Quelle école pour apprendre la photo?

Démarré par didci2, Février 13, 2015, 21:18:39

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muadib

Citation de: roidufeu le Février 21, 2015, 20:05:59
Je pensais que c'était nécessaire comme pour un plombier par exemple.

Non, autrefois c'était utile d'avoir un CAP lorsque tu travaillais dans de grosses entreprises avec des grilles de salaires. Mais je crois qu'aujourd'hui tout ça a disparu. (Les salaires indexés sur des diplômes et les photographes intégrés...)
Et puis c'était une façon d'apprendre les bases de la photographie lorsque l'on était fâché avec le système scolaire.

OuiOuiPhoto

Citation de: roidufeu le Février 21, 2015, 19:37:03
Bonjour,

J'ai lu plusieurs fois sur ce post qu'avec "un diplôme d'ingénieur tu as du travail garanti". Je ne suis pas sûr de cela et deuxièmement j'aimerai pas être ingénieur à l'heure actuelle (rendement, stress, ...) et troisièmement j'en ai rencontré un il y a 2 mois qui venait de se faire virer (age:30ans) car il coutait trop cher à l'entreprise ! Bon courage pour retrouver du boulot !

Alors que je croise tous les jours des jeunes entrepreneurs du bâtiment avec leur CAP qui ont du boulot par dessus la tête et qui gagne beaucoup d'argent (plus qu'un prof par exemple !)

En tout cas un CAP de photographie permet d'être photographe artisan !

La réponse de la secrétaire ne donne pas envie de rentrer dans cette école !

C'est toujours une question de probabilité. Je connais aussi  des jeunes entrepreneurs du bâtiment avec leur CAP qui ont du boulot par dessus la tête. Je connais aussi des jeunes ingénieurs qui viennent de se faire virer. Mais ces exceptions ne font pas une généralité. La généralité c'est les chiffres de L'INSEE et ils sont sans appel. Maintenant attention.  Ca ne sert a rien de pousser un jeune vers le diplôme d'ingénieur si il n'est pas réceptif aux études longues. En plus la société n'est pas faite pour que tout le monde soit ingénieur (heureusement ;)). 


Inka

Citation de: Philippe Leroy le Février 20, 2015, 10:34:35
Les gamins qui rentrent dans une école photo c'est pour être photographe... pas pour être commercial, laborantin,

Lors de mes études photos je faisais de la prise de vues, du développement et du tirage. Mes profs me trouvaient plutôt bon en prise de vues, mais lorsqu'ils se sont mis à deux pour me demander de réaliser leurs tirages j'ai ressenti que j'étais très bon dans ce domaine.

Laborantin c'est vraiment ce qui me plait le plus et c'est ce qui paye les factures.

Je n'imagine pas un autre que moi développer mes images, en réalité je réalise des photos juste pour pouvoir les développer et les tirer...
Carolorégien

Elgato94

Citation de: roidufeu le Février 21, 2015, 20:05:59
Je pensais que c'était nécessaire comme pour un plombier par exemple.
Oui, CAP pour avoir la qualification Gaz Electricité.....

esperado

#54
Citation de: OuiOuiPhoto le Février 20, 2015, 23:36:57
...Comme ma fille veut éventuellement partir vers ce milieu...
Mon fils a voulu un moment entrer ds le milieu du spectacle. J'étais flatté qu'il veuille suivre les pas de son papa, mais j'ai mis toutes mes forces pour l'en dissuader, et le pousser à continuer ses études de droit.
Pas la peine de chercher des statistiques, il suffit de suivre l'histoire de l'ANPE du spectacle et les efforts désespérés du patronat pour se débarrasser de ce régime des intermittents.
Quasiment tous les labos ont déposé le bilan, les prods, les studios de post prod ne survivent pas une décennie etc...
TOUS mes collègues ingé-son ont eu une vie difficile et, au bout du compte, une retraite tout juste suffisante pour survivre.
Constat fait sur 4 décennies. Et encore, j'ai eu, personnellement, la chance d'avoir eu une période de grand succès à une époque où les choses étaient infiniment plus faciles et passionnantes.
J'ai fait des disques dans les années 70, du mixage pour la télé ds les années 80 et suivantes (Moi-je, Contre enquêtes, les Mercredi de l'information, Étoiles étoiles, Cinéma cinéma, Maigret, Navarro,  etc.) et je faisais partie des ingés sons les plus demandés (4 ou 5 sur le marché)...
En plus, j'étais ingénieur en électronique, ce qui m'a souvent sauvé la vie dans les périodes difficiles... mais pas suffisamment.
J'ai du abandonner le mixage à 50 ans, désespéré, pour devenir directeur technique de plusieurs studios... qui, eux aussi, ont tous disparu...
Il y a moins de chance de faire une carrière 'tranquille' (ou normale) dans le spectacle que de gagner à l'Euromilion.

Si tu aimes ta fille et que tu ne veux pas qu'elle passe la majorité de son temps à s'angoisser devant son téléphone, prend vraiment ces mots au sérieux.

Inka

Citation de: esperado le Février 23, 2015, 12:38:47
Il y a moins de chance de faire une carrière 'tranquille' (ou normale) dans le spectacle que de gagner à l'Euromilion.

L'ennui c'est que c'est pas faux.

Mais on peut toujours tenter...
Carolorégien

OuiOuiPhoto

Citation de: esperado le Février 23, 2015, 12:38:47
Si tu aimes ta fille et que tu ne veux pas qu'elle passe la majorité de son temps à s'angoisser devant son téléphone, prend vraiment ces mots au sérieux.

J'ai réussi a en sauver deux mais pour la troisième ça sera plus difficile ;)

thierry01150

Une école d'Ing te donne du boulot, c'est probable. Aller très loin dans les études peut faciliter les choses. Mais il faut vraiment voir dans quel domaine.
En Allemagne, on peut être docteur en Photo. Mais est ce que c'est utile pour trouver du travail?
Etre docteur en Archéologie doit être passionnant, mais ne pas ouvrir beaucoup de porte. Il n'y a pas beaucoup d'Indiana Jones.

En photo, j'ai un BTS que personne ne m'a jamais demandé. Je ne peux pas savoir ce que je serais devenu sans (Logique). Mon BTS, je ne le conseillerait pas à grand monde, l'école n'était pas terrible.

Par contre, dire à un d'jeune de ne pas faire des études qui le mèneront à rien, ou presque est un peu "castrateur".
Je connais un retraité qui voulait être photographe, ses parents lui ont dit "Non" et il est devenu radiologue. Alors que toute sa vie il voulait être photographe. Une vie de frustré par certains aspects. Aujourd'hui, il est photographe, à 80 ans.
Par contre décrire la réalité de la vie d'un photographe avant de se lancer, est une bonne chose. Même si décrire le "frigo vide" reste assez virtuel pour celui qui n'a pas connu.

Un jeune que j'ai croisé avant qu'il ne commence ses études, m'a dit qu'il voulait être photographe, mais que ses parents ne voulaient pas. Il fait maintenant une école de commerce. Je lui ai dit que je comprenais ses parents, ils n'ont pas envie de voir un de leurs enfants en galère, mais c'est castrateur comme raisonnement.
May the Pasta be with you

muadib

Citation de: thierry01150 le Février 24, 2015, 11:17:33
Un jeune que j'ai croisé avant qu'il ne commence ses études, m'a dit qu'il voulait être photographe, mais que ses parents ne voulaient pas. Il fait maintenant une école de commerce. Je lui ai dit que je comprenais ses parents, ils n'ont pas envie de voir un de leurs enfants en galère, mais c'est castrateur comme raisonnement.

Même quand il y avait du boulot, c'était difficile parce que la concurrence était très dure. S'il a écouté ses parents, je ne pense pas que même à l'époque il aurait réussi à faire carrière dans la photo faute de motivation.

OuiOuiPhoto

Citation de: muadib le Février 24, 2015, 11:26:44
Même quand il y avait du boulot, c'était difficile parce que la concurrence était très dure. S'il a écouté ses parents, je ne pense pas que même à l'époque il aurait réussi à faire carrière dans la photo faute de motivation.

+1. J'ai une copine comme cela qui a imposé a son fiston son école. Ben le gamin il a abandonné car pas motivé. Avec mes enfants j'ai un système plus simple. Tu fais ce que tu veux et je paye a partir du moment ou tu es motivé. Pas de motivation je ne paye pas. Car ce qui va permettre de se démarquer par rapport a un autre c'est la motivation. Bon yen a deux motivés pour être ingénieur dans des domaines porteurs donc c'est plus facile ;)

Inka

Citation de: OuiOuiPhoto le Février 24, 2015, 11:45:42
Tu fais ce que tu veux et je paye a partir du moment ou tu es motivé.

Mon père faisait comme ça.
Carolorégien

esperado

Perso, j'ai exercé toutes les pressions possibles (arguments) pour que mon fils ne s'engage pas dans une voie trop difficile ou incertaine. Convaincu que, s'il manifestait une passion assez puissante, il passerait outre de toutes façons. On ne peut empêcher une vraie vocation et ce ne serait pas souhaitable.

jdm

  La question du fil me touche car gagnant ma vie dans un métier parallèle, des amis veulent me parler de leur fille qui voudrait devenir photographe et il me semble que dans la photo, comme dans beaucoup d'autres voies (architecture, graphisme, musique), il faut que la motivation du jeune soit en béton et avec des projets plus ou moins personnels dans le domaine

Dans le souvenir de mes 20 ans (j'en ai 50...), considérer les études que je cite était conseillé pour ceux qui avaient déjà un poste en vue pour gagner leur vie (c'était le point de vue Télérama à l'époque dans leurs pages "métiers d'art"  ;D), finalement pas grand chose n'a changé, les écoles n'ont jamais garanti un emploi ... mais on ne doit pas non plus casser les motivations des gamins si elles sont profondes...

Il faut à mon avis leurs conseiller de passer minimum un BAC, le plus général possible dans un domaine approchant, et essayer l'entrée aux écoles supérieures citées au début du fil, selon leurs capacités, bref, pas évident tous ça ! :-\

Il ne faut pas négliger que l'on a vécu une contraction de beaucoup de métiers, photographes, graphistes, tireurs, imprimeurs, sérigraphes et j'en passe, alors s'enfermer dans une spécialisation trop tôt, non merci!  ;D
dX-Man

stratojs

Le maître mot est lâché: la motivation. Il en faut pour tout dans la vie, mais encore plus dans les métiers "artistiques", exactement comme en sport.
Même si comparativement à maintenant, il semble que c'était plus facile avant, il ne faut pas croire que cela arrivait tout seul.
Il y a toujours eu peu de place au dessus du panier, quel que soit le pique-nique!

Inka

Citation de: jdm le Février 24, 2015, 12:28:28
Il ne faut pas négliger que l'on a vécu une contraction de beaucoup de métiers, photographes, graphistes, tireurs, imprimeurs, sérigraphes et j'en passe, alors s'enfermer dans une spécialisation trop tôt, non merci!  ;D

Photograveur était un beau métier qui n'existe plus ou presque, c'est comme rémouleur...
Carolorégien

roidufeu

Étonnamment, plein de métiers et donc d'opérations ont disparu, mais la photo est toujours aussi chère pour ceux qui en achètent !

langagil

Citation de: OuiOuiPhoto le Février 24, 2015, 11:45:42
+1. J'ai une copine comme cela qui a imposé a son fiston son école. Ben le gamin il a abandonné car pas motivé. Avec mes enfants j'ai un système plus simple. Tu fais ce que tu veux et je paye a partir du moment ou tu es motivé. Pas de motivation je ne paye pas. Car ce qui va permettre de se démarquer par rapport a un autre c'est la motivation. Bon yen a deux motivés pour être ingénieur dans des domaines porteurs donc c'est plus facile ;)

J'ai réussi la fin de mes études dès que mes parents ont compris çà. Bon la vérité est qu'ils n'ont rien compris mais ont baissé les bras face à mes échecs voulus, répétitifs et successifs. Mon père, ingénieur civil, désirait que je sois ingénieur/architecte et ma mère,responsable de salle du service "bloc opératoire" d'un grand hôpital me projetait en généraliste/chirurgien (ou architecte à la rigueur). Moi j'avais un coté artiste tête en l'air  ::) ::)
Dès que j'ai eu carte blanche: choix de l'établissement et de l'orientation mais obligation de réussite (même pas avec grande distinction juste réussite  :D ) les problèmes se sont envolés  8)
En en revient toujours au même point: les parents doivent éduquer leur(s) enfant(s) mais les adultes devraient être éduqués à devenir parents.  :)
LabelImage

muadib

Citation de: roidufeu le Février 24, 2015, 22:08:47
Étonnamment, plein de métiers et donc d'opérations ont disparu, mais la photo est toujours aussi chère pour ceux qui en achètent !

Je suppose que tu ne fais pas référence aux microstocks  ;)

OuiOuiPhoto

Citation de: stratojs le Février 24, 2015, 18:04:31
Le maître mot est lâché: la motivation. Il en faut pour tout dans la vie, mais encore plus dans les métiers "artistiques", exactement comme en sport.

C'est d''ailleurs pour cela que je demande plus de motivation a ma dernière qu'aux deux autres qui sont sur une voie plus "Standard"

roidufeu

#69
Citation de: muadib le Février 25, 2015, 09:28:08
Je suppose que tu ne fais pas référence aux microstocks  ;)

Je sais pas ? Je connais pas les microstocks ?  ???

Je pensais à ça :
J'imagine que des photos de mode pour un défilé par exemple coutent surement très cher à celui qui les commande et qui les achète.

edit: je viens d'aller voir la définition des microstocks. Me voilà moins bête !

Fradel

Citation de: roidufeu le Février 24, 2015, 22:08:47
Étonnamment, plein de métiers et donc d'opérations ont disparu, mais la photo est toujours aussi chère pour ceux qui en achètent !

c'est quoi " la photo" ?

Vous avez des références concrètes sur "la photo" ?

roidufeu

J'ai mis un exemple sur le post du dessus !

Je dis ça mais je peux me tromper !

Fradel

Citation de: roidufeu le Février 25, 2015, 14:04:37
J'ai mis un exemple sur le post du dessus !

Je dis ça mais je peux me tromper !

C'est ça, vous imaginez, vous supposez, mais en même temps, vous affirmez : " La photo est toujours aussi chère ....".

Bref, cette phrase à l'emporte pièce qui englobe tout et n'importe quoi, dans un fil concernant la réalité (ou son approche), du métier de la photographie,  est assez maladroite, pour le moins.

Heureusement qu'on peut se tromper, mais on est pas obligé d'être péremptoire.  :)

muadib

Citation de: roidufeu le Février 25, 2015, 10:30:47

J'imagine que des photos de mode pour un défilé par exemple coutent surement très cher à celui qui les commande et qui les achète.


Ce qu'il faut comprendre, c'est que le coût d'une photo tient avant tout à l'idée que s'en fait celui qui l'achète.
Lorsque j'ai commencé ce métier à la fin des années 70, dans l'idée de tous les clients, une photo ça coûtait des sous.
Les photographes étaient des spécialistes avec un matériel dédié, et des labos pros qui développaient les films coûtaient une fortune. C'était un marché concurrentiel et de jeunes photographes qui démarraient pouvaient essayer de casser les prix, mais ça ne durait jamais longtemps parce qu'ils avaient du s'endetter pour acquérir leur matériel, plus ils bossaient plus ils devaient s'équiper, bref ou ils déposaient le bilan très vite ou ils augmentaient leur prix. Il pouvait  y avoir de très grosses différences de prix selon la notoriété du photographe, mais le moins cher était déjà hors de prix selon les critères d'aujourd'hui. Parfois les entreprises avaient un jeune cadre dynamique muni d'un reflex qui se proposait pour faire les photos à la place du pro, mais il se plantait dès qu'il y avait des photographies à réaliser en intérieur (et je ne parle même pas de tout ce qui devait être fait impérativement en studio) parce que la gestion de la couleur c'était un métier en argentique. La cession de droit sur les photos préexistantes se faisait essentiellement au travers de quelques grosses agences qui avaient de gros frais de fonctionnement, iconographes pour référencer, archiver, retrouver les images, petites mains pour tout le reste, et des frais de tirages, duplis etc. à chaque fois que de nouvelles images étaient référencées ou vendues. Leur fonctionnement même supposait que les prix restent élevés. En plus c'était une époque où les entreprises pouvaient dépenser des budgets indécents juste pour refaire leurs cartes de visites, et la qualité des photos était très importante vis à vis de l'idée que l'entreprise se faisait d'elle-même et de l'idée qu'elle voulait donner à l'extérieur.

Aujourd'hui, c'est tout l'inverse. Une photo dans l'esprit de celui qui l'achète, à supposer qu'il la paie, ça ne vaut rien ou presque et c'est le cas. Il n'y a plus de frais techniques, la gestion de la colorimétrie des appareils numériques et des logiciels permet de réaliser des photos que l'on n'aurait pu imaginer en argentique, sans expertise ou avec une expertise très limitée, et avec un matériel relativement bon marché. Les microstocks ont totalement cassé le marché de la photographie préexistante. C'est le photographe qui indexe ses images et qui les met en ligne, le client qui fait la recherche et elles sont alimentées mondialement par des photographes amateurs qui ne recherchent pas une rentabilité économique mais une reconnaissance sociale. Au démarrage des microstocks, des agences en ligne ont essayé de maintenir un système à un coût plus raisonnable en sélectionnant les images, en les faisant indexer par des iconographes ou au moins en faisant vérifier l'indexation souvent fantaisiste sur les microstocks pour faire gagner du temps aux clients et leur proposer des images de meilleur qualité. Mais elles ont du renoncer parce qu'entre une photo médiocre mais considérée comme utilisable par le client à 1 dollar et une photo superbe mais 100 ou 1000 fois plus chère selon son utilisation, le client préférait son image à 1 dollar. Et Pour ce qui est de la photo en entreprise, maintenant si le cadre est jeune l'entreprise s'attend même à ce qu'il réalise les photos des projets qu'il suit.

Alors il reste des niches. Je n'ai pas fait de mode depuis plus de 30 ans, donc je suis ici dans la supputation. Je pense que les commandes publicitaires pour la mode reste bien payée. Ne serait-ce que parce qu'elle suppose un personnel important (coiffeur, maquilleur, styliste) et que c'est un milieu où on a une haute idée de ce que l'on fait, mais pour ce qui est des défilés, si ça se trouve les photographes ne sont même pas payés par l'organisateur, ou alors au lance pierre, en échange d'une accréditation pour réaliser les images du défilé, et ensuite ils vendent comme ils peuvent leurs images à la presse étant entendu que les grosses agences genre AFP salarient des photographes dont les photos sont vendues au travers d'abonnement mensuel à la presse. 

roidufeu

Citation de: Fradel le Février 25, 2015, 14:54:02
C'est ça, vous imaginez, vous supposez, mais en même temps, vous affirmez : " La photo est toujours aussi chère ....".

Bref, cette phrase à l'emporte pièce qui englobe tout et n'importe quoi, dans un fil concernant la réalité (ou son approche), du métier de la photographie,  est assez maladroite, pour le moins.

Heureusement qu'on peut se tromper, mais on est pas obligé d'être péremptoire.  :)


A vous lire on pourrait penser que "la photo" est pas chère alors ? Tant mieux pour ceux qui l'achètent.