Pêche de nuit en baie de Douarnenez (fil fermé)

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26/68. Nouvelles prises à hisser.

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27/68. Bolinche pleine.

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28/68. Feu de bras de bolinche.

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29/68. Salabarde à vider.

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30/68. Bras d'aide pour hisser le fond du filet.

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31/68. Vidage salabarde sur viviers.

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32/68. Feu de bras.
Les cales et viviers sont pleins à 23h et une bolinche immergée presque pleine est arrimée à la coque.
Le patron lance alors un appel à ses collègues naviguant dans la baie pour savoir si l'un d'entre eux a eu moins de chance et veut bénéficier de la prise en attente sur le flanc de la coque.
Un bolincheur, le « Face à la mer » accepte ; il faudra cependant attendre une petite heure car il doit traverser une bonne partie de la baie.
Dans l'attente de son arrivée, le War Roag III se met à la cape, tous feux éteints sauf ceux de sécurité et attend l'arrivée de son confrère.

Il est à noter que ce genre de manœuvre a été possible en raison d'une météo particulièrement sereine et une mer complétement calme et sans vent.
De simples vagues auraient interdit l'amarrage en couple des bateaux.

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33/68. Feux de sécurité.

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34/68. Feux de sécurité.

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35/68. Face à la mer en vue.

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36/68. Approche du face à la mer.

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37/68. Passerelle du face à la mer.

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38/68. Amarrage en couple.

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39/68. Pécheurs du face à la mer

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40/68. Les deux équipages à la tâche.

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41/68.Pêcheur du face à la mer en action.

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42/68. Transbordement de la prise.

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43/68. Le patron du face à la mer participe.

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44/68. L'équipage charge ses cales.

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45/68. Patron du face à la mer en action.

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46/68. Aide au transbordement.

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47/68. Entraide.

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48/68. Toujours le patron au transfert.

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49/68. Attention aux coques.

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50/68. Transfert par salabarde.