Je ne suis pas un Numero

Démarré par Bernard34, Hier à 12:03:26

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Verso92

Citation de: Arlecchino le Hier à 23:14:28Faut voir le dernier épisode, comme un pied de nez, non pas aux spectateurs, mais à la société, mais la société c'est nous, le Prisonnier est une fable, une métaphore de notre société.
Le village ? Notre monde, dans les épisodes précédant, Mc Goohan à tracé ses turpitudes, "numéros six" il faut le prendre à la lettre, les individus ne sont que des numéros, aujourd'hui plus que jamais, des variables d'ajustements.
Au dernier épisode, il en tire la leçon, la société ne peut pas changer, car l'homme à en lui le gène de sa propre destruction, pour reconstruire, il faut détruire, c'est pour ça qu'a la fin le village est détruit.
Mais qui était le numéros un ? Une bête, un singe, là où tout à commencer, mais au final, le numéros un est le numéros six, il ne pouvait en être autrement...
Dans les dernières images, le numéros six est devenu un monsieur, plus de numéros, alors il prends sa voiture de sport et part vivre une autre vie, mais la moralité à la fin, c'est que ce sera qu'un éternel recommencement, le bruit d'ouverture électrique de sa porte de son appartement Londonien, ce même bruit comme au village, tout un symbole ! la bouclée est bouclée...

Oh putain... dommage qu'on ne puisse plus demander à Mc Goohan ce qu'il en pensait... peut-être demander à Peter Falk (qui en aurait certainement parlé à sa femme !) ?

;-)

Bernard34

Pour moi ça date de la fin des annees 60  je vais essayer  de retrouver cela sur le net ;)

Arlecchino



vivaldi33

Citation de: Arlecchino le Hier à 23:14:28Faut voir le dernier épisode, comme un pied de nez, non pas aux spectateurs, mais à la société, mais la société c'est nous, le Prisonnier est une fable, une métaphore de notre société.
Le village ? Notre monde, dans les épisodes précédant, Mc Goohan à tracé ses turpitudes, "numéro 6" il faut le prendre à la lettre, les individus ne sont que des numéros, aujourd'hui plus que jamais, des variables d'ajustements.
Au dernier épisode, il en tire la leçon, la société ne peut pas changer, car l'homme à en lui le gène de sa propre destruction, pour reconstruire, il faut détruire, c'est pour ça qu'a la fin le village est détruit.
Mais qui était le numéro un ? Une bête, un singe, là où tout à commencer, mais au final, le numéro 1 est le numéros 6, il ne pouvait en être autrement...
Dans les dernières images, le numéros 6 est devenu un monsieur, plus de numéro, alors il prends sa voiture de sport et part vivre une autre vie, mais la moralité à la fin, c'est que ce sera qu'un éternel recommencement, le bruit d'ouverture électrique de sa porte de son appartement Londonien, ce même bruit comme au village, tout un symbole ! la bouclée est bouclée...

Cette analyse a largement été partagée, je la trouve un peu trop "facile" et trop évidente sur certains points. Mais on ne va pas rouvrir le débat passionné qu'il y a eu à l'époque.

agl33

Citation de: Crinquet80 le Hier à 12:15:50Un clin d'œil à Patrick McGoohan ! :)

Tout à fait, bien vu.

DaveStarWalker

Pas très heureux le bout de toit.
Ca se corrige facilement  ;)
"Age quod agis..." ^_^