si cela se fait encore , mais s'arrêter pour dépanner un collègue motard était
une chose naturelle il y a quelque temps ; et ce , quels que soient la moto et
les circonstances .
En voiture , on klaxonne plutôt , parce que l'infortuné gêne...
Le plus difficile pour moi , l'hiver , ce n'était pas la neige (malgré
quelques glissades) , mais le froid aux mains . Après un quart d'heure de route
, il faut s'arrêter parce qu'on ne sent plus ses doigts ; le pire vient quand
les mains se réchauffent : on a l'impression que les doigts vont éclater !
Lorsque c'est passé , on reprend la route sans s'arrêter , les mains s'étant
acclimatées au froid . J'ai essayé toutes sortes de gants , avec des sous-gants
, rien n'y a fait et les moufles ne me convenaient pas ; les gants chauffants
n'existaient pas ; mais sont-ils efficaces ? .