Quelques limicoles (fil à suivre)

[Roland Ripoll]

Bonjour à tous,

Les petits passereaux et les limicoles sont, je dois l'avouer, mes oiseaux préférés.
Bien évidemment, j'aime tous les oiseaux, mais ils sont ceux qui m'attirent davantage.

Les limicoles (du latin limus : limon ou  boue) sont les oiseaux qu'on appelle aussi "les petits échassiers". Ils  appartiennent à l'ordre des Charadriiformes,  plus précisément au sous-ordre des Charadrii qui comprend les bécasseaux, les chevaliers, les gravelots, les barges, etc.)

La majorité des espèces consomment des petits invertébrés vivant dans la vase ou l'humus et fréquentent les marécages, les zones humides, les plans d'eau, les bords de plages. Mais on peut aussi parfois les apercevoir dans les terres, comme le vanneau huppé.

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Des longueurs de bec différentes permettent à toutes sortes espèces de se nourrir dans le même milieu, notamment sur les plages, sans qu'il y ait compétition entre elles, leurs proies étant enfouies dans le sol à des profondeurs variables. Leur bec est muni de cellules sensorielles très sensibles ce qui leur permet de détecter et de capturer facilement leurs proies sous les sédiments.

Les limicoles sont typiquement de grands voyageurs, migrateurs au long cours depuis les régions du Groenland et de la Sibérie au nord, qu'ils fréquentent pendant la saison de reproduction (mai à août), jusqu'aux régions tempérées méridionales et intertropicales où ils passent la saison hivernale (septembre à mars). Les déplacements migratoires s'effectuent souvent en étapes successives de milliers de kilomètres entrecoupées d'escales où les oiseaux s'arrêtent pour se reposer et reconstituer des réserves, comme ici le chevalier sylvain.

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[photographe33]

Je partage ton plaisir de regarder ces limicoles et le vanneau est un des plus beaux quand le soleil met la bonne lumière sur son plumage aux couleurs si chatoyantes
Je vais reprendre mes séances de contemplation photographique au Teich, tu m'en donne encore plus envie

[Nemrod63]

le plaisir est partagé aussi pour moi!

[foufouille]

Un fil que je vais suivre avec grand intérêt! 

[urka]

Belles images accompagnées de textes dans lesquels tu ne ménages pas les propos indicatifs pour chaque espèce. Merci!
André.

[beaba]

Belles images accompagnées de textes dans lesquels tu ne ménages pas les propos indicatifs pour chaque espèce. Merci!
André.

Tes commentaires sont toujours un plus pour de très belles images...

[serge bour]

J attends la suite avec impatience.Merci

[yves68]

Incontournable et de saison : les limis de Roland ! J'adôôre le vanneau en 5, ébouriffant  !

[Jo Laudois]

Tu as su restituer parfaitement le vert bronze du vanneau et la gracilité du sylvain dans de belles lumières. Bravo Roland !
Amicalement, Jo.

[Roland Ripoll]

Merci à vous tous !

S'il marque une préférence pour les rivages plats, les étendues vaseuses des baies
et des estuaires, l'huîtrier-pie fréquente également les côtes rocheuses avec récifs ou les îlots bas couverts d'algues.
C'est le limicole plus facile à reconnaître en raison du contraste entre le dos et le dessus des ailes noir et le dessous du corps blanc. Le bec sombre chez les jeunes prend une couleur rouge-orangé de la base vers la pointe au fur et à mesure de la maturité des oiseaux.

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Il se nourrit principalement de mollusques bivalves (moules, coques). Il se révèle particulièrement habile pour ouvrir les coquillages en les martelant ou en écartant les valves et en sectionnant le muscle qui les relie. Son menu est complété par des gastéropodes, des crabes et des vers marins.

En France, l'Huîtrier pie se reproduit principalement en Bretagne et en Normandie (îles Chausey, 'île d'Ouessant, archipel de Molène, baies de Morlaix) et ne compte que quelques dizaines de couples pour les autres régions (Camargue)

La population nicheuse française est estimée à 2000 couples environ avec 530 couples dans la seule Bretagne et 40 à 70 seulement pour la Camargue.

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[Aldi29]

De très belles images, comme d'habitude ! 5, 11 et 16 ont ma préférence mais les autres ne sont pas en reste.

Amicalement
Alain

[yves68]

Ahh, l'huîtrier, quelle merveille aussi, cet oiseau ! Je me souviens très bien de mes toutes premières miroises de ce limicole à Ouessant, pas le pire endroit pour faire ses armes d'ornithologue débutant, c'est vrai, et de la très forte impression que me faisaient (et me font toujours !) leurs sifflements, tellement sonores, sortis de leur bec rose comme du sucre d'orge...
Tes images sont comme les souvenirs, cher Roland : de la fine dentelle !

[Denis68]

Un superbe fil, comme toujours, en plus les infos qui vont avec, je me régale, Merci et BRAVO

[Aubertin]

Superbe l'huitrier avec une préférence au niveau photographique pour la première et dernière.

[zbiseb]

Pfffiou, quelle màj Roland! Bravo avec un + pour la 13!

Amicalement
Séb - observe la Lumière

[photographe33]

Pas d'huitrier dans mon coin, je n'en ai jamais vu
De très belles vues rasantes avec une préf aussi pour la 13, la plus "percutante"

[Jluc Ronné]

Salut Roland
Superbe série sur l'huitrier !! 

[papytos]

J'adore aussi les limicoles, mais je n'arrive pas à un tel piqué ! Bravo, comme d'habitude !

[Jo Laudois]

De splendides images de cette "pie de mer" comme on l'appelle parfois.
Amicalement, Jo.

[rdmphotos]

un plus pour l'huîtrier, je suis souvent en Camargue mais je n'ai pas eu l'occasion de le croiser
un jour peut être
rdm

[ChrisC06]

Superbes images... comme d'hab... 
J'ai un petit faible pour le vanneau... superbe oiseau !

[Roland Ripoll]

Merci !

Le Gravelot à collier interrompu est un petit limicole d'à peine 15 cm et pesant 50 g environ, sympathique et élégant mais nerveux et plutôt farouche. On ne peut guère le confondre avec les autres gravelots, que ce soit le petit ou le grand, car il est reconnaissable à son  demi-collier noir s'interrompant sur la poitrine. Il est assez rare en France puisqu'on estime la population à moins de 2 000 individus seulement.
On compte moins de 200 couples en Camargue où j'ai la chance, certaines années, de pouvoir l'observer et cela est toujours pour moi un grand moment de plaisir ornithologique et photographique.

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Il est par contre beaucoup plus abondant pendant la migration postnuptiale (qui commence en août et s'achève en octobre) où les zones humides de Provence (essentiellement la Camargue qui peut accueillir plus de 4 000 individus en transit) voient de nombreux oiseaux originaires des Pays-Bas, d'Allemagne et du Danemark stationner quelque temps.

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Fidèle au site de nidification, le Gravelot à collier interrompu (qui a hiverné en Afrique: Guinée-Bissau, Mauritanie) est, dès la mi-mars, de retour en Camargue où il retrouve  les sansouïres dénudées, au sol salé, sec et craquelé qu'il affectionne. Les couples se forment aussitôt, les premières pontes ayant lieu fin mars/début avril.

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Durant la nidification, le Gravelot à collier interrompu doit, comme beaucoup d'oiseaux, faire face à la prédation animale et à de nombreuses perturbations d'origine humaine. Heureusement, son plumage et son aptitude au camouflage lui permettent en général d'échapper aux prédateurs et de rester invisible lors de la couvaison. Le nid et les œufs sont également très difficiles à localiser et le plumage cryptique du poussin qui s'immobilise à la moindre alerte, lui permet de se confondre dans l'environnement. Néanmoins, de nombreuses études font  état d'un fort taux d'échec de la reproduction. Car s'il peut naturellement se protéger de la prédation animale (simulant une blessure pour entraîner l'intrus loin du nid), le Gravelot à collier interrompu ne peut, par contre, rien faire contre le dérangement dû à l'homme.

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[KERMOR56]

Comme tout cela est beau !
Merci Roland pour ces magnifiques portraits et aussi pour tes explications si utiles aux apprentis naturalistes que nous sommes toujours, hélas.
Corine et Jean-Yves

[foufouille]

De bien belles mises en valeurs!

[ChrisC06]

Oui ! C'est très beau et très intéressant... 
Toujours un régal !

[Jo Laudois]

De magnifiques images de cette miniature qui se déplace comme un jouet mécanique. Pas facile à saisir mais tu y parviens parfaitement. Bravo Roland.
Amicalement, Jo.

[ledunois]

Comme d'habitude, de superbes images !

[Roland Ripoll]

Merci !

La barge à queue noire n'est présente en Camargue qu'en petit nombre et  lors de courtes haltes migratoires au printemps. Il ne faut pas rater ces jours pour avoir l'occasion de l'observer et de la photographier. Je ne l'ai, pour ma part, jamais observée lors de la migration postnuptiale. Sans doute prend-elle une autre route qui ne survole pas, comme à l'aller, la Camargue ?

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On la trouve toute l'année mais très localement de la côte sud de la Bretagne à l'estuaire de la Gironde, en Vendée principalement qui accueille la moitié des nicheurs de France.
Le Marais breton est un des premiers sites français pour la nidification de la Barge à queue noire avec un minimum de 60 couples.

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En hiver, les barges à queue noire venues du nord sont nombreuses. La baie de l'Aiguillon est le premier site français d'hivernage avec 5 000 à 7 000 individus...
Les oiseaux qui se rendent en Afrique ne dépassent guère l'Équateur et s'installent aux Canaries, aux îles du Cap-Vert, au Tchad, vers les sources du Nil et sur les bords du golfe Persique.

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[Jo Laudois]

Tes images rendent à la perfection l'élégance de cette princesse des grèves. En Languedoc, les anciens la nommaient "bécasse de mer".
Amicalement, Jo.

[yves68]

Photographiées avec le talent qui te caractérise, on ne peut que tomber en admiration devant ces espèces séduisantes entre toutes, leurs proportions élégantes, leurs silhouettes fines, leur apparence frêle et délicate... J'ai aimé, particulièrement, l'excentricité des barges au bec retroussé !

[Roland Ripoll]

Merci !

Le bécasseau  sanderling est un petit limicole côtier, court sur pattes, caractérisé par une silhouette rondelette, sautillant avec légèreté sur les plages de sable, courant après les vagues. Il se déplace à terre avec une agilité et une rapidité surprenantes. Sa vivacité est telle qu'on distingue difficilement les mouvements des pattes. On le compare d'ailleurs souvent à un jouet mécanique.

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Il se nourrit en petites bandes à la limite de l'eau, trottinant et picorant dès que la vague se retire avant de remonter vivement lorsqu'elle revient. Vif et adroit, il capture de petits invertébrés en fouillant la couche superficielle du sable, sur la plage.

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Il passe l'été et niche dans les régions autour du cercle polaire arctique (toundra arctique, Alaska, côtes nord et nord-est du Groenland, Sibérie) et migre sur de longues distances, hivernant en Europe du Sud, en Afrique et en Australie. Très grégaire en hiver, il forme parfois de grands groupes dans les vasières côtières ou sur les plages de sable fin. La France accueille des oiseaux originaires du Groenland et de Sibérie. Ils séjournent essentiellement sur les côtes de la Manche et de l'Atlantique, du Nord-Pas-de-Calais à la Gironde. La Bretagne, principale région d'hivernage, abrite en moyenne 50 à 70% des effectifs.

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[Jluc Ronné]

Bonjour Roland.
C'est toujours un régal de suivre ce fil... On sent que tu les aimes ces limis , comme je te comprends!..
Merci pour le partage de ces belles photos mais aussi pour la richesse de tes commentaires.

[foufouille]

Un fil instructif remarquablement illustré.
Cette dernière MAJ est sensationnelle. 

[ChrisC06]

Encore de très très belles images... 
J'aime particulièrement le trio au repos !

[Roland Ripoll]

Merci à vous trois !

Le Petit Gravelot, qu'on peut confondre avec le Grand Gravelot,  s'en distingue par le bec entièrement sombre, un cercle orbitaire jaune en période nuptiale et le fait qu'il ne possède pas de barre alaire. En alerte, les hochements nerveux de la tête sont également des comportements typiques. C'est le plus petit des limicoles nicheurs de France.

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La population française est estimée entre 7 000 et 10 000 couples. On compte environ 500 couples en région PACA.
Il vit sur les berges sablonneuses et caillouteuses des rivières, des étangs, des lacs, sur le fond boueux des étangs asséchés, dans les sablières et les gravières, près des réservoirs des stations d'épuration des eaux entourés de flaques ainsi que sur les côtes et les estuaires.

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En août et en septembre, les petits gravelots quittent la zone de reproduction pour s'envoler vers la Méditerranée et surtout l'Afrique Centrale et Occidentale. La migration s'achève à la mi-septembre et la majorité des oiseaux ont quitté le continent européen en octobre.

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49 juvénile


50 juvénile

[Aldi29]

Encore de très belles images ! Le portrait 48 est superbe !

Amicalement
Alain

[ChrisC06]

L'a une bonne bouille ce p'tit-là... 
J'aimerais bien en croiser !

[Clic-Clac 51]

C'est toujours un plaisir de venir s'attarder sur tes fils...et celui-ci ne déroge pas a la règle
Bravo Roland et merci pour le partage
Amicalement Denis

[Jo Laudois]

Une merveilleuse proximité avec ces limicoles miniatures très remuants !
Amicalement, Jo.

[roboisdesbains]

Quelle splendide collection de plans rapprochés... quand on pense que c'est fait avec un coolpix !

[zbiseb]

Très joli fil que tu proposes là, un plus pour les 37 et 38.

Amicalement
Séb - observe la Lumière

[Roland Ripoll]

Merci à vous tous !

Le tournepierre à collier est facilement reconnaissable a son plumage bigarré, noir, blanc et marron-roux et à sa bande pectorale noire. Au cours de ses activités, il marche, court, soulève et retourne des pierres et des morceaux d'algues pour atteindre des aliments, ce qui lui valu son nom. En vol, le tournepierre surprend par le fort contraste existant entre les marques blanches, invisibles au repos, au niveau des barres alaires, des épaulettes, et du dossard et le reste du plumage noir ou brun foncé

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C'est un individu très sociable qui peut être observé en grand nombre sur les côtes atlantiques et de la Manche. Oiseau commun et peu farouche, il se laisse approcher ou plutôt c'est souvent lui-même qui s'approche.

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Les tournepierres arrivent à la fin de mai ou au début de juin sur les sites de reproduction dans les terres arctiques. Ils nichent du Cercle arctique à l'extrême nord des îles Britanniques. Ils sont très fidèles à leur territoire et ils occupent en général un endroit déjà occupé les années précédentes.

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La population de tournepierres hivernant en France est estimée à 6 000 oiseaux, la plupart résidant en Bretagne. Les premiers flux sont perceptibles dès la fin du mois de juillet.

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[siger05]

Comme toujours de belles images avec toi Roland, si je devais en choisir une ce serait la 38 que je trouve génial.

Amicalement

Régis

[Aubertin]

J'ai raté quelques MàJ mais me suis rattrapé. Le sanderling est superbe mais les barges et gravelots aussi. Tout aussi intéressants sont tes commentaires fort instructifs.

[Clic-Clac 51]

Belle suite Roland...belle mise en valeur des sujets
Amicalement Denis

[Jluc Ronné]

Salut Roland.
Comme d'habitude des maj super bien illustrées et commentées , c'est avec plaisir que l'on se laisse porter. Bravo!

[ChrisC06]

Encore de belles images... 
Il y en a un qui n'a pas de plumes marron ? Y a-t-il une raison particulière ?

[Roland Ripoll]

Merci à vous tous !

Il y en a un qui n'a pas de plumes marron ? Y a-t-il une raison particulière ? C'est sans doute un
individu en plumage d'hiver.

Passons vite sur les incontournables chevaliers que j'avais déjà présentés il y a quelque temps...

Chevalier arlequin




Chevalier cul-blanc




Chevalier gambette




Chevalier guignette




Chevalier sylvain

[ChrisC06]

"Passons vite... passons vite".... C'est toujours un régal de les regarder... 

[Jo Laudois]

Des images toujours aussi envoûtantes... Je n'ai jamais rencontré le tournepierre sur la lagune aux Martins.
Amicalement, Jo.

[Clic-Clac 51]

Simplement bravo et merci pour le partage
Amicalement Denis

[Denis68]

Simplement bravo et merci pour le partage
Amicalement Denis

+1, Superbe, BRAVO

[vulpes]

Toujours autant de plaisir à regarder ces images. Quelle photothèque !

[pmy]

Bonjour,

Je passe souvent sans me manifester 
C'est superbe 

[birba-g93]

Merci à vous tous !

Il y en a un qui n'a pas de plumes marron ? Y a-t-il une raison particulière ? C'est sans doute un
individu en plumage d'hiver.

Passons vite sur les incontournables chevaliers que j'avais déjà présentés il y a quelque temps...

Chevalier arlequin




Très belles images sur la série, belle netteté et composition.
Merci pour le partage.

Amicalement, Birba.
Chevalier cul-blanc




Chevalier gambette




Chevalier guignette




Chevalier sylvain

[Aldi29]

Toujours autant de plaisir à regarder ces images. Quelle photothèque !

+1 Superbes images !

Amicalement
Alain

[Jluc Ronné]

Salut Roland.
Comme d'hab c'est super !
Je pars sur la cote vendéenne une semaine et je serais comblé de rapporter la même diversité que celle présentée ici !... à vrai dire , C'est pas gagné!!!             

[noeme]

Un ensemble de très belles images. Superbes.

[zbiseb]

Sacrée belle série! Et que dire de ton 2ème Chevalier gambette... Une somptueuse lumière, l'oeil qui brille, un très beau cliché!

Amicalement
Séb - observe la Lumière

[Denis68]

Oh que c'est beau, superbe comme toujours, Bravo 

[Roland Ripoll]

Un grand grand merci à vous tous !

Terminons ce fil avec le Pluvier argentéqui est le plus grand des pluviers. Il est long sur pattes et possède un bec plutôt court et épais par rapport à d'autres limicoles.
En été, son plumage est contrasté : noir devant, dessus de la tête blanche et dos aux motifs argentés. Son plumage hivernal est plus uniforme et grisâtre. Hiver comme été, le Pluvier argenté a les aisselles noires (visibles uniquement en vol), ce qui le différencie du Pluvier doré, une espèce proche.

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Il se reproduit dans la toundra arctique et les déserts polaires depuis l'est de la Mer Blanche jusqu'au détroit de Béring en Russie, puis du nord de l'Alaska jusqu'à la Terre de Baffin en Amérique du Nord  Il hiverne en Europe Occidentale et en Afrique.

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En hiver et au moment des migrations, ce limicole est largement distribué le long de tous les rivages tempérés et tropicaux. En France, il fréquente presque tout le littoral Manche-Atlantique, à l'exception des côtes à falaises de Haute-Normandie et du littoral des landes. Il est aussi présent sur le littoral méditerranéen.

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Alors qu'ils ont un comportement non grégaire pendant la reproduction, les oiseaux hivernants se regroupent en troupes pouvant réunir plusieurs centaines d'individus dans les lagunes saumâtres et le long des bancs de sable.

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[ChrisC06]

Encore une très sympathique suite... 
J'aime bien les "monopodes"... z'ont pas l'air d'avoir chaud, dis-donc... 

[birba-g93]

Belle série d'images et mise à jour, composition et netteté est présents.

Amicalement, Birba.

[Clic-Clac 51]

De belles attitudes saisies...bravo
Amicalement Denis

[Jacques61]

Je ne me lasse pas de voir ces images  où l'on peut à loisir détailler chaque plumage et admirer l'élégance de chaque espèce. Bravo.

[RR NIKON]

salut Roland,

Ce fil, comme tous ceux que tu as postés, contribue largement à la démarche de partage des connaissances naturalistes, engagée par un certain nombre de co-listiers sur ce forum.
Cette passion partagée, sans prétention, est toute à ton honneur.

[foufouille]

Merci pour ce somptueux fil Roland!

[MARTINPECHEUR]

Pffff ,  un fil comme à ton habitude !!   ... Un vrai régal 
Merci Roland !

Cdt
Michel

[zbiseb]

Une très belle suite... J'aime bien l'ambiance des 70-71, des pdv qui changent quelque peu et qui sont bien agréables.

La dernière passe bien également.

Joli travail!

Amicalement
Séb - observe la Lumière