Question très sérieuse : la taille du capteur peut-il jouer un rôle dans l'apparition de banding ou est-ce plutôt dû aux talents de l'électronicien s'il y en a moins ? Je m'explique. J'ai eu entre les mains un Leica SL un Week-end, je possède l'A7 III. Je fais régulièrement des photos de concert ou de soirées avec mes boitiers et un éclairage souvent étrange. Je constate que sur le Leica et le Sony, le banding apparaît bien plus fréquemment que sur mes Olympus. Je n'ai hélas pas pensé à conserver les exemples, mais ça m'avait frappé. Et selon ce que j'ai lu, les Canon R souffrent aussi assez rapidement de ce problème. Alors, Olympus a trouvé une meilleure parade ou sa petite taille de capteur pourrait avoir un rôle ?
(on pourrait d'ailleurs faire la même remarque avec la poussière. En 4 ans, je n'ai jamais nettoyé un capteur sur mes Olympus).
Il me semble avoir déjà lu que les gros capteurs sont plus longs à lire que les petits, on peut y trouver une logique. Mais y'a plein de facteurs qui doivent jouer.
Aujourd'hui on sait qu'on a sur le marché des capteurs dont la lecture est plus ou moins rapide, et sans considération de format forcément.
Par ex si le R semble assez lent en lecture de capteur (ou le M50 aussi), les M6II (et 90D) ont apparemment un capteur bien plus véloce. Mais je n'ai pas fait d'essais comparatifs de ce que ça a comme influence en éclairage oscillant. Par contre, ça doit bien favoriser la capture d'images "sportives" en lumière naturelle, avec moins de déformations en e-shutter.
Chez Sony il semble que le capteur du A9 soit lui aussi bien plus véloce que celui du A7R4 (dont on ne voit bizarrement plus sur le web les images déformées en e-shutter, notamment chez DPR...), bon, avec autant de pixels, c'est pas si étonnant non plus... mais ça limite l'usage dans certains cas.