Nature captive

[Didier37]

Merci de votre regard

[JPBPhoto]

Le vrai titre serait "Nature anéantie".

[Didier37]

Le vrai titre serait "Nature anéantie".

J'espère que vous avez tort
Merci de votre arrêt.
Didier

[Bender55]

Magnifique travail, j'aime beaucoup quand le paysage semble figé dans le temps comme ici, quel objectif utilisé?

[DOMDOM49]

oui 

[yaquinclic]

Salut Didier

oui 

Oui zaussi comme le doubleDOM, mais dans un long couloir.

A+

[Didier37]

Magnifique travail, j'aime beaucoup quand le paysage semble figé dans le temps comme ici, quel objectif utilisé?

Merci Bender55 !
L'optique est un 70/200 Sony à 70 (les exifs sont disponibles avec la photo).
Heureux que cela vous plaise Dominique et yaquinclic.
Didier

[Pichoun]

Très sympa celle ci!

[etsocal]

On à vu anéantissement de la nature plus flagrant....et puis faut bien bouffer ou pratiquer la sélection dite naturelle (donc ce doit être bio  ) à grande échelle, choix cornélien dont les citadins des grandes villes (pas bio pour deux sous!!) seront les premiers à pâtir...ce qui pourrait ressembler à un véritable holocauste alimentaire.

[Clic-Clac 51]

C'est agréable a l'œil
Perso...j'aurais bien densifié un peu le ciel
Denis

[mourad]

Une belle prise qui peut permettre un débat sur des questions essentielles.

[Didier37]

On à vu anéantissement de la nature plus flagrant....

C'est tout le paradoxe de ces champs, superbes de mon point de vue. Devant ces belles étendues, "qu'est-ce qu'on attend ?"
Didier

Perso...j'aurais bien densifié un peu le ciel
Denis

Merci Denis, je n'ai pas osé, mais la question se pose vraiment !

Une belle prise qui peut permettre un débat sur des questions essentielles.

Merci mourad

[Seb Cst]

Un peu trop petite pour permettre une bonne appréciation.

Sans son titre, je dirais que c'est une image de paysage cultivé plutôt réussie, mais sans être bouleversante. Une forte impression de déjà vu, sans valeur personnelle ajoutée.
Tu nous as habitués à des composition plus personnelles et plus fortes, mais aussi plus clivantes (Oseraies), à la lumière moins séduisante.

Avec son titre je reste un peu sur ma faim, car ce genre de motif se trouve si souvent sur le territoire européen qu'on n'y prête guère attention.
Il y a une forme de banalisation de ces contournements de bosquet par des tracteurs. A la rigueur fallait-il mettre un titre dévoilant ton intention ?
En tous cas c'est fort de poser la question du paysage cultivé (de persister), car c'est une question bien moins évidente visuellement que la rupture entre  urbanisation et nature, une question qui peut nous échapper à notre corps défendant.

Je comprends ta préoccupation car chez moi dans la Drôme, cette frontière (pour ne pas dire ce conflit) entre paysage naturel  et cultivé, façonné depuis longtemps par l'homme ou retourné récemment à coup de machine, est particulièrement prégnante, palpable, et stimulante sur plan visuel. Mais je me confronte la plupart du temps à de grandes difficultés pour traduire cette frontière en photo.
Pourtant devant chez moi déjà, c'est frappant...

[Didier37]

Merci Sébastien pour ce développement consacré à ma photo.
C'est indiscutable, elle est moins forte que d'autres que j'ai présentées. Mais si la planète est mon absolute darling c'est bien difficile de la défendre en photo quand on n'est pas reporter au quatre coins du monde à photographier les désastres spectaculaires de l'action humaine. Et d'autres le font admirablement.
Je me contente donc de montrer que j'adhère aux propos de Marie-Monique Robin qui a présenté récemment en Touraine son film « Qu'est-ce qu'on attend ? », en photographiant mon environnement.

Pour moi, l'aboutissement photographique de ce message serait la photo d'immenses champs totalement nus sous un ciel triste et maussade... Pas très enthousiasmant.

Pour cette photo j'ai cédé aux sirènes de l'esthétique pour être moins clivant. Mais la lumière était celle du soir et le cliché la retranscrit assez bien.
Merci encore de ton arrêt sur mon travail. Si le cœur t'en dis, montre nous ta Drôme, je ne manquerai pas d'apprécier ton travail.
Didier

[Seb Cst]

Merci Sébastien pour ce développement consacré à ma photo.
C'est indiscutable, elle est moins forte que d'autres que j'ai présentées. Mais si la planète est mon absolute darling c'est bien difficile de la défendre en photo quand on n'est pas reporter au quatre coins du monde à photographier les désastres spectaculaires de l'action humaine. Et d'autres le font admirablement.
Je me contente donc de montrer que j'adhère aux propos de Marie-Monique Robin qui a présenté récemment en Touraine son film « Qu'est-ce qu'on attend ? », en photographiant mon environnement.

Pour moi, l'aboutissement photographique de ce message serait la photo d'immenses champs totalement nus sous un ciel triste et maussade... Pas très enthousiasmant.

Pour cette photo j'ai cédé aux sirènes de l'esthétique pour être moins clivant. Mais la lumière était celle du soir et le cliché la retranscrit assez bien.
Merci encore de ton arrêt sur mon travail. Si le cœur t'en dis, montre nous ta Drôme, je ne manquerai pas d'apprécier ton travail.
Didier

Je m'y connais tellement peu en documentaires que je ne connais pas Marie Monique robin: en cherchant sur le net je m'aperçois que j'ai vu une petite dizaine de documentaires d'elle, sans jamais avoir prêté intérêt à l'auteur de ces travaux. Je n'ai aucune excuse. Une femme de conviction et de caractère.

Les champs dont tu parles, tristes et nus en hiver, je les connais, je suis natif d'Orléans. Cela me parle. Les mots  sont d'une grande puissance pour l'évocation de ces paysages.