'occasion d'un évènement officiel,
et pour faire bonne figure photographier également Christiane Taubira présente à ses côtés le même jour.

Ma question est la suivante : on s'est acheté un boîtier Nikon et un flash i-TTL Nikon, tous les deux haut de gamme et dernier cri,
on est en mode Auto, par exemple en mode A associé à la mesure matricielle : partant de là, on fait quoi et comment ?

::)

Laure-Anh

En tout manuel, voilà ce que tout photographe exercé ferait : simple et rapide...
En étant totalement maître du ratio "ambiante/mixte", en étant totalement maître de la justesse de l'exposition du sujet principal,
en étant aussi maître que possible de la différence d'exposition au niveau du sujet secondaire au cas où il faudrait choisir entre deux sujets existants,...

Xylopicron

Tu perds ton temps et ton énergie pour répondre à quelqu'un qui ne cherche pas à aborder la photographie sans l'automatisme du flash.
Je trouve que c'est de la provoc voir plus de sa part et c'est usant de voir ce fil s'allonger inutilement alors que le sujet est autre.

pyerrot

Je ne vois pas en quoi ce que tu explique Laure-Anh est différent de ce que jmk écrit. Tu admet une différence d'exposition entre les deux personnes en raison de leur distance vis à vis du flash. Une différence qui n'est pas énorme d'ailleurs. Jmk propose de le faire avec un mode automatisé. Et alors?

Laure-Anh

Citation de: Xylopicron le Février 22, 2017, 02:25:40
...
Je trouve que c'est de la provoc voir plus de sa part et c'est usant de voir ce fil s'allonger inutilement alors que le sujet est autre.

Le sujet de ce fil est quel diffuseur pour un flash cobra ?
La question de fond est en réalité  : pourquoi un diffuseur ?


Pourquoi les photos au flash cobra nu sans diffuseur ne sont-elles généralement pas satisfaisantes : effet de fromage blanc, ou bien photo sous-ex, ou bien encore effet flash trop évident, voire photos sous-ex au niveau du sujet principal situé au second plan avec effet de fromage blanc au niveau des personnages secondaires situés au premier plan ?

Parce que si on regarde les photos incriminées de près, on s'aperçoit que les automatismes ne s'en sortent pas bien si le photographe n'est pas aguerri et ne guident pas ces automatismes avec savoir-faire.
Parce que le plus souvent, les automatismes sous-exposent beaucoup trop la lumière ambiante et favorisent beaucoup trop l'apport de lumière au moyen du flash.
Parce que les automatismes ne peuvent rien contre un flash mal positionné par rapport au premier plan et par rapport à un deuxième plan plus ou moins près ou plus ou moins distant : le photographe doit impérativement apprendre comment se produit la déperdition de la lumière d'un flash en fonction de la distance flash-sujet et où positionner son flash pour éclairer correctement un plan donné et obtenir par le même positionnement une différence d'éclairement donné au niveau d'un second plan séparé du plan correctement exposé par une distance donnés.

Les automatismes, il faut savoir s'en servir efficacement parce qu'ils diffèrent d'une marque à l'autre, voire d'un modèle à l'autre au sein d'une même marque. C'est paradoxal mais c'est comme ça.

Laure-Anh

Citation de: pyerrot le Février 22, 2017, 03:08:34
Je ne vois pas en quoi ce que tu explique Laure-Anh est différent de ce que jmd2 écrit. Tu admet une différence d'exposition entre les deux personnes en raison de leur distance vis à vis du flash. Une différence qui n'est pas énorme d'ailleurs. Jmd2 propose de le faire avec un mode automatisé. Et alors?

Jmd2 - non pas jmk avec qui je suis presque toujours d'accord - dit que la mesure matricielle Nikon est magique et magnifique. Il n'y a qu'à déclencher. La vérité est tout autre.
Il y a des questions qui interpellent le photographe débutant en automatisme au flash en mesure matricielle.
Soit on les ignore, on déclenche comme le fait jmd2 et on obtient ce que l'on peut sans pouvoir expliquer le pourquoi du comment.
Soit on essaie d'y répondre, et on découvre que tout n'est pas simple, tout est même sacrément compliqué, tout ne s'explique pas. Les pros eux-mêmes n'ont pas la réponse.

Si la mesure matricielle est indépendante du collimateur AF actif , comment font les automatismes pour savoir si c'est le sujet situé au fond ou bien celui qui est au premier qu'il faut éclairer correctement au flash ?
Si la mesure matricielle est surpondérée par le collimateur AF actif, quel collimateur AF actif utilise-t-on ? Où et comment ? Cela n'est pas sans conséquence. Il faut savoir quoi faire et comment éviter les pièges...Tout n'est pas aussi simple que le prétend jmd2. Le mode automatisé, ce n'est pas magique. La marge d'erreur peut être terrible. Il faut en être conscient.

(Sous Mozilla Firefox, pour visualiser l'image sans la compression du forum, faire un clic droit puis choisir "afficher l'image".)

Laure-Anh

La différence avec le flash en tout manuel est la suivante :
cela n'est pas antagoniste, la pratique de temps à autre du flash manuel aide au contraire à comprendre comment mieux exploiter les automatismes au flash,

jmk

Citation de: Laure-Anh le Février 22, 2017, 20:56:22

Jmd2 - non pas jmk avec qui je suis presque toujours d'accord - dit que la mesure matricielle Nikon est magique et magnifique. Il n'y a qu'à déclencher. La vérité est tout autre.


Merci d'avoir corrigé, c'est tout à fait ça 😉

Laure-Anh

Cas fréquent où le diffuseur ne sert à rien.
Idem pour les automatismes boîtier.
Ils ne peuvent pas aider à résoudre le problème d'exposition.
L'un des deux sujets ne peut pas être correctement exposé tandis que le deuxième présente une différence d'éclairement de 1IL en plus ou en moins.
Parce que fondamentalement le problème d'exposition est du fait des lois physiques lié au positionnement du flash.

Le photographe débutant doit apprendre à consulter les valeurs d'ouverture qui s'affichent sur son écran LCD pour déterminer une/la distance flash-sujet appropriée pour une différence d'éclairement donnée entre deux plans successifs séparés par une distance donnée. Ce n'est qu'après avoir positionné le flash comme il faut par rapport à ces deux plans que les automatismes boîtier pourront tenter de fonctionner de façon optimale.

seba

Citation de: Laure-Anh le Février 22, 2017, 20:56:22
Si la mesure matricielle est indépendante du collimateur AF actif , comment font les automatismes pour savoir si c'est le sujet situé au fond ou bien celui qui est au premier qu'il faut éclairer correctement au flash ?
Si la mesure matricielle est surpondérée par le collimateur AF actif, quel collimateur AF actif utilise-t-on ? Où et comment ? Cela n'est pas sans conséquence. Il faut savoir quoi faire et comment éviter les pièges...Tout n'est pas aussi simple que le prétend jmd2. Le mode automatisé, ce n'est pas magique. La marge d'erreur peut être terrible. Il faut en être conscient.

Chez Nikon, au flash, l'exposition tient principalement compte de la distance et pratiquement pas de la réflectance du sujet.

Laure-Anh

#289
Citation de: seba le Février 23, 2017, 08:14:59
Chez Nikon, au flash, l'exposition tient principalement compte de la distance et pratiquement pas de la réflectance du sujet.

C'est intéressant à savoir !  ;)
Peux-tu m'en dire plus ?

Si je prends par exemple un flash YONGNUO TTL YN-565EX ou bien un flash TTL Sigma EF-610 DG ST et que je place l'un ou l'autre dans la griffe porte-flash d'un boîtier Nikon, comment ce boîtier Nikon sait-il quel est le NG de chacun desdits flashes afin de mettre en oeuvre la puissance appropriée compte-tenu de la distance capteur-sujet principal ?
Si je prends un flash Nikon par exemple un SB-900, que je le munisse d'un de mes diffuseurs-maison et que je le place dans la griffe porte-flash d'un boîtier Nikon, comment ce boîtier Nikon sait-il quel est le NG résultant de cet ensemble afin de mettre en oeuvre la puissance appropriée compte-tenu de la distance capteur-sujet principal ?
D'une manière générale, si un boîtier Nikon ignore tout du NG d'un flash glissé dans sa griffe porte-flash, comment ce boîtier Nikon met-il en oeuvre la puissance appropriée compte-tenu de la distance capteur-sujet principal ?
Si je prends un flash Nikon, que je le place dans la griffe porte-flash d'un boîtier Nikon et que je l'utilise avec un réflecteur Lastolite c-à-d en indirect, comment ce boîtier Nikon sait-il quelle puissance appropriée mettre en oeuvre compte-tenu de la distance capteur-sujet principal ?
Idem si je prends un flash Nikon que j'utilise en déporté avec un boîtier Nikon, comment ce boîtier Nikon sait-il quelle puissance appropriée mettre en oeuvre compte-tenu de la distance capteur-sujet principal ?


Perso, pour une photo en lumière mixte selon un ratio 1:1 , je prends en tout manuel la moitié exacte et précise de l'expo parfaitement correcte à la lumière ambiante existante que je mixe avec la moitié exacte et précise de l'éclairement produit par mon flash pour éclairer correctement le sujet principal si le flash était la seule source d'éclairage.
Jac70 a posté récemment une planche-contact avec des photos du Portugal réalisées en mode Auto et mesure matricielle où l'on pouvait voir une exposition qui variait de 0 à -1IL1/2 par rapport à l'exposition théoriquement correcte liée à la lumière ambiante existante, et ce en présence d'une lumière ambiante constante : http://www.chassimages.com/forum/index.php/topic,266158.0.html




Dans de telles conditions, comment est-ce que les automatismes TTL Nikon font pour compléter la lumière ambiante existante à l'aide du flash étant donnée la large variabilité de l'expo à la lumière ambiante ? Et quel ratio sera mis en oeuvre par les automatismes Nikon ? Dans la mesure où la mesure matricielle donne des résultats très variables en présence de la seule lumière ambiante existante, pour quelles raisons est-ce que la même mesure matricielle donnerait des résultats consistants en matière d'éclairage au flash ?

Bien à toi,


seba

Citation de: Laure-Anh le Février 23, 2017, 20:15:31
C'est intéressant à savoir !  ;)
Peux-tu m'en dire plus ?

Le flash utilise l'information de distance pour régler le flash. Du coup si le sujet est entièrement blanc par exemple, il sera quand même bien exposé.
Pour tes différentes remarques, effectivement la question se pose.
Je ferai quelques essais demain (mais uniquement avec le flash intégré).

Laure-Anh

Citation de: seba le Février 23, 2017, 22:07:28
Le flash utilise l'information de distance pour régler le flash. Du coup si le sujet est entièrement blanc par exemple, il sera quand même bien exposé.
Pour tes différentes remarques, effectivement la question se pose.
Je ferai quelques essais demain (mais uniquement avec le flash intégré).

La seule information de distance dont disposent les automatismes est soit la distance capteur-sujet pointé par le collimateur AF actif au moment de la mise au point AF en l'absence de toute mémorisation de l'expo au flash, soit la distance capteur-sujet pointé par le collimateur AF actif au moment de la mémorisation de l'expo au flash si mémorisation il y a.
Cette information de distance quelle qu'elle soit est assimilable à la distance flash-sujet principal uniquement si le flash est dans la griffe porte-flash et éclaire directement le sujet principal et si la mesure d'expo au flash se fait réellement sur le sujet principal au moment du déclenchement. Les trois conditions doivent remplies simultanément. Cette information de distance n'a aucune raison d'être proche de la distance flash-sujet principal dans tous les autres cas de figure.

Nous sommes bien d'accord ?...

Par ailleurs, dans le système Canon, si l'on utilise le collimateur AF actif pour réaliser la mesure d'expo au flash en mesure évaluative : la mesure d'expo au flash se met effectivement en mesure matricielle si on déclenche aussitôt la mise au point AF effectuée ou bien si l'on déclenche en modifiant le cadrage sans faire de mémorisation d'expo au flash ; la mesure d'expo se fait en mesure spot et non pas en mesure évaluative sur l'endroit où est situé le collimateur AF central et dépend directement de la réflectance dudit endroit bien que l'on soit en mode de mesure évaluative si on décide de faire une mémorisation d'expo au flash. Qu'en est-il dans le système Nikon ?

seba

Oui ça ne vaut que si le flash est sur l'appareil.
Bon finalement j'ai fait quelques images.
Nikon D200, flash intégré, objectif renseignant la distance.
De gauche à droite : mise au point correcte, trop lointaine, trop proche.

seba

Mise au point correcte, à gauche sans diffuseur, à droite avec diffuseur.

seba

Même chose que ci-dessus mais avec objectif qui ne renseigne pas la distance.
Dans ce cas il n'y a que la cellule qui règle l'éclair.

seba

Et pour finir : à gauche objectif renseignant la distance, à droite objectif ne renseignant pas la distance.
Mise au point correcte et sans diffuseur.

jmk

Citation de: seba le Février 23, 2017, 23:06:37
Oui ça ne vaut que si le flash est sur l'appareil.
Bon finalement j'ai fait quelques images.
Nikon D200, flash intégré, objectif renseignant la distance.
De gauche à droite : mise au point correcte, trop lointaine, trop proche.

Et donc à gauche c'est correctement exposé ?!

seba

Citation de: jmk le Février 24, 2017, 07:19:34
Et donc à gauche c'est correctement exposé ?!

Selon Nikon oui.
En tout cas la distance est prise en compte (sinon c'est plus sombre).

jmk

Citation de: seba le Février 24, 2017, 09:09:40
Selon Nikon oui.
En tout cas la distance est prise en compte (sinon c'est plus sombre).

Je parle pour toi ?!

Parce que visiblement on m'a expliqué sur plusieurs page que Nikon gére bien  :D :D :D

jmd2

Citation de: Laure-Anh le Février 21, 2017, 20:08:54


Pourquoi ne pas donner en exemples des distances telles que 1m et 1,10m ? Ou bien 2m et 2,20m ?

parce que dans la réalité, on ne rencontre jamais ces valeurs, mais plutôt 1,07 m ou 2,12 m