NYC

[LeLamaFou]

Oui, la NYC005 est plutôt très bien.

+1

[Olga]

En effet, il y a une esthétique dans la 005 qui me plait particulièrement.

[Verso92]

Merci à tous les trois pour vos retours.

+1

Il va neiger !

[egtegt²]

J'avais compris que vous aviez compris mais j'aime bien rappeler que le procès de condescendance fait dès qu'on parle d'amateurs est ridicule car trop "facile".
Comme dit plus haut il y a des amateurs talentueux et d'autres mauvais de chez mauvais.
L'aspect professionnel est par contre un juge de paix malgré tout car il est quand même compliqué d'arriver à monétiser son travail de façon pérenne si on est foncièrement mauvais.
Il n'y a pas ce couperet en restant amateur.

Pour moi les contraintes sont différentes et parfois un pro est obligé de faire moins bien qu'un amateur. Je me souvient d'un échange cordial avec une photographe pro lors d'un mariage où j'étais invité, je lui disais que j'adorais mon 35 mm f/1.4 et elle me disait qu'elle n'osait pas ouvrir autant par peur de rater la mise au point. Je lui ai dit avec le sourire que c'était l'avantage que j'avais sur elle : je pouvais faire des photos floues, d'autant plus que je savais qu'elle était là pour fournir les photos nettes au cas où

Au final j'avais grosso modo les mêmes photos qu'elle, plutôt mieux réussies pour certaines grâce à mon ouverture, mais il m'en manquait probablement quelques unes qu'on lui aurait reproché de ne pas avoir.

Et puis le terme pro ne veut pas dire grand chose, cette photographe de mariage était pro au même titre que Cartier-Bresson, Martin Parr ou Vincent Munier. Et pourtant on peine à trouver le lien entre ces photographes en dehors de considérations très générales.

[Verso92]

Pour moi les contraintes sont différentes et parfois un pro est obligé de faire moins bien qu'un amateur. Je me souvient d'un échange cordial avec une photographe pro lors d'un mariage où j'étais invité, je lui disais que j'adorais mon 35 mm f/1.4 et elle me disait qu'elle n'osait pas ouvrir autant par peur de rater la mise au point. Je lui ai dit avec le sourire que c'était l'avantage que j'avais sur elle : je pouvais faire des photos floues, d'autant plus que je savais qu'elle était là pour fournir les photos nettes au cas où

Au final j'avais grosso modo les mêmes photos qu'elle, plutôt mieux réussies pour certaines grâce à mon ouverture, mais il m'en manquait probablement quelques unes qu'on lui aurait reproché de ne pas avoir.

Et puis le terme pro ne veut pas dire grand chose, cette photographe de mariage était pro au même titre que Cartier-Bresson, Martin Parr ou Vincent Munier. Et pourtant on peine à trouver le lien entre ces photographes en dehors de considérations très générales.

Pour moi également, la grosse différence entre l'amateur (passionné) et le pro, c'est que ce dernier a obligation de résultat (avec le stress qui va avec).