j'ai délaissé LR 5.7 pour DPP3, puis DPP4.

Démarré par moutphot, Février 08, 2016, 09:42:56

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moutphot

Utilisateur de LR et DPP en parallèle, Je n'aimais pas que light room gère mon catalogue d'images à sa guise, j'ai donc abandonné l'usage de LR 5.7 et étais revenu exclusivement à dpp3. Malgré le manque de progressivité des réglages et le fouillis de l'interface de dpp 3 j'arrivais quand même a effectuer mes développements. J'utilise maintenant DPP4 depuis un mois et là c'est autre chose et pour mon flux de développement d'images amateur (en RAW exclusivement), beaucoup plus efficace: Bravo et merci CANON. Je pense que LR  par sa base de données est surtout dédié aux commerçants de l'image. Qu'en pensez-vous?

benjamin

LR ne gère pas ton catalogue à sa guise. Il le fait en manque d'indications de ta part.
La gestion de la bibliothèque de LR demande un minimum d'apprentissage. Blogs, tutoriels, stages... il y en a pour tous les goûts.

Àpres, si le modeste DPP te suffit, tant mieux  ;)

Et non, LR n'est pas un outil particulièrement destiné au pro (même si depuis la version 4 Adobe est allée beaucoup à leur écoute), mais aux passionnés de l'image tout court.

Samoreen

Citation de: moutphot le Février 08, 2016, 09:42:56
Je n'aimais pas que lightroom gère mon catalogue d'images à sa guise...Je pense que LR  par sa base de données est surtout dédié aux commerçants de l'image. Qu'en pensez-vous?

Je pense que c'est une erreur d'appréciation. Lightroom n'a jamais fait autre chose que ce qu'on lui demande de faire. Si le résultat n'est pas conforme à ce que souhaite l'utilisateur, c'est qu'il y a un manque de maîtrise de l'outil (donc un manque de formation ou d'auto-formation). Un appareil photo n'est pas réglé au sortir de sa boîte de la manière qui convient à l'utilisateur. Il faut lire le manuel et décider des réglages les plus adaptés. C'est la même chose pour Lightroom.

Et non, LR n'est pas dédié aux pros. Le succès croissant des stages et ateliers Lightroom organisés dans mon club montre bien que c'est un outil qui convient parfaitement aux amateurs. Mais comme précisé plus haut, il faut prendre le temps, comme avec tout outil, d'apprendre à s'en servir.
Patrick

moutphot

#3
 ;) Oui manque de formation ou d'autoformation certainement, je reconnais.
Je ne cherche à dégouter personne de lightroom ou autres mais à informer les gens qui n'ont pas de logiciel de développement qu'ils peuvent avec DPP4 bien travailler leurs fichiers canon .cr2. Il faut donc , pour ceux là, essayer le "modeste dpp4" comme tu dis, car il est offert et maintenu à jour. Il permet de faire beaucoup de choses moyennant bien sûr une auto formation.

Samoreen

Citation de: moutphot le Février 08, 2016, 11:15:27
informer les gens qui n'ont pas de logiciel de développement qu'ils peuvent avec DPP4 bien travailler leurs fichiers canon .cr2. Il faut donc , pour ceux là, essayer le "modeste dpp4"...

C'est tout à fait vrai. D'ailleurs beaucoup de Canonistes ont commencé leur travail sur les RAW avec DPP. On peut juste reprocher à Canon de réserver les évolutions du logiciel aux possesseurs des boîtiers les plus récents. C'est mesquin. Mon 5D fonctionne toujours et dans certains cas donne de meilleurs résultats qu'un 5D MKII. Pourquoi m'interdire l'usage de DPP4 pour ce boîtier?

Sinon, il s'agissait juste de corriger l'affirmation péremptoire selon laquelle la présence d'une base de données dans LR en ferait un logiciel réservé aux professionnels. Je suis comme THG. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi les mots "catalogue" et "base de données" génèrent pour Lightroom ces réactions frileuses alors que personne ne dit rien quand il s'agit par exemple de Picasa qui se vautre sur la machine de l'utilisateur quand il crée sa propre base de données.
Patrick

jpu018

Hi folks

Peut-être que la réponse réside dans le couple DDP + ImageBrowser EX, le deuxième disposant de fonctionnalités de catalogage.

Je suis moi-même en train de découvrir ImageBrowser, et je ne connais pas du tout LightRoom, mais je suppose que les capacités du premier sont limitées par rapport à celles du second, mais elle étoffent un peu celles de DPP seul.

Je me suis aperçu par ailleurs (on en cause dans un autre fil) qu'on pouvait paramétrer le logiciel chaîné à EOS Utility, on peut donc monter facilement le workflow suivant : EU -> IB EX -> DPPx

benjamin

Modeste DPP ne veut pas dire mauvais... juste modeste par rapport aux possibilités de LR  ;)

Citation de: jpu018 le Février 08, 2016, 11:48:59
Hi folks

Peut-être que la réponse réside dans le couple DDP + ImageBrowser EX, le deuxième disposant de fonctionnalités de catalogage.

Je suis moi-même en train de découvrir ImageBrowser, et je ne connais pas du tout LightRoom, mais je suppose que les capacités du premier sont limitées par rapport à celles du second, mais elle étoffent un peu celles de DPP seul.

Je me suis aperçu par ailleurs (on en cause dans un autre fil) qu'on pouvait paramétrer le logiciel chaîné à EOS Utility, on peut donc monter facilement le workflow suivant : EU -> IB EX -> DPPx

Bah là j'ai du mal à te suivre. Si l'on part du principe que le plaisir du traitement est aussi lié à la fluidité et à la rapidité du logiciel, je ne vous pas pourquoi on devrait passer par plusieurs plateformes juste pour un manque de savoir faire dans le catalogage de LR (point de départ de ce fil).
Ce n'est que mon humble avis, mais un seul logiciel pour tout faire, ça c'est prioritaire.

baséli

Citation de: Samoreen le Février 08, 2016, 11:30:39
Je n'arrive pas à comprendre pourquoi les mots "catalogue" et "base de données" génèrent pour Lightroom ces réactions frileuses alors que personne ne dit rien quand il s'agit par exemple de Picasa qui se vautre sur la machine de l'utilisateur quand il crée sa propre base de données.

Parce que Picasa est gratuit. Du coup ceux qui s'en servent ne lui donnent aucune valeur. Comme ils ne donnent aucune valeur, il se moquent bien des détails du comment ça marche du moment que ça marche pour leur faibles besoins et sans trop se torturer le cerveau.

Ceux qui font attention à ce genre de choses et qui ont des besoins supplémentaires sont plus critiques, sans pour autant que leurs critiques soient fondées, la preuve étant dans la première phrase du premier message.

jpu018

Citation de: benjamin le Février 08, 2016, 12:41:27
Bah là j'ai du mal à te suivre. Si l'on part du principe que le plaisir du traitement est aussi lié à la fluidité et à la rapidité du logiciel, je ne vous pas pourquoi on devrait passer par plusieurs plateformes juste pour un manque de savoir faire dans le catalogage de LR (point de départ de ce fil).
Ce n'est que mon humble avis, mais un seul logiciel pour tout faire, ça c'est prioritaire.
Oui, bien sûr.

Mais ce sont les logiciels Canon gratos livrés avec les appareils, je me demande donc s'ils suffisent pour un amateur (moi ou un autre).
En outre, dans le "workflow" en question, il y a au moins une étape automatique, quand EOS Utility rend la main au suivant.
Et je crois avoir lu sur ce site que même des pros utiliseront parfois deux logiciels différents pour leur excellence, l'un dans un domaine (le catalogage), l'autre dans un autre (le post-traitement).

Mébon, pas de polémique, encore une fois je vois bien l'intérêt d'une solution logicielle intégrée.

Arnaud17

Pour ce qui est le suivi des versions et leur compatibilité entre les OS et générations de boitiers, on ne peut pas accuser LR d'être meilleur ou pire que DPP.

On peut prendre un seul fichier image sur une carte mémoire et l'ouvrir puis traiter avec DPP là ou LR veut d'abord créer un catalogue ou ajouter au catalogue avant d'accepter de faire autre chose.

Personnellement je trouve que c'est LE point négatif de LR, il semble vouloir imposer un comportement.

veni, vidi, vomi

moutphot

Moi aussi  cest le côté dirigiste de LR qui m'a déplu mais je comprend très bien les arguments pour lr ou pour un seul logiciel. J'utilise photoshop en plus.

Samoreen

Citation de: Arnaud17 le Février 08, 2016, 13:50:48
Personnellement je trouve que c'est LE point négatif de LR, il semble vouloir imposer un comportement.

Il "semble" mais c'est une impression. La seule chose que LR m'impose, c'est la façon dont il gère son interface en mode 2 écrans. Ça manque totalement de souplesse. Sinon, je ne vois pas, sinon la nécessité d'importer avant de travailler.

Je me sens beaucoup plus contraint quand j'utilise Capture One.
Patrick

Arnaud17

Citation de: Samoreen le Février 08, 2016, 16:44:38
Il "semble" mais c'est une impression. La seule chose que LR m'impose, c'est la façon dont il gère son interface en mode 2 écrans. Ça manque totalement de souplesse. Sinon, je ne vois pas, sinon la nécessité d'importer avant de travailler.

Je me sens beaucoup plus contraint quand j'utilise Capture One.
En effet, il ne semble pas que LR soit disposé à traiter un fichier qu'il n'a pas d'abord importé dans sa propre structure ( base de donnée ou catalogue, peu importe le nom qu'on donne  au machin ).

On ne parle pas non plus de Capture One mais de DPP et LR.
veni, vidi, vomi

moutphot

Comme Arnaud17 je suis gêné d'être obligé d'importer un fichier avant de pouvoir le traiter par LR.
Après avoir traité mon fichier dans LR, j'ai besoin ne serais-ce que pour consulter toutes les infos du fichier de les ouvrir par dpp3 ou dpp4.
En ne traitant que par DPP4 qui me satisfait dans sa forme pour les boitiers récents, je n'éprouve pas le besoin d'avoir LR.
Avant d'opter pour LR que j'ai pris au vu des bons retours sur ce forum, j'ai essayé C1, j'ai toujours réussi à faire aussi bien avec dpp3 sur des sujets difficiles proposés ici.
Je n'ai pas encore une connaissance suffisante de LR 5.7 ni de dpp4 pour dire que lr ne fais rien de mieux que dpp4 et vice versa.
La mensualisation des logiciels d'adobe et autres n'est pas réjouissante.
J'espère que canon nous apportera constamment des améliorations et conservera la maîtrise de dpp.
Moi aussi je déplore l'absence de suivi des fichiers issus des anciens modèles EOS.

Samoreen

Citation de: moutphot le Février 09, 2016, 12:39:19
Comme Arnaud17 je suis gêné d'être obligé d'importer un fichier avant de pouvoir le traiter par LR.

C'est la contrepartie des services rendus. On pourrait rétorquer que si on n'a pas besoin de ces services, on pourrait disposer (dans LR) d'un mode de fonctionnement équivalent à celui de DPP ou DxO Optics Pro, à savoir navigation jusqu'à un fichier cible, ouverture, traitement, production d'un fichier sidecar et export dans un TIFF ou un JPEG. Mais un LR fonctionnant dans ce mode, c'est tout simplement PS + Bridge + ACR. On a donc le choix. L'utilisation d'un catalogue peut être vécue comme un contrainte mais la non utilisation de catalogue en est une également: voir ci-dessous.

Il y a cependant une objection sérieuse à faire à propos du fonctionnement de DPP. Les corrections sont stockées non pas dans un fichier sidecar (ce qui est habituel quand on n'utilise pas un catalogue) mais dans les métadonnées du RAW. Cela peut paraître marginal mais cela impacte de manière significative la stratégie de sauvegarde, notamment si on effectue des sauvegardes incrémentales régulières (quotidiennes dans mon cas - je garde un historique de 30 jours). Le fichier RAW étant marqué comme "touché" à chaque correction enregistrée, sera donc sauvegardé à nouveau dans son intégralité alors que si on utilisait un fichier sidecar (.xmp ou .dop), on n'aurait à sauvegarder que ce dernier, pas le RAW qui resterait inchangé. Cela impacte donc la durée des sauvegardes et le volume occupé sur le disque.

De même, si on veut continuer à travailler sur une série de fichiers sur une autre machine (par exemple, travail commencé dans le labo d'un club que l'on voudrait continuer chez soi), il faut trimballer l'ensemble des fichiers au lieu de transférer uniquement les fichiers sidecar (le mécanisme des recettes n'étant pas adapté à ce type d'opération).

Je n'ai jamais compris pourquoi Canon persistait dans cette voie qui ne présente quasiment que des inconvénients.
Patrick

Arnaud17

Celui qui modifie son fichier RAW chaque fois qu'il l'ouvre est un aliéné qui mérite l'asile.

Une personne normalement constituée n'est pas constamment en train de modifier ses RAWS, éventuellement il utilisera une copie ou il ne retouche que son fichier résultat, un JPG ou TIF ou autre chose, en fonction de la destination (affichage ou impression) de l'image.

Un fichier qui a été lu (ouvert) 100 fois n'a pas été modifié et le logiciel de sauvegarde n'a aucune raison de l'inclure dans une nouvelle sauvegarde, sauf s'il est mal configuré et fait du travail inutile une priorité.
veni, vidi, vomi

xiberotar

Citation de: Samoreen le Février 09, 2016, 14:01:36
Il y a cependant une objection sérieuse à faire à propos du fonctionnement de DPP. Les corrections sont stockées non pas dans un fichier sidecar (ce qui est habituel quand on n'utilise pas un catalogue) mais dans les métadonnées du RAW. Cela peut paraître marginal mais cela impacte de manière significative la stratégie de sauvegarde, notamment si on effectue des sauvegardes incrémentales régulières (quotidiennes dans mon cas - je garde un historique de 30 jours). Le fichier RAW étant marqué comme "touché" à chaque correction enregistrée, sera donc sauvegardé à nouveau dans son intégralité alors que si on utilisait un fichier sidecar (.xmp ou .dop), on n'aurait à sauvegarder que ce dernier, pas le RAW qui resterait inchangé. Cela impacte donc la durée des sauvegardes et le volume occupé sur le disque.

De même, si on veut continuer à travailler sur une série de fichiers sur une autre machine (par exemple, travail commencé dans le labo d'un club que l'on voudrait continuer chez soi), il faut trimballer l'ensemble des fichiers au lieu de transférer uniquement les fichiers sidecar (le mécanisme des recettes n'étant pas adapté à ce type d'opération).

Je n'ai jamais compris pourquoi Canon persistait dans cette voie qui ne présente quasiment que des inconvénients.
Pourrais-tu être plus précis ou plus explicite? Qu'appelles-tu un fichier sidecar? Comme le dit Arnaud, si on traite un Raw on finalise en Jpeg ou TIFF sans enregistrer dans le Raw, sauf oubli. Je n'arrive pas à bien cerner la différence que tu veux montrer, sans doute par des points d'ignorance sur la procédure de DPP ( que j'utilise pour tous mes développements).
Cordialement.
EUSKALDUN

Samoreen

Citation de: Arnaud17 le Février 09, 2016, 16:21:44
Celui qui modifie son fichier RAW chaque fois qu'il l'ouvre est un aliéné qui mérite l'asile.

Une personne normalement constituée n'est pas constamment en train de modifier ses RAWS...

Ah bon? Voilà un constat bien brutal. Ce n'est pas l'utilisateur qui choisit de modifier les RAWs. C'est DPP qui fonctionne comme ça. En ce qui me concerne, il est rare que je finalise une photo du premier coup. Je fais quelques modifs, je laisse mûrir, j'y reviens,... ça peut durer. Avec DPP, cela suppose un enregistrement à chaque fois et donc une modification du fichier RAW. C'est inhabituel pour dématriceur.
Patrick

Samoreen

Citation de: xiberotar le Février 09, 2016, 16:43:25
Pourrais-tu être plus précis ou plus explicite? Qu'appelles-tu un fichier sidecar? Comme le dit Arnaud, si on traite un Raw on finalise en Jpeg ou TIFF sans enregistrer dans le Raw, sauf oubli. Je n'arrive pas à bien cerner la différence que tu veux montrer, sans doute par des points d'ignorance sur la procédure de DPP ( que j'utilise pour tous mes développements).

Un fichier sidecar, est un fichier qui contient les paramètres de correction. Il est enregistré à côté du RAW. C'est le cas des XMP de Lightroom, des .dop de DxO Optics Pro, etc.

Je ne finalise en TIFF ou en JPEG que lorsque j'en ai besoin. Quand je travaille une image, je ne connais pas toujours a priori sa destination (galerie en ligne, impression, envoi à un service de tirage externe, etc.). Donc je m'abstiens d'encombrer mon disque avec un fichier TIFF ou JPEG qui ne sera pas nécessairement adapté à la destination finale (destinations qui peuvent être multiples, d'ailleurs). Donc, je laisse mes corrections au niveau du dématriceur.

Dans Lightroom ou DxO, cela ne porte pas à conséquence puisque les corrections sont stockées dans le fichier sidecar (de petite taille) et/ou dans le catalogue (pour LR). Le RAW reste non modifié dans tous les cas. Avec DPP, les corrections sont stockées dans le RAW lui-même. Si on génère systématiquement un JPEG ou un TIFF après une session DPP, on n'a évidemment pas l'inconvénient du RAW modifié (donc re-sauvegardé à chaque fois comme décrit plus haut) mais on stocke 2 fichiers au lieu d'un, ce qui n'est guère mieux en termes d'espace disque occupé.

On peut effectivement générer immédiatement un JPEG ou un TIFF depuis DPP sans stocker les corrections dans le RAW mais si on doit par la suite revenir sur l'image ou envisager de créer une variante à partir du même RAW, il faudra repartir de zéro. Mais il y a sûrement des surdoués qui trouvent le réglage parfait tout de suite, qui savent tout de suite quel type de fichier TIFF ou JPEG ils doivent générer et qui n'auront jamais envie de revoir leurs réglages de base pour travailler sur une variante. Je n'en fais malheureusement pas partie. J'appartiens à la famille des laborieux qui reviennent plusieurs fois sur l'ouvrage avant de se déclarer satisfaits et qui ne savent pas toujours prévoir à l'avance de quel type de sortie ils vont avoir besoin.

Je n'ai aucun "point d'ignorance" particulier en ce qui concerne DPP que j'ai longtemps utilisé avant de passer à Lightroom. J'explique simplement que la conservation des corrections par DPP dans le RAW lui-même au lieu de les stocker dans un fichier sidecar est une pratique inhabituelle, pour ne pas dire aberrante. Je ne connais aucun autre dématriceur qui se permette de modifier le RAW original sans proposer de solution alternative.

Patrick

Arnaud17

Citation de: Samoreen le Février 09, 2016, 17:03:58
Ah bon? Voilà un constat bien brutal. Ce n'est pas l'utilisateur qui choisit de modifier les RAWs. C'est DPP qui fonctionne comme ça. En ce qui me concerne, il est rare que je finalise une photo du premier coup. Je fais quelques modifs, je laisse mûrir, j'y reviens,... ça peut durer. Avec DPP, cela suppose un enregistrement à chaque fois et donc une modification du fichier RAW. C'est inhabituel pour dématriceur.

Quand on ferme DPP, il demande très poliment s'il doit sauvegarder les CR2 qu'on a ouvert ou non et quand on dit non ces fichiers restent en l'état, sans date de modification.
veni, vidi, vomi

dann

l'équivalent des fichiers sidecar pour dpp existe bel et bien et depuis longtemps et s'appele "recette" ! (fichier d'extension .vrd dans DPP)
on peut en stocker autant qu'on veut pour un fichier raw donné sans devoir dupliquer ou sauvegarder le fichier raw à chaque fois.
Certes DPP offre la possibilité de stocker "une recette" dans le fichier raw lui-même mais on n'est pas obligé d'utiliser cette option si on préfère le système des sidecars. Après il faut juste bien s'organiser et adopter une façon de nommer ses recettes pour s'y retrouver.

Samoreen

Citation de: Arnaud17 le Février 09, 2016, 19:02:59
Quand on ferme DPP, il demande très poliment s'il doit sauvegarder les CR2 qu'on a ouvert ou non et quand on dit non ces fichiers restent en l'état, sans date de modification.

C'est exact mais ça n'est pas la réponse au problème que je pose.
Patrick

Samoreen

Citation de: dann le Février 09, 2016, 19:15:06
Après il faut juste bien s'organiser et adopter une façon de nommer ses recettes pour s'y retrouver.

Et c'est bien pour ça que ça ne peut pas être considéré comme l'équivalent des sidecars comme je l'ai précisé plus haut.
Patrick

Arnaud17

Citation de: Samoreen le Février 09, 2016, 21:00:43
C'est exact mais ça n'est pas la réponse au problème que je pose.

Si tu as un problème avec tes sauvegardes, il faut revisiter les paramètres.
veni, vidi, vomi

dann

affaire de goût après tout.
Perso, je préfère avoir les modifs dans le fichier raw lui-même.