Le Nikon D5300 est donc le premier reflex de la marque doté du Wi-Fi et du GPS intégrés. Il est aussi le premier à recevoir le nouveau processeur Expeed 4 qui lui offre un gain de puissance en matière de traitement interne et de vidéo (1080p, 60p). Selon Nikon, le nouveau venu doit s’intercaler dans la gamme des reflex APS-C entre le D7100 et le D5200 sans remplacer ce dernier. Force est pourtant de constater que le D5300 reprend l’architecture globale et les caractéristiques générales du D5200, à quelques améliorations près.
Ainsi, tout comme son aîné, le D5300 embarque un capteur APS-C de 24 Mpix. Ce dernier est désormais dépourvu de filtre passe-bas afin d’améliorer la restitution des plus fins détails du sujet (tout en augmentant théoriquement le risque de moiré sur l’image, bien que cette probabilité soit d’autant plus faible que la définition du capteur est élevée). Il reçoit également un grand écran ACL orientable mais non tactile de 8,2 cm (1.037.000 points). On retrouve sur le D5300 le module autofocus à 39 points déjà présent sur le D5200.
Le D5300 bénéficie d’un viseur optique par pentamiroir qui affiche un grossissement de x 0,82 (avec un 50 mm f/1,4 réglé sur l’infini), légèrement supérieur donc à celui du D5200 (x 0,78). Outre de nouveaux filtres numériques, le D5300 propose les modes HDR, HDR Painting (qui pousse les curseurs "à fond") et D-Lighting Portrait (qui permet théoriquement de déboucher les visages sans affecter le reste de l’image).
Le D5300 est disponible en noir mat ou en gris brillant (une robe qui lui confère un côté "Transformer") au prix de 899 € (en kit avec 18-55 mm).
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