K-3 en promo ...

[clodomir]

mouais ... es-tu sur que l'Ukraine ne soit pas (quasi) redevenue russe ? ... ok , HS ici

[tkosak]

mouais ... es-tu sur que l'Ukraine ne soit pas (quasi) redevenue russe ? ... ok , HS ici

Pas encore, camarade, pas encore. Car une minuscule moitié du pays résiste encore et toujours à l'envahisseur.
Parenthèse historiques : lors de la 2° guerre mondiale, se sont créés des maquis anti-allemands et surtout anti-soviétiques. (ben oui, tous les Ukrainiens ne sont pas aller s'embaucher comme tortionnaires dans les camps de concentration!  ). Les derniers de ces maquis se sont dispersés dans le milieu des années cinquante. Donc la résistance peut durer encore un moment.
Mais c'est vrai que, vu d'ici, la situation n'est pas brillante...
Fin de parenthèse "historique".

[clodomir]

je sais , tkosak , j'ai juste force le trait pour repondre a sebs , maladroitement je l'admets . sorry

[tkosak]

  no problemo

[clodomir]

d'ailleurs - pour en revenir a nos moutons beeeeeeeeeeee - qu'en penses-tu ,toi , du K3 ?

[tkosak]

d'ailleurs - pour en revenir a nos moutons beeeeeeeeeeee - qu'en penses-tu ,toi , du K3 ?

C'est à moi que tu poses la question? Réponse bien simple : je l'appelle "my Preciousssssss!". C'est un excellent outil, agréable à l'usage. La colorimétrie devient problématique quand on dépasse 6400 ISO (même en raw) mais il me suffit de repenser à mes quelques tentatives de "poussage" du HP5 à 1600asa pour relativiser!... Ces essais datent d'une vingtaine d'années, quand même.

[langagil]

voui , mais comme m'a dit Louis (je crois) : j'ai deux yeux et un super cerveau , alors ...  
et puis oui , la promo m'a fait craquer , bon ben voila , hein ! tu n'as pas voulu me vendre le tien , j'en ai un neuf , na !

Réponse tardive, extrêmement tardive   : encore eût fallu que j'en possédasse un, ne fusse qu'un seul    j'ai relaté avoir, à mon grand regret, raté l'offre exceptionnelle sur ce satané ~Prestige 

[clodomir]

Réponse tardive, extrêmement tardive   : encore eût fallu que j'en possédasse un, ne fusse qu'un seul    j'ai relaté avoir, à mon grand regret, raté l'offre exceptionnelle sur ce satané ~Prestige 

erreur de ma part , ami : je faisais allusion a l'amie Cath , au moment de ses deboires avec le K3 - deboires qui semblent heureusement resolus !
allez bonne nuit , 

[remico]

Les américains sont plus chanceux que nous avec le black friday pour moins cher $649.00 ils ont le K3 et en plus le 50mm f1.8 et le flash  Pentax AF-200FG

Et pour les optiques il y a pas mal de réductions aussi :

http://www.pentaxforums.com/articles/deals/us-pentax-lens-deals-november-2015.html

Il y a bien 10% de réduction jusqu'à fin décembre sur les optiques Pentax via les ventes flash d' amazon.fr mais c'est plus du tout les mêmes tarifs.

[clodomir]

Les américains sont plus chanceux que nous avec le black friday pour moins cher $649.00 ils ont le K3 et en plus le 50mm f1.8 et le flash  Pentax AF-200FG

Et pour les optiques il y a pas mal de réductions aussi :

http://www.pentaxforums.com/articles/deals/us-pentax-lens-deals-november-2015.html

Il y a bien 10% de réduction jusqu'à fin décembre sur les optiques Pentax via les ventes flash d' amazon.fr mais c'est plus du tout les mêmes tarifs.

attention aux ecarts (apparents) de prix , qui peuvent etre lies a un affichage hors / avec taxes - qui sont differentes

[remico]

oui mais même en rajoutant la taxe ça fait un sacré écart quand même pour le kit K3 en ajoutant 20% de tva et un dollar à 1,07

(649 + 129,8) = 778,8 $
778,8 / 1.07 = 727,85 euros

Pour info sur digit photo plus facile à consulter que d'autres sites marchands :

K3                                   829 euros
50mm f1.8                 + 129 euros
Flash AF-201 FG         + 149 euros (*)

Rien que le K3 sur digit est plus cher que le kit !
(*)ce n'est pas le même le Flash  AF-200FG est moins cher que le AF-201 FG dans le prix indicatif de Pentaxforums

[clodomir]

ah ben fallait suivre almat et mamazon a 649 ... 

[remico]

attention aux ecarts (apparents) de prix , qui peuvent etre lies a un affichage hors / avec taxes - qui sont differentes

Le client la paye la TVA pour  les sites e-commerce ce n'est pas toujours bien clair si ils la reversent ou pas :

http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/le-senat-veut-chambouler-l-imposition-du-e-commerce-18-09-2015-5102811.php

Citation :

Aujourd'hui, l'« inadaptation de notre système fiscal » permet aux sites de vente en ligne (Amazon, Cdiscount, Fnac, eBay, etc.), souvent basés à l'étranger (164 200 sites marchands actifs en France), « d'échapper au paiement de la TVA », déplorent les parlementaires qui ont planché pendant un an sur le sujet

[Ibiscus]

Réponse tardive, extrêmement tardive   : encore eût fallu que j'en possédasse un, ne fusse qu'un seul    j'ai relaté avoir, à mon grand regret, raté l'offre exceptionnelle sur ce satané ~Prestige 

Hi,hi,hi ! Tu t'es gouré en voulant faire le malin avec notre belle langue française  Tu aurais dû écrire :
" encore eût-il fallu que j'en possédasse un, ne fut-ce qu'un seul "

"eût-il fallu" conditionnel passé 2ème forme du verbe "falloir". D'après un prof de français il manque le "-il" pour écrire en bon français !
"fut-ce" passé simple du verbe "être". Là, tu as écrit phonétiquement 

"j'en possédasse" subjonctif imparfait du verbe "posséder". Bravo : 20/20 ! Épaté que tu aies réussi à placer un "subjonctif imparfait" 

C'est juste un clin d'œil en passant 

[clover]

Ah mince, je pensais que possédasse était le surnom de Paris Hilton... Posséder comme une p..asse...

[Mistral75]

Hi,hi,hi ! Tu t'es gouré en voulant faire le malin avec notre belle langue française   Tu aurais dû écrire :
" encore eût-il fallu que j'en possédasse un, ne fut-ce qu'un seul "

"eût-il fallu" conditionnel passé 2ème forme du verbe "falloir". D'après un prof de français il manque le "-il" pour écrire en bon français !
"fut-ce" passé simple du verbe "être". Là, tu as écrit phonétiquement  

"j'en possédasse" subjonctif imparfait du verbe "posséder". Bravo : 20/20 ! Épaté que tu aies réussi à placer un "subjonctif imparfait"  

C'est juste un clin d'œil en passant  

Eh non, "ne fût-ce" : imparfait du conditionnel ("ne serait-ce" au conditionnel présent) .

[clover]

Je n'ai pas compris le rapport mais j'ai tout d'un coup envie de relire Cyrano de Bergerac...

[Mistral75]

Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme...
En variant le ton, —par exemple, tenez :
Agressif : « moi, monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur le champ que je me l'amputasse ! »
Amical : « mais il doit tremper dans votre tasse :
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « c'est un roc ! ... c'est un pic... c'est un cap !
Que dis-je, c'est un cap ? ... c'est une péninsule ! »
Curieux : « de quoi sert cette oblongue capsule ?
D'écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « l'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle hippocampelephantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os ! »
Cavalier : « quoi, l'ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau c'est vraiment très commode ! »
Emphatique : « aucun vent ne peut, nez magistral,
T'enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « c'est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « hé, ardé ! C'est-y un nez ? Nanain !
C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain ! »
Militaire : « pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
—Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.

[clodomir]

un des plus beaux textes du theatre francais ... merci de le rappeler !

[Ibiscus]

Eh non, "ne fût-ce" : imparfait du conditionnel ("ne serait-ce" au conditionnel présent) .

Alors, mon cher Mistral, ta réponse m'a fait me replonger dans la grammaire, toujours avec l'aide de mon prof de français. Deux choses :

- "l'imparfait du conditionnel" n'existe pas ; mais "ne serait-ce" est bien le "conditionnel présent".
- cependant, d'après la Grammaire Larousse du Français contemporain (copie jointe), c'est l'imparfait du subjonctif que notre ami a voulu employer qui s'écrit "ne fût-ce" avec un accent circonflexe donc.

Pour résumer : ma précédente proposition n'est pas la bonne, ce n'est pas le "passé simple", mais "l'imparfait du subjonctif". L'orthographe de ta proposition est juste, mais pas tes explications, tu fais une erreur de mode.

[Mistral75]

Alors, mon cher Mistral, ta réponse m'a fait me replonger dans la grammaire, toujours avec l'aide de mon prof de français. Deux choses :

- "l'imparfait du conditionnel" n'existe pas ; mais "ne serait-ce" est bien le "conditionnel présent".
- cependant, d'après la Grammaire Larousse du Français contemporain (copie jointe), c'est l'imparfait du subjonctif que notre ami a voulu employer qui s'écrit "ne fût-ce" avec un accent circonflexe donc.

Pour résumer : ma précédente proposition n'est pas la bonne, ce n'est pas le "passé simple", mais "l'imparfait du subjonctif". L'orthographe de ta proposition est juste, mais pas tes explications, tu fais une erreur de mode.

Effectivement, mon assimilation était hasardeuse. C'était bien un imparfait du subjonctif employé comme un conditionnel.

Dans une phrase hypothétique comprenant une subordonnée de condition introduite par si, on emploie généralement le plus-que-parfait de l'indicatif pour exprimer une condition non réalisée dans le passé et le conditionnel passé pour exprimer une conséquence de cette condition non réalisée.

Exemples :

- Si j'avais compris ce qu'elle voulait dire (condition non réalisée), j'aurais réagi tout autrement (conséquence non réalisée).
- Si le film avait été plus court (condition non réalisée), il aurait probablement été moins bon (conséquence non réalisée).

Dans la langue littéraire, on exprime parfois la même idée en employant le mode subjonctif. En effet, le plus-que-parfait de l'indicatif et le conditionnel passé peuvent tous deux être remplacés par le plus-que-parfait du subjonctif dans ce contexte.

Exemples :

- Si j'eusse compris ce qu'elle voulait dire, j'eusse réagi tout autrement.
- Si le film eût été plus court, il eût probablement été moins bon.

Cette interchangeabilité s'explique. Le conditionnel n'existant pas en latin, c'est le mode subjonctif qui permettait d'exprimer les faits irréels et la possibilité, le mode indicatif étant réservé au probable. Le conditionnel a introduit la notion de possibilité à l'intérieur du mode indicatif et c'est généralement ce temps qu'on emploie aujourd'hui pour exprimer la conséquence d'une condition. Dans la langue littéraire, on emploie encore parfois le subjonctif dans ce contexte; on peut alors l'employer pour exprimer la condition et la conséquence – contrairement au conditionnel, qui ne peut exprimer que la conséquence.

Puisqu'il est interchangeable avec le conditionnel passé, on a longtemps appelé conditionnel passé deuxième forme le plus-que-parfait du subjonctif dans ce contexte. La majorité des grammairiens rejettent aujourd'hui cette appellation, puisqu'elle prête inutilement à confusion.

http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?id=4141

Et, pour me faire pardonner (quoique... )

« Oui, dès l'instant que je vous vis,
Beauté féroce, vous me plûtes !
De l'amour qu'en vos yeux je pris,
Sur-le-champ vous vous aperçûtes.
Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de soupirs je rendis ?
De quelle cruauté vous fûtes ?
Et quel profond dédain vous eûtes
Pour les vœux que je vous offris !
En vain je priai, je gémis,
Dans votre dureté vous sûtes
Mépriser tout ce que je fis.
Même un jour je vous écrivis
Un billet tendre que vous lûtes,
Et je ne sais comment vous pûtes
De sang-froid, voir ce que je mis.
Ah, fallait-il que je vous visse,
Fallait-il que vous me plussiez,
Qu'ingénument je vous le disse,
Qu'avec orgueil vous vous tussiez !
Fallait-il que je vous aimasse,
Que vous me désespérassiez.
Et qu'en vain je m'opiniâtrasse
Et que je vous idolâtrasse,
Pour que vous m'assassinassiez ! »

Alphonse Allais, Épître amoureuse d'un puriste (ou "Complainte amoureuse")

[clodomir]

la , les amis , vous faites tres fort ... un regal ... 

[Krg]

Vous fîtes ce que vous pûtes et vous nous épatâtes ...

[yoda]

quand même...
les pentaxistes sont des gens cultivés!

[Diapoo®]

Ah ah Yoda, tu vas nous regretter  
Pentax c'est beaucoup plus que des appareils photo, c'est d'abord un esprit