Gros soucis de détails dans le développement

[Olivier-P]

en ce qui me concerne, jamais de pré-accentuation (je laisse les réglages par défaut). Accentuation de sortie uniquement

+1000.

Les algos d'accentuation des dématriceurs ne sont pas une panacée d'un part, et de l'autre revenir à une neutralité est alors impossible avec le tiff master.
OC a donc parfaitement raison.
Surtout qu'avoir des zones jamais accentuées est un plus, largement usité quand on veut préserver des arrières plans.

Ensuite chacun fait ce qu'il veut, et connait ses routines. Néanmoins une image sortie à 0 acc a plus de potentiel que tout.

Et c'est vrai aussi pour ceux qui font du jpg, par exemple avec les necessités "d'avoir du buffer" avec des 1D et autres D3. Pour exemple des instants courts de chasse animalière avec des rapaces en vol, où les 30 raw arrosés en 3s ne sont pas glorieux. Avec aucun pixel abimé et relevé de force, on peut tirer autant de définition qu'on veut, en post prod. Avec une acc prédéfinie, on est coincé sur les effets de bord de la taille native de l'image, et cet effet sera multiplié si d'aucuns recadrent et rééchantionnent, ou simplement veulent des tirages en différentes tailles. Sans acc on est libre de choisir plus tard.

-

Pour l'image, elle n'a aucun défaut (sauf le flare et ghost énorme au centre en bas).

Les (faux) effets de quadrillages ? ... sont justement cet autre défaut annoncé plus haut, des algo de netteté de vos logiciels, qui ne peuvent bien accrocher sur une image sans dynamique.

[THG]

+1000.

Les algos d'accentuation des dématriceurs ne sont pas une panacée d'un part, et de l'autre revenir à une neutralité est alors impossible avec le tiff master.
OC a donc parfaitement raison.
Surtout qu'avoir des zones jamais accentuées est un plus, largement usité quand on veut préserver des arrières plans.

Ensuite chacun fait ce qu'il veut, et connait ses routines. Néanmoins une image sortie à 0 acc a plus de potentiel que tout.

Et c'est vrai aussi pour ceux qui font du jpg, par exemple avec les necessités "d'avoir du buffer" avec des 1D et autres D3. Pour exemple des instants courts de chasse animalière avec des rapaces en vol, où les 30 raw arrosés en 3s ne sont pas glorieux. Avec aucun pixel abimé et relevé de force, on peut tirer autant de définition qu'on veut, en post prod. Avec une acc prédéfinie, on est coincé sur les effets de bord de la taille native de l'image, et cet effet sera multiplié si d'aucuns recadrent et rééchantionnent, ou simplement veulent des tirages en différentes tailles. Sans acc on est libre de choisir plus tard.

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Pour l'image, elle n'a aucun défaut (sauf le flare et ghost énorme au centre en bas).

Les (faux) effets de quadrillages ? ... sont justement cet autre défaut annoncé plus haut, des algo de netteté de vos logiciels, qui ne peuvent bien accrocher sur une image sans dynamique.

Je dois avouer que cette intervention me laisse totalement perplexe car il ne fait pas la part des choses entre deux flux de travail possibles :
- Finalisation de l'image dans le dématriceur, avec sortie d'un fichier de travail définitif.
- Développement d'un fichier Raw puis création d'un fichier bitmap (TIFF) destiné à un traitement supplémentaire dans Photoshop ou autre.

Donc, dans le premier cas, il n'y a pas à revenir à la neutralité... un fichier Raw doit être accentué en post-production, et il l'est, modérément, par les réglages par défaut de Lightroom ou ACR. Donc quoiqu'on en dise, à moins de mettre les curseurs à zéro, on applique de toute façon une accentuation de la netteté.

Deux autres choses qui me laissent perplexe :

"Les algos d'accentuation des dématriceurs ne sont pas une panacée d'un part"
Pas une panacée, et pourquoi ? C'est un jugement arbitraire et définitif, mais qui est faux. Dans le cas de Lightroom, les commandes d'accentuation permettent des réglages extrêmement précis et de qualité, accentuation qu'on pourra préparer en amont avec un bon réglage du micro-contraste local, et en cours de travail avec un travail éventuel au pinceau. Ensuite, à la fin, on exportera ou on imprimera en appliquant l'accentuation de sortie adaptive. C'est bien joli de parler d'algos approximatifs, encore faut-il connaître le mécanisme qu'il y a derrière... ce qui n'est visiblement pas le cas.

"Et c'est vrai aussi pour ceux qui font du jpg, par exemple avec les necessités "d'avoir du buffer" avec des 1D et autres D3"

Et là encore, on est hors sujet, un JPEG est un fichier traité et, en principe, terminé. Mais malgré tout, en réglant l'accentuation à zéro au niveau du boîtier, les outils de Lightroom permettent de faire un travail remarquable en post traitement.

Donc, pour conclure, monsieur Olivier-P, je conseille à aucun lecteur de cette discussion de suivre vos conseils qui sont totalement hors sujet et hors contexte. Dire que les algos d'accentuation des dématriceurs sont approximatifs poussent à me demander si vous avez déjà imprimé ou diffusé à partir de Lightroom ou même profité du remarquable système d'homogénisation du piqué de DxO...

Chacun sa spécialité, Olivier-P...

[THG]

Avec aucun pixel abimé et relevé de force, on peut tirer autant de définition qu'on veut, en post prod. Avec une acc prédéfinie, on est coincé sur les effets de bord de la taille native de l'image, et cet effet sera multiplié si d'aucuns recadrent et rééchantionnent, ou simplement veulent des tirages en différentes tailles. Sans acc on est libre de choisir plus tard.

En post-production avec un dématriceur, le travail se planifie, et la souplesse du système de collections et de copies virtuelles permet justement de faire face aux demandes de recadrage, rééchantillonnage et de redimension.

C'est un peu ça le but des logiciels de flux de travail de type non-destructif... 

[Gérard_M]

et là, ça va mieux ?

là oui! c'est vraiment horrible....

[caouito]

C'est une photo de l'impression sur toile :-)