Unaussprechlichen Wellen !

Démarré par Fred_76, Décembre 11, 2018, 19:23:12

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Nikojorj

Citation de: Fred_76 le Décembre 12, 2018, 12:07:13
Le titre est un clin d'oeil à Lovecraft et ses Unaussprechlichen Kulten :

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Unaussprechlichen_Kulten
Ah, la faute devient une citation, OK! ;) ;)

PS : den au datif pluriel, Jean-Claude...  ;) ;) ;)

Citation de: Arnaud17 le Décembre 12, 2018, 13:58:30
La langue allemande permet la construction de mots et termes circonstancielles comme :
"Rindfleischetikettierungsüberwachungsaufgabenübertragungsgesetz", impensable en français.
Si on cherche, Courteline a sûrement certains de ses fonctionnaires affectés à la surveillance de l'étiquetage des hampes de boeuf... Donc de là à y appliquer un règlement, même pas peur... Mais oui, pas en un seul mot.  ;D

Maagma

Citation de: salamander le Décembre 12, 2018, 11:16:46
Je trouve le traitement outrancier des premières pas vraiment maîtrisé, du coup ça ne marche pas des masses, je préfère très nettement cette dernière en n&b.

Belle prise.

Idem

:)
Le temps qui passe en photo.

flux

Oui pour ces deux dernières ! Belle prise 8)

madko


Citation de: Jean-Claude le Décembre 12, 2018, 13:49:16
Pour avoir absolument raison avec ce "n", il suffit de dire : "Die Geschichte der unansprechlichen Wellen" (L'histoire des vagues sans nom), là on n'est plus au nominatif et il faut le "n" à l'adjectif  :D

Citation de: Nikojorj le Décembre 12, 2018, 14:16:15
PS : den au datif pluriel, Jean-Claude...  ;) ;) ;)

Français, encore un effort...

SeSy

Compo v2 avec traitement outrancier v1. On est dans l'excès, oui, mais cela me plait.
Complètement en phase avec LLF sur la diagonale.
Sur fond noir...

Fred_76

Citation de: teguph le Décembre 12, 2018, 14:15:14
Ceci m'a irrésistiblement rappelé les premiers vers de la chanson Comme à Ostende (paroles Jean-Roger Caussimon, musique Léo Ferré):
On voyait les chevaux de la mer
Qui fonçaient la tête la première
Et qui fracassaient leur crinière
Devant le casino désert


C'est tout à fait ça !

Ou encore le poème du poète fou Justin Geoffrey, afin de rester dans l'univers de Lovecraft & Co. :

Il se dit que des créatures impies des Temps Anciens
Rôdent encore dans les recoins oubliés du monde,
Et toujours, des portes s'ouvrent béantes en certaines nuits
Pour libérer des formes cloîtrées en Enfer.

Jaydee


keat T