NEX 7: A quand un nouveau firmware?

Démarré par Glouglou, Octobre 15, 2012, 18:30:06

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Odi

Citation de: Benaparis le Octobre 22, 2012, 15:56:08
Si je puis me permettre, il existe un autre appareil numérique dit hybride et dont un module a été developpé pour la monture M : Ricoh GXR.
La monture du module n'ayant pas de système permettant de lire le codage et d'appliquer un correctif, l'utilisateur peut toutefois caractériser lui même l'objectif (dérive et distorsion) via le menu du boitier, sauvegarder son correctif et décider de l'appliquer. Si l'on travail en raw, en l'occurence dng ce correctif est appliqué dès lors que l'on ouvre le raw dans n'importe quel logiciel acceptant les dng de Ricoh que le logiciel bénéficie ou non d'une fonctionnalité de correction de défaut optique.
Autrement dit, a priori et sauf erreur de ma part, le correctif semble appliqué au raw et non par le dématriceur car Ricoh ne dispose pas de logiciel propriétaire et donc il faut que le correctif soit appliqué par n'importe quel logiciel plus ou moins sophistiqué (avec ou sans module de correction optique) acceptant de lire le raw du boitier. En tout cas une chose est certaine ce que ce type de correctif ne ralenti pas le système, en tout cas avec ce boitier.
ah oui, Ben, j'avais oublié cet exemple du GXR !

Mistral75

Le fichier RAW est un conteneur. Il contient le fichier "brut de capteur" plus des instructions pour le développement (balance des blancs, corrections de distorsion, de vignetage, etc.) que les logiciels de développement utilisent... ou pas : certains substituent leur propre profil de corrections à celui embarqué dans le RAW.

Odi

Citation de: Mistral75 le Octobre 22, 2012, 20:52:48
Le fichier RAW est un conteneur. Il contient le fichier "brut de capteur" plus des instructions pour le développement (balance des blancs, corrections de distorsion, de vignetage, etc.) que les logiciels de développement utilisent... ou pas : certains substituent leur propre profil de corrections à celui embarqué dans le RAW.

ouep, c'est bien ce que je dis depuis le début...

Le pb c'est que gerarto parle d'un raw théorique inaccessible au grand public qui se contente d'ouvrir au dématriçeur le "conteneur" qu'on appelle communément raw


livre

#78
A la demande des intervenants sur le site du NEX 7 le 23/03/2012 j'avais fait une lettre à Sony France avec AR le 20/03/2012
je vous mets ci-dessous les 14 améliorations demandés et seulement 3 améliorations sont prises en compte (fait en rouge) pour le pancake il faut attendre le test. Souligné de vert la possibilité pour les optiques tierces possédant une bague d'adaptation avec contact de profiter des corrections.
Pour le retardateur c'est fait.

efmlz

merci de ce rappel
une question: le 2 est-il possible techniquement sans risque si on nettoie avec un liquide? oui je sais je n'y connais pas grand chose en technique de fabrication de capteurs  ;D
i am a simple man (g. nash)

jamix2

Citation de: Benaparis le Octobre 22, 2012, 15:56:08
Si je puis me permettre, il existe un autre appareil numérique dit hybride et dont un module a été developpé pour la monture M : Ricoh GXR.
La monture du module n'ayant pas de système permettant de lire le codage et d'appliquer un correctif, l'utilisateur peut toutefois caractériser lui même l'objectif (dérive et distorsion) via le menu du boitier, sauvegarder son correctif et décider de l'appliquer. Si l'on travail en raw, en l'occurence dng ce correctif est appliqué dès lors que l'on ouvre le raw dans n'importe quel logiciel acceptant les dng de Ricoh que le logiciel bénéficie ou non d'une fonctionnalité de correction de défaut optique.
...
Il faut préciser que avec cet appareil(Ricoh GXR + module M) les objectifs qui produisent des dérives magenta avec le NEX7 (GA zeiss ou voigt en monture M) n'en produisent pas même avec les corrections à zéro.

livre

Citation de: efmlz le Octobre 23, 2012, 07:59:49
merci de ce rappel
une question: le 2 est-il possible techniquement sans risque si on nettoie avec un liquide? oui je sais je n'y connais pas grand chose en technique de fabrication de capteurs  ;D

1/ Après une batterie chargée à bloc.

2/ Avec la loupe visibledust 10 fois avec éclairage je localise les pétouilles sur le capteur.

3/ Avec un aspirateur de table à puissance réglable se mettre au mini, j'ai rajouté un tuyau transparent longueur 30 cm pour éviter que le moteur perturbe le logiciel de l'appareil photo tuyau mou ø 10 que l'on trouve chez les marchands d'aquarium et je passe l'aspirateur sans toucher le capteur, après un coup de loupe pour  vérification.

4/ Si il y a des poussières j'utilise un pinceau arctic butterfly 724 chargée en électricité statique, un coup de loupe pour vérification

5/ Si il y a des taches j'utilise des pinceaux sensor swab avec liquide éclipse 1 goutte suffit il ne faut pas inonder le capteur Attention : quand vous passez le

pinceau une passe suffit sinon on remet de la poussière, séchage avec un pinceau sec avec une passe dans le même sens et vérif avec loupe.

6/ Maintenant une vérification plus poussée sur écran ordinateur tout blanc prendre une photo à f11.

Maintenant à la place de l'aspirateur tu peux donner un coup de poire en tenant l'appareil baïonnette vers le bas pour faire tomber les poussières.

gerarto

Citation de: Odi le Octobre 22, 2012, 22:01:12
ouep, c'est bien ce que je dis depuis le début...

Le pb c'est que gerarto parle d'un raw théorique inaccessible au grand public qui se contente d'ouvrir au dématriçeur le "conteneur" qu'on appelle communément raw

Oula... j'ai dit ça, moi ?  :o

j'avoue ne pas trop comprendre ce que tu veux me faire dire...
C'est quoi, un raw "théorique" ?

Bon, je reprends en commençant par la citation de Mistral75 qui résume parfaitement de quoi est fait un fichier dit "raw" (par exemple .arw pour les Sony) :

Citation de: Mistral75 le Octobre 22, 2012, 20:52:48
Le fichier RAW est un conteneur. Il contient le fichier "brut de capteur" plus des instructions pour le développement (balance des blancs, corrections de distorsion, de vignetage, etc.) que les logiciels de développement utilisent... ou pas : certains substituent leur propre profil de corrections à celui embarqué dans le RAW.

Comme c'est parti un peu dans tous les sens, je voudrais quand même rappeler qu'à l'origine il était question du nex et de la dérive magenta liée à l'utilisation conjointe d'un capteur précis et d'objectifs particuliers...

Le problème c'est que le terme raw signifie à la fois les données brutes du capteur (c'est normalement le sens premier) et, par extension, le fichier qui contient ces données plus un certain nombre d'informations : exif, métadonnées, plus tout ce qu'on peut vouloir y rajouter comme par exemple le style d'image utilisé à la prise de vue qui permettra au logiciel du constructeur et à lui seul de restituer ce style au "développement".

J'aurais peut-être dû au début être plus explicite : lorsque je parle du raw et de son dématriçage, c'est forcément la partie utile du fichier raw : les données brutes du capteur. Evidemment on ne dématrice pas les données exif par exemple...

Et ce raw là, il ne peut subir que très peu de manipulations : je les ai indiquées, je ne vais pas revenir dessus. 

Concernant les dérives magenta , à l'origine c'était une réponse à ce post :

Citation de: JR94320 le Octobre 18, 2012, 14:15:09
Alors ..... la dérive colorimétrique étant toujours la même et toujours au même endroit il ne paraissait pas si impossible de détecter son existence et de la corriger sans lien avec l'objo.
...

Corriger le raw sans lien avec l'objectif... c'est non. Corriger le fichier RVB une fois dématricé c'est possible avec les algorithmes qui vont bien (mais qui ne sont pas simples pour autant).

Ensuite, on peut envisager deux possibilités de correction si l'objectif est connu + focale si zoom + ouverture (ce qui n'est pas gagné d'avance avec les objectifs tiers ! ) :

- A la conversion A/N en lecture de capteur. Je l'ai déjà dit : je ne crois pas que ce soit possible, en tout cas pas comme certains ici le supposent.
Et ce que je vois ici : http://forums.dpreview.com/forums/post/50104239 me semble le prouver.
Je pense plutôt que la solution recherchée est de "booster" à la conversion A/N la sensibilité aux longueurs d'ondes les plus critiques pour les photosites en fonction de leur position sur le capteur. En gros : éviter l'apparition de la résultante magenta plutôt que de la traiter. Certes ce n'est qu'une hypothèse, mais elle me semble assez probable.
Dites vous bien que si on savait traiter les dominantes magenta à la "construction" du raw, on saurait aussi traiter (probablement plus facilement) le vignetage, et il est évident qu'il n'est pas corrigé sur le raw !

- Après dématriçage, le raw étant transformé en fichier RVB. A ce stade, ça ne présente plus de difficultés particulières, il suffit que les éléments pour le faire soient joints au fichier, que soit sous la forme d'une loi de correction à appliquer au développement incorporée au fichier conteneur raw, ou bien par application d'une caractérisation externe (type DxO) sur la seule lecture des infos de l'objectif utilisé.

Odi

Citation de: gerarto le Octobre 23, 2012, 18:18:35
Oula... j'ai dit ça, moi ?  :o

j'avoue ne pas trop comprendre ce que tu veux me faire dire...
C'est quoi, un raw "théorique" ?

Bon, je reprends en commençant par la citation de Mistral75 qui résume parfaitement de quoi est fait un fichier dit "raw" (par exemple .arw pour les Sony) :

Comme c'est parti un peu dans tous les sens, je voudrais quand même rappeler qu'à l'origine il était question du nex et de la dérive magenta liée à l'utilisation conjointe d'un capteur précis et d'objectifs particuliers...

Le problème c'est que le terme raw signifie à la fois les données brutes du capteur (c'est normalement le sens premier) et, par extension, le fichier qui contient ces données plus un certain nombre d'informations : exif, métadonnées, plus tout ce qu'on peut vouloir y rajouter comme par exemple le style d'image utilisé à la prise de vue qui permettra au logiciel du constructeur et à lui seul de restituer ce style au "développement".

J'aurais peut-être dû au début être plus explicite : lorsque je parle du raw et de son dématriçage, c'est forcément la partie utile du fichier raw : les données brutes du capteur. Evidemment on ne dématrice pas les données exif par exemple...

Et ce raw là, il ne peut subir que très peu de manipulations : je les ai indiquées, je ne vais pas revenir dessus. 

Concernant les dérives magenta , à l'origine c'était une réponse à ce post :

Corriger le raw sans lien avec l'objectif... c'est non. Corriger le fichier RVB une fois dématricé c'est possible avec les algorithmes qui vont bien (mais qui ne sont pas simples pour autant).

Ensuite, on peut envisager deux possibilités de correction si l'objectif est connu + focale si zoom + ouverture (ce qui n'est pas gagné d'avance avec les objectifs tiers ! ) :

- A la conversion A/N en lecture de capteur. Je l'ai déjà dit : je ne crois pas que ce soit possible, en tout cas pas comme certains ici le supposent.
Et ce que je vois ici : http://forums.dpreview.com/forums/post/50104239 me semble le prouver.
Je pense plutôt que la solution recherchée est de "booster" à la conversion A/N la sensibilité aux longueurs d'ondes les plus critiques pour les photosites en fonction de leur position sur le capteur. En gros : éviter l'apparition de la résultante magenta plutôt que de la traiter. Certes ce n'est qu'une hypothèse, mais elle me semble assez probable.
Dites vous bien que si on savait traiter les dominantes magenta à la "construction" du raw, on saurait aussi traiter (probablement plus facilement) le vignetage, et il est évident qu'il n'est pas corrigé sur le raw !

- Après dématriçage, le raw étant transformé en fichier RVB. A ce stade, ça ne présente plus de difficultés particulières, il suffit que les éléments pour le faire soient joints au fichier, que soit sous la forme d'une loi de correction à appliquer au développement incorporée au fichier conteneur raw, ou bien par application d'une caractérisation externe (type DxO) sur la seule lecture des infos de l'objectif utilisé.

Gerrato,

Formulé comme cela, cela me paraît correspondre à ce que j'essaie de dire (avec différentes hypothèses de traitement en amont de l'enregistrement du fichier "conteneur" rw)

Nous ne parlions, je crois, pas tout fait de le même chose en parlant du raw (d'où ma formulation de "ras théorique" qui renvoyait à ton point de vue)

Remarque cependant : le vignettage est à mon avis aussi pris en charge, en partie seulement traité, sans doute de manière moins efficace parce que plus aléatoire (dépendant de plus de paramètres : ouverture, luminosité)

FredEspagne

Il y aurait une solution possible (si les constructeurs le permettaient) pour les objectifs exotiques (autres que ceux du constructeur), ce serait un étalonnage effectué par l'utilisateur et mémorisable dans l'appareil avec un rappel par l'utilisateur si l'objectif n'a pas de puce:
- mire uniforme et prises de vue à toutes les ouvertures pour la correction de vignettage
- mire géométrique et prise de vue à ouverture moyenne pour 5 focales différentes (pour un zoom) pour la correction de la distorsion
- mire uniforme blanche pour les corrections de couleur sur les coins et les bords.
Dans le cas où l'utilisateur ne se sent pas capable d'effectuer l'étalonnage lui-même, la possibilité de le faire faire par des centres agréés moyennant finance.
L'avantage de cette solution, c'est que l'étalonnage se fait sur l'objectif de l'utilisateur et que les possibilités d'écarts de fabrication toujours possibles sont annulées.
Qu'en pensez-vous?
35 ans de film et labo argentique , 21 de numérique

livre

Citation de: FredEspagne le Octobre 24, 2012, 10:29:02
Il y aurait une solution possible (si les constructeurs le permettaient) pour les objectifs exotiques (autres que ceux du constructeur), ce serait un étalonnage effectué par l'utilisateur et mémorisable dans l'appareil avec un rappel par l'utilisateur si l'objectif n'a pas de puce:
- mire uniforme et prises de vue à toutes les ouvertures pour la correction de vignettage
- mire géométrique et prise de vue à ouverture moyenne pour 5 focales différentes (pour un zoom) pour la correction de la distorsion
- mire uniforme blanche pour les corrections de couleur sur les coins et les bords.
Dans le cas où l'utilisateur ne se sent pas capable d'effectuer l'étalonnage lui-même, la possibilité de le faire faire par des centres agréés moyennant finance.
L'avantage de cette solution, c'est que l'étalonnage se fait sur l'objectif de l'utilisateur et que les possibilités d'écarts de fabrication toujours possibles sont annulées.
Qu'en pensez-vous?

Oui c'est une solution, mais je suis dubitatif sur l'application par le constructeur et Sony depuis la sortie du NEX 7 a mis un an pour la mise à jour et 7 mois après ma lettre et encore tout n'est pas traité. Quand j'avais le 5Dmk2 les mises à jour étaient plus rapides, mais le boîtier d'expert était passé pro.

gerarto

Citation de: Odi le Octobre 24, 2012, 07:28:12
Gerrato,

...
Remarque cependant : le vignettage est à mon avis aussi pris en charge, en partie seulement traité, sans doute de manière moins efficace parce que plus aléatoire (dépendant de plus de paramètres : ouverture, luminosité)

Il faut considérer deux cas de vignetage :

- Celui (courant et banal) induit par l'objectif, quelque soit le capteur (ou le film...) qu'il y a derrière.
- Celui (bien plus rare) induit par la combinaison capteur+microlentilles et objectif.

Corriger le premier cas (toujours pour les raw) est affaire de post traitement : soit en automatique si l'objectif est caractérisé, soit en manuel avec les réglages adéquats des softs. Pour les jpeg boîtiers, ça se fait directement dans le boîter pour les objectifs avec puce.

Pour le cas du vignetage complémentaire amené par la combinaison capteur/objectif (cas typique Nex+GA), il me semble difficile de séparer ça du problème de la dérive magenta : c'est le même processus. Si on sait - pour les objectifs reconnus - corriger au stade du raw les dérives magenta, alors on a aussi probablement corrigé ce type de vignetage.

gerarto

Citation de: FredEspagne le Octobre 24, 2012, 10:29:02
Il y aurait une solution possible (si les constructeurs le permettaient) pour les objectifs exotiques (autres que ceux du constructeur), ce serait un étalonnage effectué par l'utilisateur et mémorisable dans l'appareil avec un rappel par l'utilisateur si l'objectif n'a pas de puce:
- mire uniforme et prises de vue à toutes les ouvertures pour la correction de vignettage
- mire géométrique et prise de vue à ouverture moyenne pour 5 focales différentes (pour un zoom) pour la correction de la distorsion
- mire uniforme blanche pour les corrections de couleur sur les coins et les bords.
Dans le cas où l'utilisateur ne se sent pas capable d'effectuer l'étalonnage lui-même, la possibilité de le faire faire par des centres agréés moyennant finance.
L'avantage de cette solution, c'est que l'étalonnage se fait sur l'objectif de l'utilisateur et que les possibilités d'écarts de fabrication toujours possibles sont annulées.
Qu'en pensez-vous?

Ta proposition existe déjà au moins partiellement sous une autre forme "hors boîtier", puisqu'il est possible de le faire avec une manip particulière de caractérisation d'objectif de LR. Tu prends un certain nombre de photos suivant une procédure donnée, et une application en tire directement les profils de correction qui peuvent t'être propres, mais que tu peux aussi partager.

La différence est bien sûr que ça ne s'applique qu'au raw, qu'il faut bien sûr avoir LR4, et que je ne suis pas sûr que ça puisse corriger "directement" les dérives magenta.
Par ailleurs, je suppose qu'il faut être relativement soigneux et précis pour faire ce type de caractérisation soi-même pour de bons résultats, j'avoue ne pas avoir essayé cette manip dans LR...

Pour les coins magenta, il est toujours possible de se faire un preset complémentaire dans LR qui devrait régler, au moins en partie le problème

Maintenant, concernant les dérives possibles entre l'objectif utilisateur et une correction standard, je ne suis pas sûr qu'il y ait une une grande différence dans la vraie vie.

FredEspagne

Citation de: gerarto le Octobre 24, 2012, 12:17:19
Ta proposition existe déjà au moins partiellement sous une autre forme "hors boîtier", puisqu'il est possible de le faire avec une manip particulière de caractérisation d'objectif de LR. Tu prends un certain nombre de photos suivant une procédure donnée, et une application en tire directement les profils de correction qui peuvent t'être propres, mais que tu peux aussi partager.

La différence est bien sûr que ça ne s'applique qu'au raw, qu'il faut bien sûr avoir LR4, et que je ne suis pas sûr que ça puisse corriger "directement" les dérives magenta.
Par ailleurs, je suppose qu'il faut être relativement soigneux et précis pour faire ce type de caractérisation soi-même pour de bons résultats, j'avoue ne pas avoir essayé cette manip dans LR...

Pour les coins magenta, il est toujours possible de se faire un preset complémentaire dans LR qui devrait régler, au moins en partie le problème

Maintenant, concernant les dérives possibles entre l'objectif utilisateur et une correction standard, je ne suis pas sûr qu'il y ait une une grande différence dans la vraie vie.

De manière plus simple pour l'utilisateur, il y a DXO qui contient pas mal de combinaisons boitiers-objectifs, je sais. Ma méthode annule l'avantage pour le fabricant d'avoir les profils intégrés pour SES objectifs par rapport aux autres. Mais ce serait génial pour le fabricant de récupérer des sur pour des objectifs tiers (sachant que plus de la moitié des utilisateurs ne voudra ou ne pourra pas faire l'étalonnage lui-même. Au niveau marketing, on annonce que tout le monde peut corriger les défauts de tous les objectifs gratuitement (en omettant de dire que si on n'est pas capable de le faire soi-même, il faudra cracher au bassinet).
35 ans de film et labo argentique , 21 de numérique