En Tunisie

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21/43- Regard

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22/43- Regard

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23/43- Regards croisés

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24/43- Aveugles appartenant à une chorale religieuse

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25/43- Un vénérable

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26/43- Regard

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27/43- Sidi Mansour

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28/43- Les dômes (Mosquée de Monastir)

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29/43- L'artisan

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30/43- Minutie

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31/43- Un moucharabieh...bien ajouré !

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32/43- Hospitalité

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« Hospitalité » : je me souviens bien des circonstances de cette photo. Elle met en scène, pieds sous la table, un ami tunisien (Ali) que j'appréciais beaucoup. Il s'intéressait au soufisme, à la sagesse hindoue et m'avait même fait découvrir Sri Aurobindo ! Un matin, depuis Sfax, nous avons décidé d'effectuer une petite descente sur Gabès. Nous sommes arrivés en fin de matinée et je l'ai invité à manger dans un resto de la ville. « Pas question » m'a-t-il aussitôt répondu. « J'ai des cousins éloignés qui résident ici et que je n'ai pas vus depuis très très longtemps. » Moi = « Mais tu ne manques pas de culot quand même ! tu nous invites comme ça, et à l'heure du repas en plus, sans t'être annoncé chez des gens que tu n'as pas vus depuis des lustres? » Lui = « Ah ! Mais tu ne mesures pas l'étendue des liens familiaux chez nous ni ce que c'est que l'hospitalité au pays ! »

Je l'ai suivi alors, un peu gêné quand même, mais nous avons été fort bien reçus. Le mari de cette cousine s'est vite éclipsé car il avait déjà mangé et reprenait son travail à ce moment-là, son épouse est vite repassée à la cuisine et nous a servis comme des princes ! C'est elle qui apparaît à gauche sur la photo, en robe de chambre et qui nous couve d'un sourire bienveillant.

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33/43- Aumône (ou zakat, le troisième des cinq piliers de l'islam)

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34/43- Travaux des champs.  

J'avais demandé au même ami (Ali) quel titre je pourrais bien donner à cette photo. Il m'avait répondu avec une pointe d'humour : « Le caporal » !!!

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35/43- Jeune lycéenne (Jebeniana)

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36/43- Collégiens (Jebeniana)

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Ce qui me frappait quand je circulais dans le pays, c'était le nombre d'écoles primaires et de collèges que l'on pouvait trouver dans ses coins les plus reculés.  Depuis l'indépendance en 1956, l'éducation en Tunisie a toujours fait l'objet d'une politique très volontariste et a toujours été considérée comme un facteur de développement économique majeur.

En 2012, le taux d'alphabétisation des jeunes (garçons) de 15 à 24 ans était de 98,2 %. Et celui des filles de 96,1 %. Source UNICEF : http://www.unicef.org/french/infobycountry/Tunisia_statistics.html

Malheureusement, le chômage des jeunes (et même diplômés) est aujourd'hui un véritable fléau pour le pays : 18 % des Tunisiens âgés entre 19 et 25 ans seraient totalement oisifs en 2014.

Source : http://www.huffpostmaghreb.com/2014/04/29/tunisie-jeunes-oisifs_n_5233603.html

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37/43- Sfax. « On refait le monde » au café, à l'entrée des deux villes : la ville moderne (à gauche) et la ville ancienne (ou médina à droite)

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38/43- À l'huilerie

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39/43- À l'honneur : oliveraies et huileries

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En Tunisie, et depuis très longtemps, la filière oléicole constitue une composante principale des secteurs agricole et agroalimentaire. L'olivier à huile couvre à lui tout seul environ le tiers des terres agricoles cultivées. Il contribue aujourd'hui à la formation du revenu de plus de 200.000 exploitants agricoles et près d'un million de familles sont employées dans les différents maillons de la filière.

Source : http://ressources.ciheam.org/om/pdf/b14/CI960053.pdf

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40/43 -  Que réserve demain ?

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41/43- La voie étroite

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42/43- Une longue, une si longue marche...