Télé à miroir avec AF

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Faut voir.
L'ouverture géométrique affichée n'est pas forcément toujours absolument exacte.
Je déterminerai ça sur un petit zoom pour voir.

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Voilà, un petit exemple.
C'est le Nikkor 35-70/3,3-4,5.
Diamètre des pupilles d'entrée : 11mm à 35mm et 14,4mm à 70mm.
Les distances focales de ce zoom (mesurées par ailleurs) vont à peu près de 36 à 68mm.
36/11=3,3 et 68/14,4=4,7.

Ce zoom est en réalité un 36-68/3,3-4,7.

On pourrait maintenant mesurer l'ouverture photométrique.
Et trouver par exemple 4,9 à 68mm.

Les pertes seraient de 8% (entre 4,9 et 4,7) et pas de 16% (si on comparait - ça n'a pas de sens - entre 4,9 et 4,5).
D'où la nécessité, avant de calculer les pertes, de connaître l'ouverture géométrique exacte, et de comparer avec l'ouverture photométrique.
Comme CI mesure l'ouverture photométrique mais ne vérifie pas l'ouverture géométrique, on ne sait pas quelles sont les pertes.

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En ce qui concerne le fonctionnement de l'AF avec le 500/8 Sony, une illustration schématique qui montre qu'un AF peut très bien être inopérant avec un réfracteur 500/8 et fonctionner normalement avec un catadioptrique 500/8.
Les pupilles du système AF sont représentées en bleu.

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C'est ce que beaucoup croient.
En principe pour le module AF, que l'objectif ouvre à 5,6 , 4 , 2,8 , 2 ou 1,4 , ça ne fait aucune différence.
Il est difficile de comparer deux objectifs différents, car la rapidité et l'efficacité de l'AF dépendent (je pense) de l'électronique de l'objectif, du moteur AF, de la démultiplication, de la précision du montage mécanique...

Mais attention, chez Canon certains boîtiers ont des modules à deux bases différentes (2,8 et 5,6 je crois), les pupilles à base 2,8 ne sont découvertes qu'avec des objectifs ouvrant au moins à 2,8.
Et là, ça change tout.