Le DF tire son épingle du jeu

Démarré par Nez Rouge, Mars 11, 2014, 22:24:38

« précédent - suivant »

Nez Rouge

Citation de: Sillusus le Mars 12, 2014, 20:28:53
J'aimerais bien voir ton Canon venir ''dealer'' avec les cycles de lumières de cette aréna...

P.S. Les p'tites filles lorsqu'elles sont publiées, c'est la consécration.
wow! sillusus, tu es enfin sorti de ta tannière

et tu te portes à la défense de ton vieux pote :D

es-tu toujours satisfait de ton nouveau D610?

Sillusus

#26
Venant du D300 je trouve encore et trouverai toujours que la couverture de l'autofocus est a chier!!!

C'est un retour vers le passé. Pour avoir pire, il faut que je retourne a mon F 70, mes D70 et D200 étaient plus larges.

Lorsque nous sommes allés aux courses de traineaux a chiens, je n'ai jamais été capable de cadrer comme je l'aurais voulu.

Pour la qualité d'image, la différence de génération est énorme.

caoua futé

Citation de: HPL le Mars 12, 2014, 19:54:46
Tu es probablement plus au fait que moi de ces questions, mais il me semble avoir lu que tu es libre de prendre des photos dans l'espace public mais que tu ne peux pas publier des photos permettant de reconnaitre des personnes sans leur accord.
Pour le cas de ces superbes photos de patinage:
Il s'agit d'un événement organisé, les sportifs sont les acteurs volontaires de cet événement, ils ont choisi de s'exposer, cela équivaut en quelque sorte reconnaissance implicite du droit d'être photographiés. Le photographe a l'accord des organisateurs de l'événement. Il ne s'agit pas de "photos volées" de personnes dans la rue.
Voir aussi le contexte dans lequel elles seront publiées, le texte du reportage, les légendes des photos. Le magazine où elles seront publiées. Si c'est dans "Patinage magazine" ce n'est pas la même chose que dans "Gloser" le magazine "pipole" bien connu.
Les photos mettent en valeur les personnes et ne portent pas atteinte à leur image, idem pour l'organisateur de l'événement,la fédération sportive. Tout se passe "entre pros".
Les photos sont été sélectionnées avec soin. Avant d'être publiée dans un magazine les photos traversent deux "filtres". La sélection par le photographe, la sélection par la rédaction du magazine. A titre d'exemple pour 3 ou 4 photos publiées, le photographe en aura sélectionné environ dix et pris plusieurs dizaines sur le terrain, seules les meilleures seront publiées. C'est important car la responsabilité du magazine sera la première mise en cause.
Le photographe fait son travail normal de photographe et ne cherche pas "à faire du fric" avec un "scoop", une photo "volée". A aucun moment le photographe ne traque ni ne harcèle la personne.
Pour les sportifs photographiés (ou leurs parents) c'est la reconnaissance d'un talent et un coup de pouce dans leur carrière sportive.

Dans un tel événement, le problème se pose plutôt pour les spectateurs photographiés, où il convient de respecter des règles simples:cadrage large d'une foule plutôt que cadrage serré d'une personne, ne jamais photographier une personne qui visiblement ne le souhaite pas, ne jamais surprendre la personne, ne pas hésiter à dire en souriant à la personne: vous aurez votre photo dans "Patinage magazine", tu vois vite comment elle réagit.
Le comportement sur le terrain du photographe compte beaucoup.

Nez Rouge

tout est parfaitement résumé par caoua futé

caoua futé

Citation de: Nez Rouge le Mars 13, 2014, 15:42:49
tout est parfaitement résumé par caoua futé
Merci, et félicitations pour tes photos.   ;)

HPL

Citation de: caoua futé le Mars 13, 2014, 11:58:18
Pour le cas de ces superbes photos de patinage:
Il s'agit d'un événement organisé, les sportifs sont les acteurs volontaires de cet événement, ils ont choisi de s'exposer, cela équivaut en quelque sorte reconnaissance implicite du droit d'être photographiés. Le photographe a l'accord des organisateurs de l'événement. Il ne s'agit pas de "photos volées" de personnes dans la rue.
Voir aussi le contexte dans lequel elles seront publiées, le texte du reportage, les légendes des photos. Le magazine où elles seront publiées. Si c'est dans "Patinage magazine" ce n'est pas la même chose que dans "Gloser" le magazine "pipole" bien connu.
Les photos mettent en valeur les personnes et ne portent pas atteinte à leur image, idem pour l'organisateur de l'événement,la fédération sportive. Tout se passe "entre pros".
Les photos sont été sélectionnées avec soin. Avant d'être publiée dans un magazine les photos traversent deux "filtres". La sélection par le photographe, la sélection par la rédaction du magazine. A titre d'exemple pour 3 ou 4 photos publiées, le photographe en aura sélectionné environ dix et pris plusieurs dizaines sur le terrain, seules les meilleures seront publiées. C'est important car la responsabilité du magazine sera la première mise en cause.
Le photographe fait son travail normal de photographe et ne cherche pas "à faire du fric" avec un "scoop", une photo "volée". A aucun moment le photographe ne traque ni ne harcèle la personne.
Pour les sportifs photographiés (ou leurs parents) c'est la reconnaissance d'un talent et un coup de pouce dans leur carrière sportive.

Dans un tel événement, le problème se pose plutôt pour les spectateurs photographiés, où il convient de respecter des règles simples:cadrage large d'une foule plutôt que cadrage serré d'une personne, ne jamais photographier une personne qui visiblement ne le souhaite pas, ne jamais surprendre la personne, ne pas hésiter à dire en souriant à la personne: vous aurez votre photo dans "Patinage magazine", tu vois vite comment elle réagit.
Le comportement sur le terrain du photographe compte beaucoup.


Je ne cherche pas à te contredire pour le plaisir, mais je pense que ta réponse se place plus sur le terrain du bon sens (et là je suis assez d'accord avec toi) que sur le terrain juridique (et malheureusement de nos jours on est parfois contraint de se défendre sur celui là). Il me semble que si tu publies une photo de quelqu'un dans un magasine ou sur un site sans avoir son accord formel tu prends un risque. C'est à la personne concernée de décider si tu la mets en valeur ou pas, et par ailleurs même si tu la mets en valeur son droit à l'image lui reste acquis sauf accord signé. Dans le cas du reportage de Nez Rouge le cas de la photo de la petite fille ensanglantée et en pleurs me semble particulièrement délicat, je pense que certains parents n'apprécieraient pas.

Bernard2

#31
Citation de: HPL le Mars 13, 2014, 19:21:24
Je ne cherche pas à te contredire pour le plaisir, mais je pense que ta réponse se place plus sur le terrain du bon sens (et là je suis assez d'accord avec toi) que sur le terrain juridique (et malheureusement de nos jours on est parfois contraint de se défendre sur celui là). Il me semble que si tu publies une photo de quelqu'un dans un magasine ou sur un site sans avoir son accord formel tu prends un risque. C'est à la personne concernée de décider si tu la mets en valeur ou pas, et par ailleurs même si tu la mets en valeur son droit à l'image lui reste acquis sauf accord signé. Dans le cas du reportage de Nez Rouge le cas de la photo de la petite fille ensanglantée et en pleurs me semble particulièrement délicat, je pense que certains parents n'apprécieraient pas.
Tu confonds espace public dans le sens d'une personne passant dans cet espace sans avoir l'intention de se montrer avec le cas d'une rencontre sportive, officielle qui plus est, où les participants se donnent tout à fait volontairement en spectacle par principe.
En revanche si une personne de l'assistance était prise en photo en gros plan elle pourrait alors attaquer le journal qui publie car elle est venue assister à un spectacle et non se donner en spectacle, en revanche une personne se trouvant dans une photo de foule ne pourrait aucunement attaquer le photographe. Et de même une personne qui manifesterait en brandissant un drapeau ou autre bannière aurait beaucoup plus de mal a gagner en cas de procès.
Tout est dans la volonté ou non de se donner en spectacle.

HPL

Citation de: Bernard2 le Mars 13, 2014, 20:22:02
Tu confonds espace public dans le sens d'une personne passant dans cet espace sans avoir l'intention de se montrer alors que dans le cas d'une rencontre sportive, officielle qui plus est, les participants se donnent tout à fait volontairement en spectacle par principe.
En revanche si une personne de l'assistance était prise en photo en gros plan elle pourrait alors attaquer le journal qui publie car elle est venue assister à un spectacle et non se donner en spectacle, en revanche une personne se trouvant dans une foule ne pourrait aucunement attaquer le photographe. Mais une personne qui manifesterait en brandissant un drapeau ou autre bannière aurait beaucoup plus de mal a gagner en cas de procès.
Tout est dans la volonté ou non de se donner en spectacle.

Tu connais ce domaine du droit ou c'est juste ton avis ?
Concernant la petite fille en sang, je n'ai pas l'impression qu'elle se donne en spectacle.

Bernard2

Citation de: HPL le Mars 13, 2014, 20:27:22
Tu connais ce domaine du droit ou c'est juste ton avis ?
Concernant la petite fille en sang, je n'ai pas l'impression qu'elle se donne en spectacle.

Oui je connais les règles en ce domaine. Mais là je parlais du cas général.
Dans le cas d'une personne en position délicate contre sa volonté c'est discutable bien sûr surtout ici car c'est une mineure. Mais il s'agit d'un reportage et d'un fait lié à l'activité pratiquée.  La publication ou pas est alors plus affaire de déontologie que de droit même si bien sûr c'est beaucoup plus "plaidable" par la famille.

Nez Rouge

Mon patron est assis à mes côtés pour répondre à cette épineuse question concernant la publication de la photo de la petite patineuse blessée:

c'est mon patron qui parle:

«Nous n'avons aucun empêchement de publier cette photo mais nous ne la publions pas par respect pour la famille que nous connaissons très bien...et même si nous ne connaissions pas les membres de la famille, on ne l'aurait pas fait....Au Québec, aucune loi nous interdit de publier une photo d'une personne accidentée, jeune ou moins jeune...Nous avons publié dans le passé des images beaucoup plus explicites sans aucune conséquence», explique charles warren, éditeur et directeur de L'Hebdo Charlevoisien.

oliv-B

Il ne faut pas confondre , lieu public et événement prive ouvert au public, un sportif qui s'engage sur une compétition signe un contrat avec l'organisateur , contrat qui précise que son image pourra être utilisé ,
Un photographe accrédité par l'organisateur pourra donc utilisé cette image, de plus le sportif c'est son gagne pain que son image soit utilise ...

Pour le public , c'est plus délicat parfois les organisateurs prévois une clause concernant l'utilisation et la diffusion d'éventuels images, parfois non et le bon sens doit toujours pondérer la diffusion d'une image.

HPL

Citation de: Nez Rouge le Mars 13, 2014, 20:44:38
Mon patron est assis à mes côtés pour répondre à cette épineuse question concernant la publication de la photo de la petite patineuse blessée:

c'est mon patron qui parle:

«Nous n'avons aucun empêchement de publier cette photo mais nous ne la publions pas par respect pour la famille que nous connaissons très bien...et même si nous ne connaissions pas les membres de la famille, on ne l'aurait pas fait....Au Québec, aucune loi nous interdit de publier une photo d'une personne accidentée, jeune ou moins jeune...Nous avons publié dans le passé des images beaucoup plus explicites sans aucune conséquence», explique charles warren, éditeur et directeur de L'Hebdo Charlevoisien.

Les québécois sont des gens raisonnables. On vous envie.

Al0n

Citation de: Nez Rouge le Mars 11, 2014, 22:41:01

....c'est un appareil génial qui gagne à être connu

100% d'accord avec vous.

geargies

Je suis assez surpris de cette discussion puisque, comme tout le monde sait Nez Rouge et Silusius sont des photographes professionnels qui suivent non seulement le droit mais aussi la déontologie de la profession.

Ps : at Silusius : joli tableau de collims ... tout s'explique !!!

Fred_G

Justement non: ça n'explique pas comment Nez Rouge arrive à faire des map aussi bord cadre sur des sujets mobiles avec un boitier dont les collimateurs sont centrés à ce point!

Nez Rouge, s'il te plait, tu peux nous dire comment tu procèdes?
The lunatic is on the grass.

flight33

Citation de: Fred_G le Mars 14, 2014, 09:40:59
Justement non: ça n'explique pas comment Nez Rouge arrive à faire des map aussi bord cadre sur des sujets mobiles avec un boitier dont les collimateurs sont centrés à ce point!

Nez Rouge, s'il te plait, tu peux nous dire comment tu procèdes?

Je n'étais donc pas tout seul à me poser la question...

parkmar

J'espère que les points de suture de la blessée ont été faits par un professionnel ayant déjà travaillé chirurgie esthétique parce que placé ou cela l'est, la cicatrice dans l'avenir....

oliv-B

Citation de: Fred_G le Mars 14, 2014, 09:40:59
Justement non: ça n'explique pas comment Nez Rouge arrive à faire des map aussi bord cadre sur des sujets mobiles avec un boitier dont les collimateurs sont centrés à ce point!

Nez Rouge, s'il te plait, tu peux nous dire comment tu procèdes?

Je ne vois d'image ou le sujet est bord cadre ? Ils sont plutôt tous pleine pastille, ce n'est pas une critique, juste un constat ou alors j'ai raté un épisode ?

Fred_G

#43
Citation de: oliv-B le Mars 14, 2014, 10:11:51
Je ne vois d'image ou le sujet est bord cadre ? Ils sont plutôt tous pleine pastille, ce n'est pas une critique, juste un constat ou alors j'ai raté un épisode ?
La 3, la 4, probablement la 6 mais c'est difficile d'être affirmatif dans un format aussi petit.

Ce qui m'intrigue, c'est que Nez Rouge dit:

Citation de: Nez Rouge le Mars 11, 2014, 22:51:12
je laisse les 9 capteurs au centre et je suis la patineuse, le plus possible centrée autour des capteurs...c'est presque impossible de décentrer le sujet surtout lorsqu'il est en mouvement

Or sur la 3, la map est parfaitement sur le visage qui est clairement en dehors de la zone couverte par les collimateurs.
En procédant tel que le décrit Nez rouge, la map aurait du se situer sur le bas de la tenue de la patineuse.

Je suis confronté tous les week end à des difficultés de ce genre (basket), et j'aimerais vraiment comprendre comment Nez Rouge arrive à s'en sortir sans recadrage, parce que ce qu'il n'y a pas de raisons que le D700 n'arrive pas à faire sur ce point précis aussi bien que le Df. Je dois être passé à côté de quelque chose...
The lunatic is on the grass.

caoua futé

Citation de: HPL le Mars 13, 2014, 19:21:24
Je ne cherche pas à te contredire pour le plaisir, mais je pense que ta réponse se place plus sur le terrain du bon sens (et là je suis assez d'accord avec toi) que sur le terrain juridique (et malheureusement de nos jours on est parfois contraint de se défendre sur celui là).
Il ne faut pas voir du juridique partout, l' application des règles simples déjà énoncées permet d' éviter les problèmes.
Si je regarde ce qui se passe au niveau de la presse française, les titres régulièrement condamnés en justice se comptent sur les doigts d'une main, ce sont toujours les mêmes: la presse "de caniveau", la presse à scandale. Ce ne sont pas des titres comme "Patinage magazine" qui sont les habitués des tribunaux.
Il faut aussi faire preuve de bon sens, réfléchir avant de se lancer dans le judiciaire. Si certains titres sont condamnés, des plaignants sont aussi déboutés, voire même condamnés pour procédure abusive.

Citation de: HPL le Mars 13, 2014, 19:21:24
Il me semble que si tu publies une photo de quelqu'un dans un magasine ou sur un site sans avoir son accord formel tu prends un risque. C'est à la personne concernée de décider si tu la mets en valeur ou pas, et par ailleurs même si tu la mets en valeur son droit à l'image lui reste acquis sauf accord signé.
Quand le sportif est en action, la sujet a déjà évoqué. S'il s'agit d'un portait (hors action) de la personne avec interview,tu te présentes à la personne tu lu dis que tu travailles pour tel journal, le reportage que tu fais, ce que tu attends d'elle, à ce moment celle ci est libre d'accepter ou de refuser l'interview. Idem quand tu demandes à la personne une photo "posée" pour accompagner l'interview. La photo et l'interview paraîtront dans le prochain numéro de "Patinage magazine".
Tant que ça reste dans ce cadre, les choses sont claires. Il pourrait y avoir problème si la photo était abusivement utilisée hors du cadre précédemment défini. Il y aurait certainement problème si tu exploitais commercialement la photo de cette personne sans son accord. Gare à la justice... et aussi au fisc.  ;D
Citation de: HPL le Mars 13, 2014, 19:21:24
Dans le cas du reportage de Nez Rouge le cas de la photo de la petite fille ensanglantée et en pleurs me semble particulièrement délicat, je pense que certains parents n'apprécieraient pas.
C'est un peu le même problème que celui où le patineur chute et peut se faire mal, tu te prépares à prendre la photo, tu es concentré la boum, c'est la chute, et la photo est prise. Que faire de la photo ? Pour moi c'est quasi pas publiable. Ca n' intéresse d'ailleurs pas vraiment le lecteur de "Patinage magazine", celui ci achète le mag pour voir de belles images, pas pour des chutes, il sait déjà depuis des lustres qu'on peut chuter. Et dans ce cas précis la réponse du patron du mag est calir: il choisit de ne pas publier la photo.  C'est tout à son honneur.

J'observe aussi une chose, la presse spécialisée comme "Patinage magazine" ,est beaucoup plus respectueuse des personnes et de leur droit à l'image que certaines chaines de télévision privées.

caoua futé

Citation de: geargies le Mars 14, 2014, 09:35:51
Je suis assez surpris de cette discussion puisque, comme tout le monde sait Nez Rouge et Silusius sont des photographes professionnels qui suivent non seulement le droit mais aussi la déontologie de la profession.
Certes, mais c'est instructif pour ceux qui se posent des questions sur le droit et aussi la déontologie de la profession, comment fonctionne la profession ?. Des questions sont posées et de réponses sont apportées.
Cela intéressera davantage les chassimiens que les polémiques stériles sans fin du genre: "le DF, j'en veux ,pas, le DF est moche..."   ;D

caoua futé

Citation de: HPL le Mars 14, 2014, 07:40:03
Les québécois sont des gens raisonnables. On vous envie.
Je ne pense pas qu'en France nous devions rougir de la majorité de notre presse écrite.  ;)
Il faut regarder les choses des 2 cotés; la presse et le lectorat. Si la presse "trash existe", c'est qu'il y a des lecteurs, donc une demande.C' est plus cette demande qui m'interroge. Voyeurisme par média interposé, curiosité malsaine des "histoires de fesse" des autres. Pas joli joli.  >:(
Idem pour la télé poubelle. Pire parce que des mômes peuvent regarder ça.  >:(

Un exemple simple et classique mettant en parallèle le voyeurisme d' une partie du public et la déontologie de la presse écrite.

Années 80 je vas voir la course de côte moto prés de chez moi, c'est de MC de Maville qui l'organise.  Je suis motard, passionné de compétition, il est normal que j'y sois.
Je suis dans le public, à côté de moi  des gens parlent " espérons qu'il y aura plus de chutes que l'an dernier". Mais c'est quoi ces tarés ? Je suis venu pour voir du beau pilotage et eux pour "voir du sang" ?, des gens se blesser lors de chutes  >:(
La presse locale et régionale était là, le lendemain la course était dans les pages sportives des journaux, aucune photo de chute n'a été publiée, seules les classiques photos des meilleurs pilotes en action. Aucune photo de chute, elles ont classiquement évoquées dans le texte dans le genre "quelques chutes heureusement sans gravité".
Bien qu'aucune loi n'interdise de publier une photo d'un pilote lors d'une chute, aucune photo de ce genre n'a été publiée. La déontologie a joué son rôle.

Qui convient-il de montrer du doigt ?  ;D

Nez Rouge

Citation de: Fred_G le Mars 14, 2014, 09:40:59
Justement non: ça n'explique pas comment Nez Rouge arrive à faire des map aussi bord cadre sur des sujets mobiles avec un boitier dont les collimateurs sont centrés à ce point!

Nez Rouge, s'il te plait, tu peux nous dire comment tu procèdes?
af-c et 9 capteurs au centre....

le capteur actif a été cherché le visage de la jeune patineuse qui arrive au centre (photo #6)...on en peut pas faire autrement...c'est quasi impossible de décentrer le sujet à cause de l'étroitesse des capteurs centrés du DF...je fais comme tout le monde....je shoote en plein dans la pastille

exemple de patineuses décentrées....photos tout simplement recadrées

#1


Nez Rouge


Nez Rouge

Citation de: Fred_G le Mars 14, 2014, 10:33:20
La 3, la 4, probablement la 6 mais c'est difficile d'être affirmatif dans un format aussi petit.

Ce qui m'intrigue, c'est que Nez Rouge dit:

Or sur la 3, la map est parfaitement sur le visage qui est clairement en dehors de la zone couverte par les collimateurs.
En procédant tel que le décrit Nez rouge, la map aurait du se situer sur le bas de la tenue de la patineuse.

Je suis confronté tous les week end à des difficultés de ce genre (basket), et j'aimerais vraiment comprendre comment Nez Rouge arrive à s'en sortir sans recadrage, parce que ce qu'il n'y a pas de raisons que le D700 n'arrive pas à faire sur ce point précis aussi bien que le Df. Je dois être passé à côté de quelque chose...
bonne observation, fred

c'est vrai...je m'en souviens maintenant puisque tu t'interroges sur ce point....j'ai souvent utilisé le capteur du haut du viseur parce que je voulais que le visage soit net à cause de l'ouverture F/2 qui ne pardonne pas sur le plan de la faible profondeur de champ