Comme une envie d'argentiques

Démarré par lick, Juillet 16, 2011, 15:49:30

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lick

Vous avez sûrement deviner le but de ce post...ou pas, ça tombe bien je vais en parler.

J'ai essentiellement commencé la photo avec le numérique, reflex ( canon 20d, Nikon d40, D50) et puis compact à grand capteur (Leica X1). Ce dernier m'a énormément plus, par sa qualité d'image, l'ergonomie... mais j'ai du le vendre. Je souhaite racheter un Leica, mais le modèle que j'attends ne devrait sortir que fin 2012 (compact aps-c à objo interchangeables). Du coup, il m'est venu l'idée d'essayez un argentique durant cette période d'attente. Pourquoi?

- je ne souhaite faire que du noir et blanc avec.
- je souhaite essayer la mise au point télémétrique à peu de frais (par rapport aux Leica M)
- Etant donné que ce sera pour mon plaisir personnel, je ne compte pas faire des tonnes de photos.

Le but de mon post est donc de savoir:

1/Quels appareils me conseilleriez-vous compte tenu des critères suivants?
- Une focale fixe de 50 mm ou 45 mm a ma préférence, donc pas nécessaire que l'appareil soit à objectifs interchangeables
- Une ergonomie accessible
- J'aimerais y mettre 100 eur max

2/ Quel est le moyen de développement le plus pratique? ( pas trop envie de devenir chimiste)

3/ Quel est le moyen le plus pratique pour visualiser ses photos sur écran?

JMS

Les télémétriques à objectif fixe des sixties ou début des seventies du style Canon Canonet, Minolta Hi-Matic, OLympus 35, Yashica Electro...devraient parfaitement convenir !

Tous sont présentés sur l'excellent site de Sylvain Halgand dont le lien suit...

http://www.collection-appareils.fr/carrousel/html/index.php

Pour le prix...cela dépend souvent du vendeur et de l'air du temps (c'est revenu à la mode, les miens de cette série étaient plutôt des 10 € pièce en brocante)

http://shop.ebay.fr/i.html?LH_AvailTo=71&_nkw=canonet+ql17&_arm=1&_armm=63&_dmd=1&_ruu=http%3A%2F%2Fshop.ebay.fr%2Fi.html%3F_nkw%3Dcanonet%2Bql17%26_arr%3D1%26_dmd%3D1&_rdc=1

lick

Merci JMS, je pense m'orienter vers un canonet ou un Yashica electro.

Gér@rd

Pour l'appareil effectivement un Canonet ou un Yashica fera très bien l'affaire (et c'est pas cher).

Le problème que je vois poindre, c'est après (tu dis que t'as pas envie de faire de chimie)...

Si tu veux pas t'embêter, ben donnes à tirer à un labo. Et pour mettre sr écran scanne tes tirages. Sinon faut acheter un scanner pour négatifs et c'est pas donné.

Alain-P

Pour le développement et des scans convenables et abordables il y a plusieurs labos qui font ça très bien par correspondance, j'utilise négatif + mais il doit y en avoir d'autres.....
Perpétuel insatisfait.....

lick

En effet, pas trop envie de faire du développement chimique pour l'instant. Mais qui sait...
Pour l'instant je pense sonc opter pour une numérisation des négatifs auprès d'un labo. J'ai regardé les tarifs de négatif+, 1 eur le tirage. Il y a de quoi vous incitez à déclenchez peu mais bien.

A moyen terme, j'achèterais un scanner.

Alain-P

Attention aux scanners, très décevants si on n'investis pas dans du haut de gamme et même, on peut aussi se faire plaisir avec quelques scans pro réalisés par un labo.... réussissons-nous assez de photos pour remplacer quelques très bons tirages pro par des tas de numérisations pas toujours immortelles.
Perpétuel insatisfait.....

Gér@rd


Je pense qu'avec un appareil argentique (surtout si on veut faire du N&B) le meilleur compromis reste le montage d'un petit labo perso argentique chez soi (agrandisseur, cuvettes...). C'est pas cher du tout, quand on y pense, comparé à une solution "bon scanner"/imprimante A3.

Evidemment ça dépend des goûts mais faut pas être effrayé par le mot "chimie" (c'est un bien grand mot pour désigner des produits "tout prêt"). C'est pas plus compliqué que d'utiliser de la vinaigrette toute faite et de la doser dans une salade...

Le principal problème amha n'est donc pas la chimie, c'est surtout de pouvoir disposer chez soi d'un "coin chambre noire" à demeure. Si on ne peut pas (faut la place), la solution c'est alors le scan des négatifs (on peut développer soi-même en cuve ses négatifs chez soi, ça prend pas de place et c'est pas cher et pas compliqué). Par contre, un bon scanner film (même d'occase) reste très cher (d'où la solution classique de faire faire ses scans par un bon labo).

Mais (si on peut bien sûr) le fait de maîtriser soi-même tout de bout en bout (que ce soit avec un agrandisseur ou avec un scanner à soi) procure bien plus de plaisirs que de passer par un labo aussi bon soit-il...


Alain-P

Citation de: Gér [at] rd le Juillet 17, 2011, 10:16:12
. C'est pas plus compliqué que d'utiliser de la vinaigrette toute faite et de la doser dans une salade...

Je suis choqué qu'un amateur de l'Art Photographique, remarqué jusqu'à présent par la qualité de ses interventions puisse nous avouer son expérience coupable de la vinaigrette tout faite !

L'assaisonnent d'un légume, Monsieur, se fait en accord avec ses particularisme propres, saveur douce ou poivrée, rigidité ou souplesse de sa fibre.... Les dosages d'ingrédients et leurs mélanges doivent soutenir le goût et non pas l'éblouir.

On commence par saboter sa salade et ensuite on ne fait plus la différence entre un baryté et un tirage Photomachin du minilab du coin.... ;)

Perpétuel insatisfait.....

Verso92

Citation de: Alain-P le Juillet 17, 2011, 10:35:04
Je suis choqué qu'un amateur de l'Art Photographique, remarqué jusqu'à présent par la qualité de ses interventions puisse nous avouer son expérience coupable de la vinaigrette tout faite !

Pour ma part, je ne suis pas choqué à proprement parler, mais je considère que développer une HP5 dans de l'ID11 est bien plus simple que de réussir une vinaigrette...  ;-)

Gér@rd


Citation de: Alain-P le Juillet 17, 2011, 10:35:04"On commence par saboter sa salade et ensuite on ne fait plus la différence entre un baryté et un tirage Photomachin du minilab du coin.... ;)"

J'avoue même qu'il m'arrive parfois d'utiliser l'essoreuse à salade pour essorer mes négatifs  ;D (en les laissant dans la spire, faut pas déconner...).

NB : rassures-toi Alain, j'ai le plus profond respect pour les amateurs de bonnes vinaigrettes et je donnais l'exemple de la vinaigrette toute prête pour dire que développer ses négatifs n'était pas compliqué (quoique, quand on commence à fabriquer son révélateur soi-même à partir de produits chimiques, ça peut le devenir un peu, mais on n'en a pas souvent besoin...).


lick

Hum pas compliqué le développement chez soi? faudrait que je m'y penche sérieusement. Surtout que l'image que je me fais du mec qui développe ses photos, avec celles-ci qui apparaissent progressivement sous ses yeux m'a toujours séduit. D'un autre côté, cela m'a toujours paru complexe. Entre les agrandisseurs, les révélateurs... mais quand on n'y connait rien. A ce propos quelqu'un pourrait-il m'expliquer la procédure par étapes, dès qu'on a retiré le film de l'appareil? ou me donner un lien?

Autre question: pour l'instant, je souhaite prioritairement passer de mes négatifs à mes photos sur ordinateur. Si j'ai bien compris vos interventions, dans ce cas il faut dérouler son négatif et puis le passer dans un scanner à films (dans l'idéal). C'est bien ça?

Hormis cela, je viens de faire l'acquisition d'un Yashica electro GSN pour 14 eur. Le conseil de JMS et la lecture de l'article ci-dessous m'ont convaincu: http://www.stevehuffphoto.com/2011/05/06/is-the-yashica-electro-the-best-deal-in-rangefinder-photography-by-ricky-opaterny/

Je vois déjà la tête des copains* quand je vais me trimballer un argentique pour les photos. :D
* Je suis né lors des débuts de Tonton au pouvoir.

Gér@rd


Il y a un site (et sans doute d'autres) qui explique très bien tout ça (et de façon assez détaillée) mais j'ai pas retrouvé… Sinon pour résumer dans les grandes lignes (en passant un tas de détails possibles propres à chacun, il y en a pour tous les goûts et les "tours de main" personnels sont légion) :

Etape 1, le développement de la pellicule pour arriver au négatif :

Il faut avoir une cuve et sa spire (neuf entre 20 et 40 € et beaucoup moins d'occase). Il faut préparer à part, 2 produits : révélateur et fixateur en diluant des produits concentrés dans de l'eau à 20°.(dilutions style 1+4 ou 1+10 ou autre suivant les marques). Prix de reviens (ordre de grandeur) des produits pour traiter un film entre 0,5 et 1 €. Il faut un thermomètre (précis à ½ degré, ça suffit). Et de quoi mesurer des temps de quelques minutes à 10 secondes près (un téléphone portable par ex.).

Dans l'obscurité complète, il faut ouvrir (avec un décapsuleur) la cartouche, sortir le ruban de la pellicule et la faire rentrer jusqu'au bout dans une spire. La dite spire est introduite ensuite dans la cuve dont on referme le couvercle (on peut alors rallumer la lumière). On introduit d'abord le révélateur et on laisse agir le temps nécessaire (typiquement de l'ordre de 5 à 10 minutes) en agitant la cuve une fois par minute. On vide le révélateur puis on passe au fixateur (typiquement de l'ordre de 5 minutes). On vide le fixateur (récupérable) et on passe au rinçage (eau du robinet qu'on laisse couler assez longtemps). On sort le film (qui est développé) et on le suspend pour qu'il sèche.

Etape 2, le tirage pour passer du négatif au papier :

Indispensables dès le début, il faut un agrandisseur et son objectif ainsi que trois cuves rectangulaires de la taille du format max que tu envisages (par ex.20x30 ou 30x40). Par la suite, un margeur (pour tenir le papier bien à plat ) est intéressant  (mais pour le début ça se fabrique facilement). Un compte pose simplifie la vie (mais n'est pas indispensable au début si on chronomètre).

En gros, dans le noir ou en lumière inactinique (rouge ou "jaune vert") on projette le négatif que l'on veut tirer sur le margeur posé sur le plateau de l'agrandisseur. On met l'image au point (nette) et à la taille voulue. On éteint l'agrandisseur et on met/pose une feuille de papier dans le margeur. On rallume l'agrandisseur pour exposer le papier le temps nécessaire (typiquement une dizaine de secondes). Puis on immerge délicatement le papier dans la première cuvette qui a été remplie au préalable de révélateur pour papier. Et Oh miracle, on voit en quelques secondes l'image monter et devenir de plus en plus visible. On laisse développer à fond (typiquement une à deux minutes suivant le révélateur et le type de papier), puis après avoir mis 30 secondes le papier dans la deuxième cuvette (bain d'arrêt c'est à dire un peu d'acide acétique ou même de vinaigre blanc dans de l'eau) on le fait séjourner ensuite quatre à cinq minutes dans la troisième cuvette (fixateur). La photo développée est en fin développée/tirée/fixée et va rejoindre les autres dans ta baignoire pour un lavage prolongé avant séchage.

Pour le prix, on trouve souvent des labos complets sur Ebay (tiens, j'en ai vu un pas plus tard qu'hier aux puces de Vanves). Les prix sont dérisoires (comparés à ce que ça valit neuf). Pour 100 € max tu as souvent un agrandisseur avec un bon objectif, margeur, cuvettes compte pose, éclairage, etc...


geargies

??? Houla je lis : il faut dérouler son négatif et le passer dans un scanner" et ben moi je dis " n'oublie pas le developpement" emporté par ton enthousiasme... ;-)))

et y'a des scanner fils chez epson à 100/150 € qui te feront aussi bien que le carrouf du coin ( coût= 10 films donc) vu que le principe de  l'argentique, c'est le tirage papier.. enfin pour les bonnes..  ;)

lick

Merci pour cette explication claire Gerard.

Citation de: geargies le Juillet 17, 2011, 20:24:31
??? Houla je lis : il faut dérouler son négatif et le passer dans un scanner" et ben moi je dis " n'oublie pas le developpement" emporté par ton enthousiasme... ;-)))

et y'a des scanner fils chez epson à 100/150 € qui te feront aussi bien que le carrouf du coin ( coût= 10 films donc) vu que le principe de  l'argentique, c'est le tirage papier.. enfin pour les bonnes..  ;)

Justement c'est le point que je ne saisis pas. Avant de scanner il faut développer, c'est à dire? je pensais naïvement qu'il suffisait de passer la pellicule dans le scanner.

Pour les scanners à fils, tu aurais des références? J'ai repéré celui-ci mais je n'ai pas confiance. http://tvmag.lhommemoderne.fr/scan-n%C3%83%C2%A9gatifs-diapos-p-399.html


Gér@rd


Que tu optes pour l'argentique jusqu'au bout (agrandisseur) ou le passage au numérique à mi-course (scanner de film) il faut de toute façon toujours faire jusqu'au bout la première étape décrite plus haut ("Etape 1, le développement de la pellicule pour arriver au négatif" ). Le scanner se manipule sans précautions vis à vis de l'éclairage ambiant.

Si tu sortait à l'air libre la pellicule de sa cartouche avant de l'avoir développée (d'avoir obtenu "le négatif") tu perdrais simplement toutes les photos que tu avais prises (les images ne sont que "latentes" et secraient écrasées/voilées immédiatement). Alors qu'une fois développée cette pellicule ne craint plus rien (à part les rayures...  ::)). Le négatif N&B qui sortira de ta cuve après développement/fixage/lavage (et que tu introduira dans ton scanner) est observable directement à la lumière et se présente comme ci-dessous :



Pour le scanner que tu as indiqué, tu as raison de te méfier. Déjà parce que c'est vendu à "L'homme moderne" et que c'est 50 % plus cher que le prix optimal où tu pourrais le trouver sur Internet. Et ensuite parce qu'il n'y a pas de miracles et que ce genre de scanner te permettrait d'arriver à des agrandissements 10x15cm corrects mais pas plus. Je ne  suis pas spécialiste, et d'autres te renseigneront bien mieux que moi, mais pour un scanner 24x36 permettant de faire du A4, je dirais qu'il doit bien falloir (d'occase) compter 3 à 4 fois plus cher.

Verso92

Citation de: lick le Juillet 17, 2011, 22:30:50
Justement c'est le point que je ne saisis pas. Avant de scanner il faut développer, c'est à dire? je pensais naïvement qu'il suffisait de passer la pellicule dans le scanner.

Ben vi : comme expliqué par Gérard, la pellicule ne contient avant développement qu'une image la tante. Pour quelqu'un de l'époque de Tonton, bizarre que ça t'ait échappé !

lick

Ok je comprends mieux. J'ai bien pratiqué l'argentique à l'époque, avec le canon eos de mon père. Mais déjà, je me contentais de filer ma pellicule au labo sans prise de tête.

Bref, je pense m'initier à toutes ces subtilités de la phase développement-tirage au fur et à mesure, c'est toujours bon pour l'expérience et la culture.

Merci pour vos conseils.

JMS

A propos du scandale de la vinaigrette toute faite, je suppose qu'Alain_P achète au détails tous les ingrédients qui entrent dans la composition des huit bains d'un traitement E6 Kodak Pro pour confectionner sa propre chimie.

En noir et blanc mon père faisait çà en effet en achetant les produits de base au BHV, mais déformé par le modernisme débridé des seventies j'ai craqué dès mon enfance pour les produits déjà préparés à diluer avec de l'eau ... ;D ;D ;D

mais heureusement on est parti sur un traitement noir et blanc  ;)

geargies

P#%$ de correcteur d' orth!!! Je voulais pas dire scanner "fils" mais plat genre: epson perfection; j'ai un des plus petits le 3590 avec chargeur de film et ac le soft maison il me fait des scans niveau mini Lab... Mébon, on va dire que je m'y connais un peu plus que toi! Mais persévère!! C'est bien de s'obstiner! Et il faut bien commencer par un bout !

Alain-P

Citation de: JMS le Juillet 18, 2011, 13:48:28
A propos du scandale de la vinaigrette toute faite, je suppose qu'Alain_P achète au détails tous les ingrédients qui entrent dans la composition des huit bains d'un traitement E6 Kodak Pro pour confectionner sa propre chimie.

En noir et blanc mon père faisait çà en effet en achetant les produits de base au BHV, mais déformé par le modernisme débridé des seventies j'ai craqué dès mon enfance pour les produits déjà préparés à diluer avec de l'eau ... ;D ;D ;D

mais heureusement on est parti sur un traitement noir et blanc  ;)

Hélas non JMS, je m'en remet à un labo qui jusqu'à présent m'a donné satisfaction; manque de place et de temps. mais pour avoir eu l'occasion de perfectionner mon apprentissage (avec mon père et sur des plaques 9x12) j'apprécie et je respecte le boulot que j'ai eu l'occasion de voir faire et d'apprendre dans un labo photo de l'armée ou j'avais été affecté par hasard et où opéraient des passionnés dégagés de toutes contraintes matérielles.....temps et matériel.... J'ai eu beaucoup de chance.

Et le perfectionnisme peut se retrouver dans les choses simples comme le vinaigrette, le choix de l'huile, du vinaigre, moutarde ou pas, laquelle, épices.....etc.
C'était bien entendu un raccourci sous couvert d'une plaisanterie.
Perpétuel insatisfait.....

Gér@rd


Je ne peux pas m'empêcher de penser que, pour la vinaigrette, finalement on a de la chance ! Tous les ingrédients sont finalement en vente libre. Pas de problème pour trouver huile, sel, poivre, moutarde, vinaigre et herbes diverses (sauf le hash bien sûr). Profitons en tant qu'il n'est pas encore nécessaire d'avoir une ordonnance.

Alors que s'il fallait fabriquer son révélateur actuellement (ça fait longtemps que j'ai pas essayé donc je ne sais pas) je ne suis pas sûr que certains ingrédients courants (style Genol ou Hydroquinone) soit encore en vente libre (ce sont des trucs assez toxiques et avec le principe de précaution actuel...  ???). Ou alors il faut remplacer par de la caféine et de la vitamine C (on retombe dans de la cuisine :D).

Alain-P

Citation de: Gér [at] rd le Juillet 19, 2011, 10:05:29
Ou alors il faut remplacer par de la caféine et de la vitamine C (on retombe dans de la cuisine :D).


Tout à fait exact Ger [at] rd, mais encore, quel type de caféine, Arabica, Robusta, Hauts plateaux ou forêt tropicale Amazonienne ? et la vitamine C ? naturelle, orange, kiwi, Saint Thèse (priez pour nous) ?
Mais blague dans le coin, j'aimerais savoir s'il y a un produit naturel pour remplacer le fixateur car ce genre de développement me tente....et j'aimerais le voir écolo jusqu'au bout de la chaine.

Le cafénol, avenir de l'argentique ?
Perpétuel insatisfait.....

JMS

Ecolo ou bio ne rime pas avec non toxique  ;D ;D ;D

Révélateur à la cigüe et fixateur à l'amanite phalloïde, ce serait populaire. Pour le bain d'arrêt (définitif) graines germées bio de fenugrec !

instamatic

Et le photo-club traditionnel ! ça existe toujours non ? rien de tel pour apprendre, et avoir à sa disposition tout le matériel.