Flash et mode manuel, vous faites comment?

Démarré par al646, Décembre 21, 2011, 15:38:34

« précédent - suivant »

al646

Avec un flash non TTL, je me mets en mode M sur le boitier où par ex à iso 100, je fixe l'ouverture et la vitesse, puis je règle au pif la puissance du flash, je shoote, et si surex, je baisse la puissance du flash, ou l'inverse si sous-ex, mais cela fait quand-même 1 ou 2 essais avant d'avoir la tof bien exposée et j'aimerais savoir comment vous faites pour ne pas tâtonner... l'idéal serait d'avoir le bon réglage au premier coup...
Merci pour tout conseil

jmk


Gérard JEAN

Il te faut connaitre le "Nombre Guide" de ton flash et diviser cette valeur par la distance flash / sujet pour avoir le bon diaphragme. Ensuite la vitesse doit toujours être plus lente que la vitesse limite de synchronisation. En adoptant des vitesses de plus en plus lentes tu vas éclaircir le fond éclairé par les lumières continues (autres que le flash donc).
Tout est possible

al646

C'est pas si simple... oui, je connais le nombre guide du flash pour chaque focale du zoom du flash (par ex: 58 à 105 mm), mais cela vaut pour le flash à pleine puissance et j'imagine en direct, comme je peux monter au max à 1/250, je travaille rarement à pleine puissance, de plus, j'évite le flash en direct, j'incline la tête, voir, je déporte le flash... bref, je me demande comment certains arrivent à exposer juste du 1er coup...

olivier_aubel

Pour ne pas tatonner, plusieurs solution...
Les vieux flash sont souvent muni d'une echelle d'expo au dos qui permet de déterminer la puissance en fonction du diaph et de la sensibilité. Les flash recent donne la distance en fonction des parametres (qu'il faut alors rentrer manuellement). Evidemment, ça n'est valable qu'en direct.
En indirect, à part l'experience...

Sinon, les vieux flash et même certains flash récents (Nikon, Metz,...) ont aussi un mode A (Auto) avec cellule qui fonctionne pas mal même sur un numerique. Faut quand même souvent choisir une sensibilité et un diaph si la transmission de ces infos n'est pas automatique.

jmk

Citation de: al646 le Décembre 21, 2011, 15:52:56
bref, je me demande comment certains arrivent à exposer juste du 1er coup...

Sans mesure ou flash E-TTL, j'y crois pas trop !  :)
Pour en revenir à ton flash, peux-tu me dire de quel flash il s'agit ?!

Dans certain flash, il y a une cellule intégrée qui permet de couper l'éclair en fonction d'un réglage sensibilité / diaphragme. Il ne reste plus qu'a reporter les réglages sur ton boitier, en plus de la vitesse d'exposition.

Edit : Répondu en même temps qu'Olivier qui fournit la même piste.  :)

al646

C'est un YN-560, à force de l'utiliser, j'arrive au bon réglage en 2 coups (parfois 3) mais au 1er coup, c'est quand j'ai du bol ou alors à faible puissance quand la cellule de l'appareil m'indique une sous-ex de moins de 3 IL, je sais plus facilement quelle puissance doser sur le flash...

Laure-Anh

Citation de: al646 le Décembre 21, 2011, 15:38:34
... j'aimerais savoir comment vous faites pour ne pas tâtonner... l'idéal serait d'avoir le bon réglage au premier coup...

Pour une sensibilité ISO et pour une ouverture données, une puissance de flash donnée peut être appropriée comme elle peut être trop appuyée en présence d'une lumière ambiante non nulle : tout dépend de la vitesse d'obturation utilisée, de la quantité de lumière ambiante disponible, de l'équilibre entre lumière ambiante et lumière du flash souhaité ; et bien entendu de la réflectance du sujet, de la distance sujet-flash utilisé ou non en indirect, et du modeleur éventuel dont est muni le flash.

Quand un flash est utilisé en mode M, on ne dispose que de quelques valeurs de puissance et non pas une fraction de puissance puisée sur une échelle continue de valeurs. Ce qui veut dire que la puissance sélectionnée manuellement a de grandes chances de ne pas tomber sur la fraction de puissance théoriquement appropriée : elle sera soit trop puissante soit trop faible ; cela ne peut s'apprécier qu'en faisant une image test. Il arrive par exemple souvent qu'une puissance de 1/128è s soit trop puissante quand je fais des macros en ambiance sombre, ce qui m'oblige à passer en mode e-TTL avec correction de puissance du flash allant de -1 à - 2IL.

Pour ces deux raisons, entre autres, avoir le bon réglage au niveau du flash en mode M du premier coup est pour ce qui me concerne  illusoire, sauf coup de chance extraordinaire.

jmk

Citation de: al646 le Décembre 21, 2011, 16:14:39
C'est un YN-560, à force de l'utiliser, j'arrive au bon réglage en 2 coups (parfois 3) mais au 1er coup, c'est quand j'ai du bol ou alors à faible puissance quand la cellule de l'appareil m'indique une sous-ex de moins de 3 IL, je sais plus facilement quelle puissance doser sur le flash...

Je connais, pas de cellule ... purement manuel !

Lyr

Citation de: jmk le Décembre 21, 2011, 16:00:04
Sans mesure ou flash E-TTL, j'y crois pas trop !  :)

En mono-source, quand tu connais bien ton animal, ça va.

Sur un setup assez bien connu, je finis d'installer, j'ai pas encore pris de mesure, quelqu'un vient et demande s'il peut tester, je dis ok, je demande ses ISOs et son ouverture actuelle, je tourne le réglage de puissance et paf, au premier éclair, c'était suffisamment bien exposé.
Il y avait sûrement moyen d'affiner pour bien caler à droite, mais ça demandait plus de temps ;)

al646

Illusoire? Je me demande comment les pros faisaient du temps de l'argentique... à part un peu de bracketing, il fallait bien sortir la tof ou le marié passe la bague au doigt de sa dulcinée... on pouvait pas refaire la cérémonie ;)
En studio, je commence à avoir l'habitude, et c'est pas rare que je sois pil poil au 1er coup, mais ailleurs, je perds mes repères et je tâtonne si j'ai pas la TTL

olivier_aubel

Citation de: al646 le Décembre 21, 2011, 16:32:56
Illusoire? Je me demande comment les pros faisaient du temps de l'argentique... à part un peu de bracketing, il fallait bien sortir la tof ou le marié passe la bague au doigt de sa dulcinée... on pouvait pas refaire la cérémonie ;)
En studio, je commence à avoir l'habitude, et c'est pas rare que je sois pil poil au 1er coup, mais ailleurs, je perds mes repères et je tâtonne si j'ai pas la TTL

Quand il n' y avait ni TTl, ni règle de calcul ni experience applicable, il y avait le dos polaroid (sur MF). En studio, c'etait incontournable.
Détail rigolo : au début du numerique, j'ai vu des pros utiliser un reflex num uniquement en guise de pola. La photo définitive etant faites avec un MF en argentique.

Laure-Anh

Citation de: olivier_aubel le Décembre 21, 2011, 16:48:58
Quand il n' y avait ni TTl, ni règle de calcul ni experience applicable, il y avait le dos polaroid (sur MF). En studio, c'etait incontournable.

Et avant de faire le test au polaroid, ils avaient en principe, pour le peu que je connais de la photo de studio, fait au préalable des mesures multiples au flashmètre pour la source principale, les sources accessoires, l'ensemble des sources, en tenant compte de la lumière ambiante si elle existe. On est loin du bon réglage du premier coup.

jmk

Citation de: olivier_aubel le Décembre 21, 2011, 16:48:58
Quand il n' y avait ni TTl, ni règle de calcul ni experience applicable, il y avait le dos polaroid (sur MF). En studio, c'etait incontournable.
Détail rigolo : au début du numerique, j'ai vu des pros utiliser un reflex num uniquement en guise de pola. La photo définitive etant faites avec un MF en argentique.

+1, et concernant le marié qui passe la bague au doigt, (sans E-TTL) soit le photographe avait un flash avec une cellule intégrée, soit (comme l'a expliqué Olivier) un flash avec une règle avec distance et diaph, soit vraiment rien de tout ça, ben je pense qu'il avait pas mal d'expérience de terrain avec tout de même du déchet.

Osito

Que voilà un sujet genre piqûre de rappel, pour CI ....qu'il serait bien pour les djeuns photographes  ;) ; et pour ressourcer la mémoire des vieux  :D . Pour ne pas se tromper sur l'opération à effectuer à partir du nombre guide. Ce qui est bien avec le numérique - pour ce type de prise de vue au flash - c'est que l'on voit rapidement si les images sont cramées...
Bons essais !

Hector06

Un jour  je suis allé accompagner un gentil photographe de quartier
qui tenait une modeste echope. Nous sommes sortis faire des
photos en duos chacun avec son appareil.
J'avais remarqué que les reglages diaph/isos/vitesse il les trouvait tout seul
sans cellule  et les changeait donc à chaque changement de scene ou de cadrage.
"C'est l'habitude" me lanca t il. Je trouvais ça quand meme etonnant.
Aujourdhui  c est à mon tour. Il m arrive souvent de regler à l instinct, et de tomber
pile poil sur la bonne vitesse, le bon diaph, d'apres le reglage iso.

Je dois dire une chose: à chaque fois que j'ai trop chercher à tomber pile j'ai
foiré la photo d'une ou deux valeur (isos diaph ou vitesse) et donc à chaque fois
que j'ai reglé "à l instinct" sans trop douter, je suis tombé pile poil!

Je pense donc  que ce genre de choses  s'acquierent un peu comme des autiomatismes
sans meme que l' on veuille les apprendre, un peu à la maniere des gens qui, avant
d'avoir leur permis, trouvent terrible de passer les vitesse en devant faire attention
au volant, à l'embrayage à l accelerateur et au frein, alors que plus tard  tout
ceci est parfaitement intégré dans leur esprit.

Ici donc c'est un peu pareil. Et je ne serais pas etonné que l'on puisse
presque faire de meme avec des flash cobras deportés.
J'ai d'ailleurs commencé en ce sens à + me relacher et parfois
trouver les bon reglage de puissance de mon 580 ex II selon que je balance
la lumiere  à droite à gauche ou en haut.

Je parle bien de photos où le rattrapage d'exposition est  par la suite inutile   ;)
R5 II (enfin, en rêve)

Jean-Claude

C'est rigolo d'entendre expliquer des technique par des gens qui ne les ont jamais pratiquées  :D

Les Polaroïd c'était de toute façon MF obligatoire, .es quelques essais de dos Polaroïd sur 24Xétaient anecdotiques et obligeaient à sacrifier un boitier pour celà.

les photographes équipés en dos Polaroïd ont aussi tous eu un flashemètre, le Polaroïd n'a jamais servi pour déterminer l'exposition.

Je règle toujours encore mes flashes au flashemètre quand je suis en studio, que ce soient les flashes de studio ou les cobras en manuel. Le Polaroïd servait à contrôler le rendu sur l'image des ratios de lumière choisis (lumière principale, lumière de débouchage, lumière d'effet, luisez de fonds, de voir ou sont des ombres et des reflets, de voir ou sont placès les dégradès etc...

Les 3 principes de base à retenir sont :
contrôle du flashe par l'ouverture et ou la puissance du  flash ( quand l'oiverture est donnée par la pdf)
contrôle de la lumière continue (s'il y en a ) par la vitesse d'obturation (d'ou l'intérêt des obturateurs centraux)
Si on n'arrive pas à caler vitesse et ou ouverture on joue sur la sensibilité ISO

Maintenant avec un cobra donné en indirect dans une maison aux pièces de taille habituelle au plafond blanc à 2,55m on a toujours le même couple ISO ouverture puissance manuelle

olivier_aubel

Citation de: Jean-Claude le Décembre 21, 2011, 19:27:10
C'est rigolo d'entendre expliquer des technique par des gens qui ne les ont jamais pratiquées  :D

Les Polaroïd c'était de toute façon MF obligatoire, .es quelques essais de dos Polaroïd sur 24Xétaient anecdotiques et obligeaient à sacrifier un boitier pour celà.

les photographes équipés en dos Polaroïd ont aussi tous eu un flashemètre, le Polaroïd n'a jamais servi pour déterminer l'exposition.

Je règle toujours encore mes flashes au flashemètre quand je suis en studio, que ce soient les flashes de studio ou les cobras en manuel. Le Polaroïd servait à contrôler le rendu sur l'image des ratios de lumière choisis (lumière principale, lumière de débouchage, lumière d'effet, luisez de fonds, de voir ou sont des ombres et des reflets, de voir ou sont placès les dégradès etc...

Les 3 principes de base à retenir sont :
contrôle du flashe par l'ouverture et ou la puissance du  flash ( quand l'oiverture est donnée par la pdf)
contrôle de la lumière continue (s'il y en a ) par la vitesse d'obturation (d'ou l'intérêt des obturateurs centraux)
Si on n'arrive pas à caler vitesse et ou ouverture on joue sur la sensibilité ISO

Maintenant avec un cobra donné en indirect dans une maison aux pièces de taille habituelle au plafond blanc à 2,55m on a toujours le même couple ISO ouverture puissance manuelle

Ok, j'ai pas explicité toute la procedure. Evidemment qu'on utilisait un flashmetre.
De toute façon, c'est hors sujet. On va pas acheté un flashmetre  pour utiliser un cobra...

Hector06

Citation de: Jean-Claude le Décembre 21, 2011, 19:27:10
C'est rigolo d'entendre expliquer des technique par des gens qui ne les ont jamais pratiquées  :D

Les Polaroïd c'était de toute façon MF obligatoire, .es quelques essais de dos Polaroïd sur 24Xétaient anecdotiques et obligeaient à sacrifier un boitier pour celà.

les photographes équipés en dos Polaroïd ont aussi tous eu un flashemètre, le Polaroïd n'a jamais servi pour déterminer l'exposition.

Je règle toujours encore mes flashes au flashemètre quand je suis en studio, que ce soient les flashes de studio ou les cobras en manuel. Le Polaroïd servait à contrôler le rendu sur l'image des ratios de lumière choisis (lumière principale, lumière de débouchage, lumière d'effet, luisez de fonds, de voir ou sont des ombres et des reflets, de voir ou sont placès les dégradès etc...

Les 3 principes de base à retenir sont :
contrôle du flashe par l'ouverture et ou la puissance du  flash ( quand l'oiverture est donnée par la pdf)
contrôle de la lumière continue (s'il y en a ) par la vitesse d'obturation (d'ou l'intérêt des obturateurs centraux)
Si on n'arrive pas à caler vitesse et ou ouverture on joue sur la sensibilité ISO

Maintenant avec un cobra donné en indirect dans une maison aux pièces de taille habituelle au plafond blanc à 2,55m on a toujours le même couple ISO ouverture puissance manuelle
Je ne vois pas qui a parlé de murs aux meme distances et dimensions...
R5 II (enfin, en rêve)

Michel

Les anciens qui avaient des flashs manuels se souviennent qu'il y avait une table sur les flashs avec la méthode du nombre guide. Finalement les résultats n'étaient pas si mauvais que cela avec un peu d'habitude. L'avantage du numérique est de vérifier tout de suite le résultat sur la base d'un calcul théorique préalable. Pendant longtemps j'ai continué à me servir de mon vieux SB25 sur mes Pentax en mode A c'est à dire avec le sensor du flash ce qui réduisait considérablement les calculs et les éventuels risques d'erreurs. Ce système est aussi bon que la TTL et je l'avais longtemps pratiqué avec mon FG, puis un F4S.
Mais en tout état de cause vous trouverez ici auprès des gens qui me trouvent incompétent en matière de flash les réponses à vos questions.  ;)

louparou

Citation de: al646 le Décembre 21, 2011, 15:38:34
Avec un flash non TTL, je me mets en mode M sur le boitier où par ex à iso 100, je fixe l'ouverture et la vitesse, puis je règle au pif la puissance du flash, je shoote, et si surex, je baisse la puissance du flash, ou l'inverse si sous-ex, mais cela fait quand-même 1 ou 2 essais avant d'avoir la tof bien exposée et j'aimerais savoir comment vous faites pour ne pas tâtonner... l'idéal serait d'avoir le bon réglage au premier coup...
Merci pour tout conseil
çà doit être un vieux taxi pour ne pas avoir le mode A qui est supérieur à la première TTL.
nombre guide, échelle des distances sur le flash, tout est approximatif donc faux .
seul le flashmètre pour le flash en manuel est valable pour se caler .
la photo C peindre un instant

Michel

C'est quand même une perte de temps d'utiliser un flash manuel car le résultat est incertain avec cette méthode. Il faut disposer - au moins - d'un flash avec une cellule interne et compatible en matière de tension aux bornes avec un appareil moderne.

dioptre

CitationLe Polaroïd servait à contrôler le rendu sur l'image des ratios de lumière choisis (lumière principale, lumière de débouchage, lumière d'effet, luisez de fonds, de voir ou sont des ombres et des reflets, de voir ou sont placès les dégradès etc...
Et aussi de s'apercevoir qu'il y a dans le champ, un bout du réflecteur, un fil électrique, le sac du photographe..... ;-)

Et le polaroïd c'est en 4x5 bien préférable.

Pour les flash, autrefois, il y a très longtemps, ne pas oublier non plus que nombre de photographes travaillaient en noir et blanc beaucoup plus tolérant aux expo tout manuel.
Et dès que l'utilisation de la dia c'est répandue la cellule sur les flash est devenue commune.

al646

Pour info, j'utilise aussi le mode A mais uniquement pour du fill in, en contre-jour, si on expose pour l'arrière-plan, la cellule du boitier va exposer relativement juste (il faut juste une petite correction d'expo vers le bas), excepté que le sujet sera sombre, il suffit de doser la puissance du flash pour déboucher, mais le mode A ne convient que pour cela, car la correction d'expo dans tous les autres cas est trop importante.
D'ailleurs, même avec la TTL, le mode A si je me souviens bien ne convient qu'au fill-in car il ne va jamais augmenter la vitesse que la cellule du boitier a calculé, et si l'arrière plan est sombre, cette vitesse sera basse, flou assuré!

olivier_aubel

Citation de: al646 le Décembre 22, 2011, 09:16:23
Pour info, j'utilise aussi le mode A mais uniquement pour du fill in, en contre-jour, si on expose pour l'arrière-plan, la cellule du boitier va exposer relativement juste (il faut juste une petite correction d'expo vers le bas), excepté que le sujet sera sombre, il suffit de doser la puissance du flash pour déboucher, mais le mode A ne convient que pour cela, car la correction d'expo dans tous les autres cas est trop importante.
D'ailleurs, même avec la TTL, le mode A si je me souviens bien ne convient qu'au fill-in car il ne va jamais augmenter la vitesse que la cellule du boitier a calculé, et si l'arrière plan est sombre, cette vitesse sera basse, flou assuré!
Le mode A dont on parlais, c'est celui du flash (pas le mode Av du boitier).
Malheureusement ton YN-560 n'a pas de mode A, donc il te faudra faire des essais , eventuellement en partant d'une base sous forme de petit tableau si tu utilises toujours le même diaph et iso.
C'est ni plus ni moins ce que faisait les petits tableaux au dos des vieux flash qui indiquait une distance en fonction de 2 ou 3 valeurs de diaph (4 ; 5,6 et f/8 par exemple) et de 2 sensibibilités courantes (100 et 400iso).