Sony A7iii et street photo

[ddi]

Bonjour,


Etrange ton raisonnement !

Alors que si tu n'as pas pris la photo,il est simple de lui dire "je n'ai pas pris la photo" et de lui montrer qu'il n'y a pas cette photo sur la carte

Et pourquoi te croirais t-elle si elle a cette fameuse "connaissance technique"  ? Elle peut penser là aussi que tu as pris et effacé la photo non ?

Si la personne en face a un peu de connaissance technique, elle sait parfaitement qu'un effaçage de la photo ne suffit pas à la supprimer

[jesus]

Bonjour,


Etrange ton raisonnement !

Et pourquoi te croirais t-elle si elle a cette fameuse "connaissance technique"  ? Elle peut penser là aussi que tu as pris et effacé la photo non ?

Ou que tu as fait disparaitre la carte mémoire.

Le jour où tu te fais agresser par un abruti, tout en étant dans ton droit, tu changeras peut-être d'avis.
Comme, j'ai vécu un certain nombre de situations tendues (sans les chercher), je deviens prudent et j'en ai déduit qu'il vaut mieux faire la photo que pas, même s'il faut la supprimer après.

[ddi]

Ou que tu as fait disparaitre la carte mémoire.

Le jour où tu te fais agresser par un abruti, tout en étant dans ton droit, tu changeras peut-être d'avis.
Comme, j'ai vécu un certain nombre de situations tendues (sans les chercher), je deviens prudent et j'en ai déduit qu'il vaut mieux faire la photo que pas, même s'il faut la supprimer après.

Euh lui, pas moi 

Totalement d'accord avec toi.

[Bélisaire]

D'où l'intérêt de l'UGA : tu vises droit devant toi et tu prends la personne qui est à ton côté et qui ne se doute de rien.
Ce genre de situation m'est arrivé dans un château-musée où il était interdit de photographier les salles. J'ai demandé si je pouvais photographier les pancartes explicatives placées à l'entrée des pièces. Bien sûr. Donc objectif (14mm) dirigé vers la pancarte et collimateur sur le fond de la salle, et sous l'œil du surveillant.
Dans la rue, c'est pareil  . Sauf que tout ce qui est dans l'espace public est photographiable sans qu'on ait besoin de demander la permission à qui que ce soit. Comme on l'a déjà dit, c'est la diffusion qui posera problème.

[efmlz]

D'où l'intérêt de l'UGA : tu vises droit devant toi et tu prends la personne qui est à ton côté et qui ne se doute de rien.
Ce genre de situation m'est arrivé dans un château-musée où il était interdit de photographier les salles. J'ai demandé si je pouvais photographier les pancartes explicatives placées à l'entrée des pièces. Bien sûr. Donc objectif (14mm) dirigé vers la pancarte et collimateur sur le fond de la salle, et sous l'œil du surveillant.
Dans la rue, c'est pareil  . Sauf que tout ce qui est dans l'espace public est photographiable sans qu'on ait besoin de demander la permission à qui que ce soit. Comme on l'a déjà dit, c'est la diffusion qui posera problème.

+1
on ne peut effectivement rien faire avec les photos prises ainsi mais cela reste (pour nous) un beau souvenir

[jesus]

J'aime assez photographier les panneaux d'interdiction de photographier...

[Bélisaire]

J'aime assez photographier les panneaux d'interdiction de photographier...

Je crois que, pour beaucoup de photographes, l'envie de photographier augmente proportionnellement à l'interdiction qui a été mise.

[FredEspagne]

Je me suis régalé en RDA et en Irak (où le 250 mm/5.6 RF Rpkkor Minolta faisait des merveilles)

[JCCU]

.....

Et pourquoi te croirais t-elle si elle a cette fameuse "connaissance technique"  ? Elle peut penser là aussi que tu as pris et effacé la photo non ?

Si tu n'as pas pris la photo, aucune raison de l'avoir "braquée" (pour reprendre le terme de Jesus) et tu peux aussi avoir pris autre chose en photo et lui montrer que ce n'est pas lui que tu photographiais

[JCCU]

.....
Dans la rue, c'est pareil  . Sauf que tout ce qui est dans l'espace public est photographiable sans qu'on ait besoin de demander la permission à qui que ce soit. Comme on l'a déjà dit, c'est la diffusion qui posera problème.

Pas si vrai: je me suis fait arrêter un jour (en allant au salon de la photo) parce que j'avais photographié "en direction" de l'entrée du site Balard (pendant les travaux) C'était bien dans l'espace public mais il y avait un panneau d'interdiction de photographier .....caché par un bulldozer

[JCCU]

...... et j'en ai déduit qu'il vaut mieux faire la photo que pas, même s'il faut la supprimer après.

Tu as aussi la solution d'être avec 2 copains de 1.90m/100kg (chacun) 

[Bélisaire]

Pas si vrai: je me suis fait arrêter un jour (en allant au salon de la photo) parce que j'avais photographié "en direction" de l'entrée du site Balard (pendant les travaux) C'était bien dans l'espace public mais il y avait un panneau d'interdiction de photographier .....caché par un bulldozer

Rien de ce qui relève du militaire n'est « public ». Par exemple, il est interdit de photographier des militaires en mission (gare, aéroport, rue...). Les exceptions concernent les parades, les portes ouvertes, etc.

Une anecdote (un peu en dehors du sujet) : j'étais en Italie, dans une ville côtière, je flânais à la tombée de la nuit en remontant une rue, avec la mer à ma gauche.  À un moment donné, j'aperçois un paquebot tout illuminé dans le lointain. Je me dirige vers le bord du quai, préparant déjà mon appareil photo. Je m'arrête là où finit le quai quand j'entends une sommation dans mon dos, qui m'ordonnait de mettre les mains en l'air et de me retourner lentement : un militaire me mettait en joue, et pas avec un appareil photo, tandis qu'un deuxième homme me rappelait que je venais de pénétrer dans une zone militaire sans autorisation. Je passe sur les détails qui ont suivi. A aucun moment je n'ai imaginé que ça pouvait se terminer mal, tant ça paraissait théâtral, disproportionné. Je crois que c'est pareil en France (enfin, ça dépend évidemment de la situation). Aux Sables d'Olonne, à l'occasion d'un meeting aérien, de nombreux militaires, Famas sur la poitrine, arpentaient la rue principale en bord de plage. A tous ceux qui voulaient les prendre en photo, ils faisaient « non, non » du doigt. C'était ridicule, il y avait des milliers de gens, ils devaient bien se douter qu'ils n'échapperaient pas à la photo. Et peut-être bien que parmi les Chassimiens, certains les ont photographiés (c'était en juin 2017).