Ouverture relative en digiscopie.

Démarré par Glouglou, Octobre 15, 2011, 09:35:05

« précédent - suivant »

Digifreak

Tu as raison, Cervus, on fait des noeuds et Glouglou nous a posé un fameux piège avec sa question...
En pratique - ce qui vaut toujours mieux que la théorie -, il faudrait aligner côte à côte un système de digiscopie et un autre de reflexoscopie sur une cible homogène, et voir avec quelles valeurs on sort d'un côté et de l'autre.
De manière générale, on conseille de ne pas utiliser les valeurs extrêmes d'ouverture. C'est dans les valeurs intermédiaires que les objectifs sont les plus performants. C'est aussi valable pour les valeurs de focale, dans le cas des zooms. Au maximum et au minimum, c'est moins bon.

Mais je crois que le problème se pose autrement : notre souci n°1 est le flou, et c'est lui que nous devons attaquer de front. Pour ça, je crois que la meilleure stratégie est "d'ouvrir au maximum",et tant pis pour le reste.
Autant être un peu en dehors de l'optimum de son objectif que d'avoir une image totalement floue.

Glouglou

Pour répondre à Cervus il n'y a pas d'IL de référence mais il existe toujours un diaphragme ou un objectif à son meilleur rendement. Sur les APN compact le diaphragme donnant la meilleure définition est généralement situé entre f4 et f5,6.

"IL" signifie indice de lumination et est la combinaison d'une ouverture et d'une vitesse. Du temps ou tout était manuel l'IL était utile car le photographe qui devait exposer à IL 14 (information que lui donnait son posemètre) regardait sa table et choisissait par exemple 1/125 à f11 ou 1/500 à f5.6, les deux combinaisons donnant la même exposition.
Bernard

Cervus

Bonsoir,

Effectivement Le flou est "l'objectif" numero 1, merci pour vos lumieres sur les IL.

Bonne soirée

Cervus