Pré & Post - Promenade

[Hector06]

Ici prédomine la réitération de l'âme humaine, dans ce qu'elle peut avoir de falsifié dans le rapport au réel, comme les coquelicots, le potage qui coule dans la barbe d'un routard, ou ce vieil homme qui traverse la rue en se demandant à quelle heure il arrivera en face.
J'ai voulu signifier le role des carcans, ceux de l'absolu et ceux du lointain, que l'on oublie parfois et qui sont autant de rappels à notre état, non cubique, des tressaillements erratique du beau.











Non, en fait j'ai juste fait des portraits lors d'un  dog-siting, l'introduction c'est pour le fun.

[Bordelo64]

Je ressens ici une certaine commisération dans le regard du chien  C'est un bel animal que j'aurais cadré un poil moins serré, et peut-être pas dans ce contre-jour si violent. Ou alors sans les éléments parasites de la droite...
Bravo quoi qu'il en soit pour avoir remis des piles dans le pipotron, il y avait longtemps que je n'avais pas entendu sa musique!  
Cdlt.

[Monsieur]

Il n'y a qu'une photo. C'est le pre, ou post ?

[Hector06]

Il n'y a qu'une photo. C'est le pre, ou post ?

Ça c'était le premier jour, les premiers instants où il ne venait pas encore vers moi. Donc pré, et nous sortions ensuite le soir dans un parc tranquillement.

Voici une post, un poil foncé:

[Hector06]

Je ressens ici une certaine commisération dans le regard du chien  C'est un bel animal que j'aurais cadré un poil moins serré, et peut-être pas dans ce contre-jour si violent. Ou alors sans les éléments parasites de la droite...
Bravo quoi qu'il en soit pour avoir remis des piles dans le pipotron, il y avait longtemps que je n'avais pas entendu sa musique!  
Cdlt.

Moi qui suis compatible cadrages scalpés, je regrette quand même d'avoir coupé la patte sur la une

[agl33]

Moi qui suis compatible cadrages scalpés, je regrette quand même d'avoir coupé la patte sur la une

Sans oublier les blancs cramés.

[Hector06]

Plus que les blancs d'AR c'est le bazar derrière qui me gêne un peu

[Hector06]

Derrière ce regard de vieux briscard se cachait en fait une âme presque enfantine, vite décelée par votre serviteur.

Ses aboiements de baryton, lorsqu'une personne passe près de la maison, et qui font vibrer votre cage thoracique même à trois mètres, sont d'un contraste saisissant avec la recherche de contacts étroits qu'il exprime par ailleurs

Et donc, ce jeune homme, que l'on voit défier l'opérateur dans un « tu veux ma photo ? » de circonstances, venait souvent poser sa tête sur ma jambes lorsque je surfais sur ma tablette ou tapais des mails, et adorait jouer à la guerre avec moi, front plissé, babines retroussées et crocs bien apparents.

Dans le silence d'un salon, j'adorais donner le change, me déplacer silencieusement avec souplesse, comme si j'allais me chercher des cacahuètes, et subitement lancer un Grrrr ! Grrrr ! Qui le faisait,bondir sur ses pattes et sortir la panoplie de fauve évoquée plus haut.

S'en suivaient des séances de mordillages, mon. Ras dans sa gueule,et mes dents sur son cou, qui nous laissaient apaisés, comme satisfaits.

Tout ça pour dire que sur cette photo, on dirait vraiment pas... 

[Hector06]

« Tous mes amis, mes parents, t'ont aimé » Jean Jacques Henri Robert Debout