pour les pro : équivalence iso rx10 et micro 4/3

Démarré par christopheclaude, Septembre 08, 2015, 23:21:49

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christopheclaude

Bonjour 

j'hésite bcp entre RX10 (1 ou 2) et un micro 4/3

pour cela je voudrais comparer leur situation en mode bruit

si j'ai bien compris l'iso quadruple
quand on double l'ouverture ainsi 
iso 100 à 2.8 = iso 400 à 5.6

le rxe est constant à 2.8

les micro 4/3 (avec un petit objectif) sont pour le 14 /140 à 3.5 / 5.6

sur les tests des photos de focus numériques :

http://www.focus-numerique.com/tes [...] ue-12.html

et ici 

http://www.focus-numerique.com/tes [...] ue-12.html


on peut dire qu'en bout de focale 
1°) le 100 iso est équivalent au 400 ico du G7 ?

si on observe les photos (on cliquant sur les photos) on constate
que le 100 iso du rx est meilleur
(idem entre le 1600 et 6400)

par contre si on fait le rapport en début de focale (3.5 / 2.8) au carré = 1.56 

2°) donc iso = 100 = iso 156 sur le g7 (soit 200)

en zoomant à fond sur le haut de l'étiquette de la bouteille on se rend compte que le rx donne encore de meilleures photos.

Idem entre 1600 et 3200 iso (au lieu de 2500 iso normalement)
(à 1600 et 1600 les résultats sont très proches + de détails pour le RX et + de lissage donc moins de grain pour le G7)

3°) Enfin autre interrogation, dans le protocole de test si on ouvre dans tous les cas à 5.6 (comme le laisse sous entendre le test)
Est-ce à dire que cela neutralise l'ouverture de 2.8 sur le sony ????
Ou plutot si on est à 5.6, le zoom sony reste + meilleur  car on baisse en ISO ?

4°) Idem le sony serait avantagé car on est au ¼ contre au 1/15 pour le panasonic ???
Dans ce cas les tests sont faussés ?


5°) Enfin ou retrouve t-on sur le site les numériques les conditions (vitesse, mode, iso etc)de prises de vue des différentes scènes de test 

Etes vous d'accord avec tout cela ?
(on peut ne répondre que sur les points 1 et 2 par ex)

Eric 02

Une photographie est correctement exposée lorsque la surface sensible reçoit la bonne quantité de lumière : celle qui permet d'obtenir une image qui n'est ni trop claire ni trop sombre. Pour obtenir cette exposition correcte, le photographe doit donc savoir1 quelle est cette « bonne quantité ». La sensibilité ISO est un moyen d'exprimer cette information.

Techniquement, on considère plutôt la quantité de lumière par unité de surface, qu'on appelle exposition lumineuse, ou encore lumination, et qui s'exprime en lux-seconde (symbole « lx⋅s »). Cette lumination produit un effet sur la surface sensible qui est de différente nature selon le type de cette dernière : noircissement pour un négatif, valeur numérique des pixels pour un capteur. On cherchera à savoir la lumination qui est nécessaire pour obtenir un certain niveau de cet effet, typiquement le niveau qui convient à la reproduction des demi-teintes. La sensibilité est alors définie, à une constante près, comme l'inverse de la lumination qui conduit à l'effet recherché sur l'image :

    S = \frac{H_O}{H}

où H est la lumination nécessaire pour le résultat recherché, et H0 une constante qui permet de fixer l'échelle de sensibilité.

Il faut remarquer que la sensibilité est inversement proportionnelle à la lumination nécessaire. Autrement dit, un film de 200 ISO étant deux fois plus sensible qu'un film de 100 ISO, il aura besoin de deux fois moins de lumière pour un même résultat. Cette sensibilité est parfois appelée sensibilité globale (par opposition à la sensibilité spectrale), ou encore rapidité2. Ainsi, les films de sensibilité élevée sont appelés films rapides, ceux de basse sensibilité sont des films lents3.

En pratique, la sensibilité ISO est utilisée, à l'aide d'un posemètre, pour déterminer les paramètres d'exposition pour lesquels la partie de l'image qui a été mesurée sera rendue en des tons moyens4, autrement dit ni trop clairs ni trop sombres.

Ils sont bons les mecs de Wiki, Hein ?