Discrétion

[Robertaz]

Voilà une photo que j'ai d'abord tiré en carré, éliminant le personnage de droite. Puis, des années plus tard, j'ai eu un autre regard sur cet instant. Les trois passant me regardent, la femme à l'enfant ne sont plus que prétextes, le sujet c'est moi ! Qu'en pensez vous, à garder ou pas ?

[Seb Cst]

Voilà une photo que j'ai d'abord tiré en carré, éliminant le personnage de droite. Puis, des années plus tard, j'ai eu un autre regard sur cet instant. Les trois passant me regardent, la femme à l'enfant ne sont plus que prétextes, le sujet c'est moi ! Qu'en pensez vous, à garder ou pas ?

A partir du moment où le sujet c'est toi, il faut garder.
C'est une réminiscence moderne de "Las meninas".

"Bien des années plus tard, face au peloton d'exécution, le colonel Aureliano..."

[bigre]

A partir du moment où le sujet c'est toi, il faut garder.
C'est une réminiscence moderne de "Las meninas".

"Bien des années plus tard, face au peloton d'exécution, le colonel Aureliano..."

Les ménines , tu y vas un peu fort ! Certes l'utilisation de Foucault nous a bien marqués, puis celle plus terre à terre de Comar, p 114 La perspective en jeu, mais là ??

Je suis incapable de faire le rapport avec G G Marquez. Merci de m'éclairer.

[bozart]

Ah, hé bien là c'est compliqué pour te dire quoi faire ! C'est plus lié à un vécu ( discrétion ratée ) qu'à une réussite particulière en terme de photo.

[Robertaz]

Merci pour les avis.
En fait, je ne sais plus quel boîtier j'avais mais je ne me cache jamais quand je déclenche.

[Seb Cst]

Les ménines , tu y vas un peu fort ! Certes l'utilisation de Foucault nous a bien marqués, puis celle plus terre à terre de Comar, p 114 La perspective en jeu, mais là ??

Je suis incapable de faire le rapport avec G G Marquez. Merci de m'éclairer.

Ben oui faut y aller fort ! Quand l'auteur décrète que le sujet c'est lui j'y vois une mise en boîte infinie.

Quant à la citation de "Gégé" Marquez, c'est toujours en rapport avec ce que notre auteur écrit, "des années plus tard". Post #1: à relire à tête reposée.
Face au peloton d'exécution il est fort possible que l'on soit amené à voir les choses différemment.

[Robertaz]

Ben oui faut y aller fort ! Quand l'auteur décrète que le sujet c'est lui j'y vois une mise en boîte infinie.

Je pensais avoir été clair.... Mais non à priori. 3x personnages me regardent, le sujet est donc décalé par rapport à la femme à l'enfant.
Mais bon... Nous sommes sur c. I et la section critique.

[Seb Cst]

Ah c'est toi dans la poussette ?

[Robertaz]

Ah c'est toi dans la poussette ?

C'est un caddy et l'enfant le chevauche. Déjà bourré ? Bon, tu devrais allez au lit.

[Seb Cst]

Où vois tu un autre sujet sur cette photo, si ce n'est toi ?

J'ai bien lu post#1:"le sujet c'est moi !" écris-tu. Dans une réinterprétation fulgurante.
Donc si le sujet est décalé par rapport à la femme et à l'enfant, et c'est toi qui le dis, c'est que TU es décalé.
Cela n'a donc aucun sens.

Ma maman m'appelle et j'ai les yeux qui piquent, mais la tienne t'as trop laissé la bouteille de pastis quand tu étais petit.

[LeLamaFou]

Certains regards peuvent induire des lignes de composition. Pour cela, les personnages doivent avoir une forte présence. Ici tout le monde se promène tranquillement et les regard n'ont rien de remarquable et est ce qu'elles t'on vu ? Pas sûr...