Nouveauté Profoto de novembre 2013 -> quid?

Démarré par Lyr, Novembre 05, 2013, 11:09:35

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iceman93

Citation de: nmeunier le Novembre 21, 2013, 11:53:19
Non ca n'existe pas.

Il existe des bouquins qui montre, utiliser de la même manière, la différence entre les modeleurs mais ca ne suffit pas.

Par contre Profoto edite un livre qui explique quand même beaucoup beaucoup de choses.

Pour te dire c'est à cause de se manque, c'est à dire une approche globale et plus scientifique qu'empirique, que je me suis mis à animer des formations.

Maintenant justement il n'y a pas une manière de se servir d'un modeleur, on peut en faire ce qu'on veut. C'est pour ca qu'il y a tant d'images diférentes.
ok je me doute bien que la manière d'utiliser un modeleur peut changer une image  ;)
n'aurais tu pas la référence du livre profoto? ou est ce un catalogue commercial?
hybride ma créativité

Nicolas Meunier

Citation de: iceman93 le Novembre 21, 2013, 13:08:52
ok je me doute bien que la manière d'utiliser un modeleur peut changer une image  ;)
n'aurais tu pas la référence du livre profoto? ou est ce un catalogue commercial?


Ce n'est aucunement un catalogue commercial c'est juste que ca s'appuie sur l'ensemble des modeleurs Profoto mais en expliquant le pourquoi du comment, c'est pas parfait mais le mieux que je connaisse pour l'instant.

Faut que je retrouve mon exemplaire, c'est en vente mais je ne sais plus où.

Sinon tu peux regarder quelques trop rares video d'Andrea, le photographe italien qui représente Profoto partout dans le monde et qui donne des cours de lumières pour les gros studios et les formateurs du monde entier. Il essaie de mettre beaucoup de détail dans l'explication de ses choix de modeleurs et comment il les différencie. Sur youtube il y a sa presentation au japon où en direct il monte son setup, c'est pas mal interessant.

giampaolo

Citation de: nmeunier le Novembre 21, 2013, 13:13:57
/..../ Sinon tu peux regarder quelques trop rares video d'Andrea, le photographe italien qui représente Profoto partout dans le monde et qui donne des cours de lumières pour les gros studios et les formateurs du monde entier. Il essaie de mettre beaucoup de détail dans l'explication de ses choix de modeleurs et comment il les différencie. Sur youtube il y a sa presentation au japon où en direct il monte son setup, c'est pas mal interessant.

Nicolas, je suppose que tu parles d'Andrea Zini. Mais quelle est cette vidéo au Japon dont tu parles? Je n'ai pas trouvé. Merci par avance.  :)

Olivier Chauvignat

#253
Citation de: iceman93 le Novembre 21, 2013, 11:27:41
vu qu'il y a du lourd sur ce fil j'en profite pour une tite question : y aurait pas un tuto ou un bouquin sur les modeleurs pour apprendre quoi utiliser et en quelle circonstance suivant le rendu désiré?

Bonne question, mais non ça n'existe pas. Il y a une infinité de combinaisons, de styles et d'angles possibles.
A tel point que l'on pense plus par "ambiances" que par modeleurs/distances/angles/ratios

Lorsqu'un client arrive, ou un agent de personnalité (acteur, chanteur), il va te demander une ambiance. Pas un modeleur...
Il faut donc être capable de transcrire un "mood" (une humeur, ambiance) en utilisant tes modeleurs, angles, ratios et surout... contrastes. En effet, le contraste du setup est le facteur premier du mood (bien plus que l'acutance)

C'est pour cela que les Workshops existent. En ce qui me concerne, je passe bcp de temps a parler des ambiances, documentation a l'appui.
Photo Workshops

Olivier Chauvignat

Sur cette image par exemple, l'agent d'artiste avait un brief assez précis, et l'artiste elle même des impératifs également. Si on refait des images avec Loïs pour un autre usage que cette photo, on aura un mood différent. Le choix des modeleurs et dicté par l'ambiance (et non l'inverse)

http://www.olivier-chauvignat.fr/photographer/fil/lois_presse_2013.11.18_A1249019_22_compositebig.jpg
Photo Workshops

arno06

Citation de: Olivier Chauvignat le Novembre 21, 2013, 14:35:19
Sur cette image par exemple, l'agent d'artiste avait un brief assez précis, et l'artiste elle même des impératifs également. Si on refait des images avec Loïs pour un autre usage que cette photo, on aura un mood différent. Le choix des modeleurs et dicté par l'ambiance (et non l'inverse)

http://www.olivier-chauvignat.fr/photographer/fil/lois_presse_2013.11.18_A1249019_22_compositebig.jpg

Question bête mais comment décrirais tu l ambiance sur la photo en question ?

Olivier Chauvignat

Citation de: arno06 le Novembre 21, 2013, 17:26:10
Question bête mais comment décrirais tu l ambiance sur la photo en question ?


je te laisse le soin d'en faire ta propre interprétation ;)
Photo Workshops

iceman93

Citation de: nmeunier le Novembre 21, 2013, 13:13:57
Ce n'est aucunement un catalogue commercial c'est juste que ca s'appuie sur l'ensemble des modeleurs Profoto mais en expliquant le pourquoi du comment, c'est pas parfait mais le mieux que je connaisse pour l'instant.

Faut que je retrouve mon exemplaire, c'est en vente mais je ne sais plus où.

Sinon tu peux regarder quelques trop rares video d'Andrea, le photographe italien qui représente Profoto partout dans le monde et qui donne des cours de lumières pour les gros studios et les formateurs du monde entier. Il essaie de mettre beaucoup de détail dans l'explication de ses choix de modeleurs et comment il les différencie. Sur youtube il y a sa presentation au japon où en direct il monte son setup, c'est pas mal interessant.
merci pour cette explication  ;)
hybride ma créativité

iceman93

Citation de: Olivier Chauvignat le Novembre 21, 2013, 14:22:38
Bonne question, mais non ça n'existe pas. Il y a une infinité de combinaisons, de styles et d'angles possibles.
A tel point que l'on pense plus par "ambiances" que par modeleurs/distances/angles/ratios

Lorsqu'un client arrive, ou un agent de personnalité (acteur, chanteur), il va te demander une ambiance. Pas un modeleur...
Il faut donc être capable de transcrire un "mood" (une humeur, ambiance) en utilisant tes modeleurs, angles, ratios et surout... contrastes. En effet, le contraste du setup est le facteur premier du mood (bien plus que l'acutance)

C'est pour cela que les Workshops existent. En ce qui me concerne, je passe bcp de temps a parler des ambiances, documentation a l'appui.
ok ... merci de me rappeler que je suis un gros débutant  :D :D :D  ;)
bon en fait suivant ce qui est voulu (ambiance, rendu etc ... ) il faut choisir le bon matos et la il faut apprendre en stage car y a pas de bouquin

faut que je me trouve une mamie zinzin pour le financement  ;D
hybride ma créativité

arno06

Citation de: Olivier Chauvignat le Novembre 21, 2013, 17:38:28
je te laisse le soin d'en faire ta propre interprétation ;)

Justement c etait le but de ma question Olivier, j aimerai savoir ce que le DA/client te demande pour que tu arrives a cela.

Deuxieme question: C est fait avec quel diaph/focale ?

Merci,
Arno

Olivier Chauvignat

Citation de: iceman93 le Novembre 21, 2013, 19:20:30
ok ... merci de me rappeler que je suis un gros débutant  :D :D :D  ;)
bon en fait suivant ce qui est voulu (ambiance, rendu etc ... ) il faut choisir le bon matos et la il faut apprendre en stage car y a pas de bouquin

faut que je me trouve une mamie zinzin pour le financement  ;D

tu peux apprendre par toi même. Le stage est un raccourci
Photo Workshops

iceman93

Citation de: arno06 le Novembre 21, 2013, 17:26:10
Question bête mais comment décrirais tu l ambiance sur la photo en question ?

ambiance jeun's ...  ;)
hybride ma créativité

airV

Citation de: nmeunier le Novembre 21, 2013, 13:13:57
Ce n'est aucunement un catalogue commercial c'est juste que ca s'appuie sur l'ensemble des modeleurs Profoto mais en expliquant le pourquoi du comment, c'est pas parfait mais le mieux que je connaisse pour l'instant.

je me demande si le livre Light architecture 2 de Urs Recher mais chez broncolor cette fois n'est pas un peu du même ordre.

j'ai feuilleté très rapidement un exemplaire l'autre jour chez eux.

Nicolas Meunier

Citation de: iceman93 le Novembre 21, 2013, 19:20:30
ok ... merci de me rappeler que je suis un gros débutant  :D :D :D  ;)
bon en fait suivant ce qui est voulu (ambiance, rendu etc ... ) il faut choisir le bon matos et la il faut apprendre en stage car y a pas de bouquin

faut que je me trouve une mamie zinzin pour le financement  ;D

Le stage n'est pas l'unique solution mais par contre avoir une démarche de conception de ses séances oui.

Quand j'anime une formation technique on ne part aps d'une feuille blanche, on part d'un scenario et on deroule une méthodologie qui permet de définir les contraintes et besoins que cela entraine... et delà arrive assez naturellement des possibilités en terme de lumière.

On aprle bien de possibilités par aps 2 photographes ne feront pareil mais c'est en cresant qu'on comprend parfois pourquoi.

Typiquement certaines images que je montre de Patrick Demarchelier après retouche ressemble a des photos d'august Bradley... cependant August Bradley aura passé une journée pour une image (et encore parfois beaucoup plus), ca lumière sera très complexe et le besoin de postprod très faible... mais ce rythme va bien a de l'expo pas à un edito où il faut sortir une 15ène d'images dans la journée.

Demarchelier lui va faire une lumière simple (en nombre de source) mais qui va permettre d'assurer un resultat qui sera finaliser en postprod.

Le resulat est très proche mais besoins et contraintes sont différents.

preshovich

La ou cela va devenir intéressant c'est les prochaine générations d3 génés autonomes ttl.

iceman93

Citation de: nmeunier le Novembre 22, 2013, 10:24:51
Le stage n'est pas l'unique solution mais par contre avoir une démarche de conception de ses séances oui.

Quand j'anime une formation technique on ne part aps d'une feuille blanche, on part d'un scenario et on deroule une méthodologie qui permet de définir les contraintes et besoins que cela entraine... et delà arrive assez naturellement des possibilités en terme de lumière.

On aprle bien de possibilités par aps 2 photographes ne feront pareil mais c'est en cresant qu'on comprend parfois pourquoi.

Typiquement certaines images que je montre de Patrick Demarchelier après retouche ressemble a des photos d'august Bradley... cependant August Bradley aura passé une journée pour une image (et encore parfois beaucoup plus), ca lumière sera très complexe et le besoin de postprod très faible... mais ce rythme va bien a de l'expo pas à un edito où il faut sortir une 15ène d'images dans la journée.

Demarchelier lui va faire une lumière simple (en nombre de source) mais qui va permettre d'assurer un resultat qui sera finaliser en postprod.

Le resulat est très proche mais besoins et contraintes sont différents.
on est plus dans le basic la  ;) ca donne une idée du travail a faire
hybride ma créativité

Laure-Anh

Citation de: Pierock le Novembre 21, 2013, 07:49:44
Je vais peut être en faire râler plus d'un mais ce débat sur le 1/10 IL de précision est pour moi simplement un problème de sensibilité/expérience du photographe.
...
Personnellement, j'improvise énormément car je manque énormément de pratique et d'heures derrière mon écran. Je constate mes progrès à chaque séance et l'écart et le chemin à parcourir. Aussi, le travail à 1/10 d'IL pour moi reste une utopie, par rapport à ma connaissance de mon matériel de prise de vue, de mes flashs, de mes modeleurs et de mon post-traitement.
...

En matière de photographie rapide et ultra-rapide, le travail de Ghislain Simpho fait référence à mes yeux : c'est le niveau d'excellence auquel il faut aspirer, un savoir-faire vers lequel je dois tendre et concentrer mes efforts.

En photo de portrait & studio, on utilise des modeleurs précis pour obtenir un façonnage précis de la lumière, on place ses sources au cm près, on mesure les puissances au 1/10 IL près : c'est également le niveau d'excellence auquel il faut aspirer, un savoir-faire vers lequel je dois tendre et concentrer mes efforts. Une précision au 1/10 IL n'est pas - du moins pour moi - un problème de sensibilité/expérience du photographe. Dès lors qu'un boîtier précis au 1/3 IL près est en mesure d'enregistrer une variation de lumière de l'ordre du 1/10 IL, il est intéressant et nécessaire afin d'acquérir une maîtrise aussi approfondie que possible de la photo au flash d'apprendre et de savoir façonner et enregistrer une variation de lumière de l'ordre du 1/10 IL. Souhaiter atteindre une précision au 1/10 IL, cela m'a obligé à faire au préalable le point sur mes acquis au flash : en portrait et en photo de studio, quand on travaille avec deux sources, on mesure au flashmètre en lumière incidente les deux sources séparément mais en les actionnant simultanément pour tenir compte des éventuels chevauchements de lumière en provenance des deux sources et pour tenir compte des éventuelles réflexions de lumière de l'une et l'autre sur le sujet principal et le décor environnant ; quant à moi, pendant longtemps  je mesurais au plus en lumière réfléchie la seule lumière ambiante existante mais à aucun moment je n'ai mesuré l'écart de contrastes entre lumière ambiante et flash, ni l'effet conjugué de ces deux sources. Allais-je continuer comme çà ou est-ce que j'allais commencer à faire les choses plus sérieusement, comme elles devraient et doivent être faites ?

Je pensais, il fût un temps, que la précision de l'automatisme TTL en mode A et mesure évaluative était de l'ordre du 1/3 IL. Et bien, cela n'est pas vrai. O.C disait dans une page précédente qu'il partait du principe "qu'une mesure TTL est fausse car elle dépend du coefficient de réflexion du sujet sur lequel la mesure est réalisée"...En réalité, elle ne dépend pas que du coefficient de réflexion du sujet sur lequel la mesure est réalisée, c'est pire que ça.

Avoir en point de mire - sans nécessairement l'atteindre - une précision de 1/10 IL en photographie au flash a été une révélation : cela m'a fait prendre conscience à quel point le degré de précision atteint quand on travaille au flash en mode TTL est...imprécis et aléatoire. Celui qui m'a initié à la photographie de portrait a contribué à enlever la crotte que j'avais sur les yeux, m'a inculqué une rigueur qui ne m'était pas familière, et par conséquent m'a permis de progresser énormément, de franchir un cap réellement important que je n'aurais pas franchi sans son aide.

Voilà pour ce qui est mon retour de débutante en portrait & studio à propos de la précision au flash, en espérant que cela aide d'autres débutants.

giampaolo

Citation de: Laure-Anh le Novembre 27, 2013, 18:33:03
/.../ Celui qui m'a initié à la photographie de portrait a contribué à enlever la crotte que j'avais sur les yeux, m'a inculqué une rigueur qui ne m'était pas familière, et par conséquent m'a permis de progresser énormément, de franchir un cap réellement important que je n'aurais pas franchi sans son aide. /.../

Et qui est donc ce brave homme ou cette brave femme?  ;)

Un commentaire sous forme de boutade: il est important d'avoir une balance à la cuisine qui mesure avec une grande précision, au gramme près, la quantité de sel ou de sucre que l'on va mettre dans la cuisson. Mais ce n'est pas la balance qui décide, c'est le cuisto.  ;)

Donc Laure-Anh, si je te comprends bien, si tu photographies en studio un portrait avec une source unique, si tu veux réaliser la photo à F8, tu règles ta lumière jusqu'à ce que ton flashmètre te dise F8 et tu fais la photo. OK, c'est classique. Cela ne t'arrive pas monter la puissance de ton flash de 3/10, voire 5/10 voire plus et donc de déroger à la règle de la précision?  Ne serait-ce que pour exploiter au mieux les capacités de ton capteur? :)

PS: je dis bien avec une source unique!

Laure-Anh

Citation de: giampaolo le Novembre 27, 2013, 19:42:45
Un commentaire sous forme de boutade: il est important d'avoir une balance à la cuisine qui mesure avec une grande précision, au gramme près, la quantité de sel ou de sucre que l'on va mettre dans la cuisson. Mais ce n'est pas la balance qui décide, c'est le cuisto.  ;)

Donc Laure-Anh, si je te comprends bien, si tu photographies en studio un portrait avec une source unique, si tu veux réaliser la photo à F8, tu règles ta lumière jusqu'à ce que ton flashmètre te dise F8 et tu fais la photo. OK, c'est classique. Cela ne t'arrive pas monter la puissance de ton flash de 3/10, voire 5/10 voire plus et donc de déroger à la règle de la précision?  Ne serait-ce que pour exploiter au mieux les capacités de ton capteur? :)

PS: je dis bien avec une source unique!

Quand je mets une petite coupelle de 50g sur la balance de la cuisine et que j'ajoute du sucre jusqu'à ce que la balance marque 150g car la recette requiert 100g de sucre...je me plante ! Car quand j'actionne la balance de maman avec la coupelle posée dessus, la balance en question pèse et soustrait automatiquement le poids de la tare si bien que les 150g affichés représentent en pratique 150g de sucre, soit moitié plus de sucre que nécessaire.

De même que je commence par apprendre à peser une quantité donnée de sucre ou de sel avec justesse et précision, je commence par apprendre à mesurer une quantité de lumière utile donnée avec justesse et précision. Je ne me soucie pas d'augmenter la puissance du flash pour exposer à droite les hautes lumières utiles en enregistrement RAW. Je ne me soucie pas non plus de sous-exposer mon fichier d'un 1/2 IL car "le rendu sera plus dramatique". Je n'ai pas ton niveau. Je suis au stade du portrait posé serré car la gestion des bras et des mains me pose problème et dépasse mes compétences actuelles. A mon niveau, j'expose pour que le gris soit gris, et par conséquent pour que le blanc soit blanc tandis que le noir soit noir.

Bien à toi,

Kadobonux

décidemment l humilité n est pas ton fort, Laure-Ahn

amusant, ou plutôt detestable,  de te voir donner des leçons à des pros, alors que tu te prétends débutante (mais pas pour longtemps, on l'a compris)

Michel

Quand je mets une petite coupelle de 50g sur la balance de la cuisine et que j'ajoute du sucre jusqu'à ce que la balance marque 150g car la recette requiert 100g de sucre...je me plante ! Car quand j'actionne la balance de maman avec la coupelle posée dessus, la balance en question pèse et soustrait automatiquement le poids de la tare si bien que les 150g affichés représentent en pratique 150g de sucre, soit moitié plus de sucre que nécessaire.

C'est quoi ce calcul ? parce que j'ai une balance de cuisine électronique et si je veux 100 grammes de sucre dans une coupelle de 50 grammes, j'aurai - à condition de bien mesurer - 100 grammes de sucre et pas 150 !!!!

Laure-Anh

Citation de: Kadobonux le Novembre 18, 2013, 00:31:29
Laure-Anh
toi qui parles comme une pro de chez pro, as tu fait beaucoup de studio ?
au fait: es tu certaine que ta photo de "démonstration" est nette ?

Ecoute,
La première fois, j'ai laissé courir. J'ai eu tort.

Sauf erreur grossière de ma part, la discussion sur ce fil porte sur un nouveau produit portatif et autonome Profoto qui est un flash TTL avec un grand tube-éclair, fonctionnnant indiféremment sur boîtiers Canon et Nikon voire autres, d'une puissance de 500 Joules (= puissance de 10 flashes cobras les plus puissants), doté d'une télécommande d'une portée de 100m en TTL et de 300m en utilisation non TTL, conçu pour séduire des photographes de mariages, de sports, de reportages, des photographes animaliers,...bref, conçu pour séduire une nouvelle frange de photographes autres que les photographes de portrait et de studio qui sont déjà acquis à la marque. Dans ces conditions, en quoi est-il nécessaire d'avoir une quelconque pratique du studio pour juger du potentiel d'un flash TTL ?

Le B1 étant un flash TTL destiné à séduire des strobists actuellement utilisateurs de flashes cobras, j'ai donné mon avis de strobist. Si pour avoir la paix, je dois mettre en avant que je suis compétente alors, oui, je suis compétente en flash cobra.


Par exemple, un truc très bête : je me lève à l'aube pour affûter des guêpiers d'Europe qui vont consacrer tout leur temps à nourrir leurs nichées, je dispose le B1 afin qu'il éclaire impeccablement le perchoir où les oiseaux sont censés venir se poser à leur retours de chasse avec leurs proies en bec, je rejoins mon affût que je ne quitterai plus avant la fin de la journée pour éviter tout risque de dérangement. Entre deux passages de parents nourriciers, mon boîtier se met de temps à autre en mode veille et je suis amenée à le réveiller en pressant à mi-course le déclencheur. Qu'en est-il du B1 ? Je me dis que ce serait ballot que le flash se mette automatiquement en mode veille durant ma séance d'affût sans que Profoto ait prévu de permettre à l'utilisateur de réveiller le B1 à distance et/ou de débrayer sa mise "hors de tension" automatique. Tu peux penser que je parle comme une pro de chez pro. Pour ce qui me concerne, ce n'est pas le cas, je me soucie tout simplement, naturellement et à juste titre, d'un détail technique qui est d'une importance capitale pour la photographie au flash à l'affût quand sortir de temps à autre de l'affût pour ré-enclencher la mise sous tension du flash déporté est totalement proscrit.


Merci de me reprendre si j'écris des bêtises. Et merci de bien vouloir me laisser tranquille quand cela n'est pas le cas.


Kadobonux

#272
Citation de: Laure-Anh le Novembre 27, 2013, 22:12:45
Ecoute,
La première fois, j'ai laissé courir. J'ai eu tort.

Sauf erreur grossière de ma part, la discussion sur ce fil porte sur un nouveau produit portatif et autonome Profoto qui est un flash TTL avec un grand tube-éclair, fonctionnnant indiféremment sur boîtiers Canon et Nikon voire autres, d'une puissance de 500 Joules (= puissance de 10 flashes cobras les plus puissants), doté d'une télécommande d'une portée de 100m en TTL et de 300m en utilisation non TTL, conçu pour séduire des photographes de mariages, de sports, de reportages, des photographes animaliers,...bref, conçu pour séduire une nouvelle frange de photographes autres que les photographes de portrait et de studio qui sont déjà acquis à la marque. Dans ces conditions, en quoi est-il nécessaire d'avoir une quelconque pratique du studio pour juger du potentiel d'un flash TTL ?

Le B1 étant un flash TTL destiné à séduire des strobists actuellement utilisateurs de flashes cobras, j'ai donné mon avis de strobist.

Si pour avoir la paix, je dois mettre en avant que je suis compétente alors, oui, je suis compétente en flash cobra.


Par exemple, un truc très bête : je me lève à l'aube pour affûter des guêpiers d'Europe qui vont consacrer tout leur temps à nourrir leurs nichées, je dispose le B1 afin qu'il éclaire impeccablement le perchoir où les oiseaux sont censés venir se poser à leur retours de chasse avec leurs proies en bec, je rejoins mon affût que je ne quitterai plus avant la fin de la journée pour éviter tout risque de dérangement. Entre deux passages de parents nourriciers, mon boîtier se met de temps à autre en mode veille et je suis amenée à le réveiller en pressant à mi-course le déclencheur. Qu'en est-il du B1 ? Je me dis que ce serait ballot que le flash se mette automatiquement en mode veille durant ma séance d'affût sans que Profoto ait prévu de permettre à l'utilisateur de réveiller le B1 à distance et/ou de débrayer sa mise "hors de tension" automatique. Tu peux penser que je parle comme une pro de chez pro. Pour ce qui me concerne, ce n'est pas le cas, je me soucie tout simplement, naturellement et à juste titre, d'un détail technique qui est d'une importance capitale pour la photographie au flash à l'affût quand sortir de temps à autre de l'affût pour ré-enclencher la mise sous tension du flash déporté est totalement proscrit.


Merci de me reprendre si j'écris des bêtises. Et merci de bien vouloir me laisser tranquille quand cela n'est pas le cas.

puisque tu ne comprends pas du haut de ta jeunesse
on est sur un fil technique et j attends des réponses de ceux qui connaissent le matériel et l'utilisent
pas de celle qui se la pète, style première de la classe

(et on ne parle pas de flash cobra mais d'un dixieme d'IL en studio sur lequel on a droit a un cours magistral de ta part)

fin du dialogue stérile

Jean-Baptiste Ducastel

Jusqu'à présent Laure-Anh n'a agressé personne, juste expliqué la rigueur qu'elle souhaite avoir dans l'apprentissage du studio... C'est son point de vue, qu'on peux contester, mais je ne vois pas en quoi elle se la pète en écrivant ça... Ou alors j'ai vraiment loupé un épisode...

Laure-Anh

Kadobonux, tu as demandé ce que le B1 donnerait en photo animalière car tu photographies actuellement avec un flash cobra et un beamer. Ce n'est pas le genre de préoccupation qui préoccupera Nmeunier le jour où il aura des B1 en test.
D'autres ont posé leurs questions et émis leurs avis à propos du B1.

J'attends moi aussi avec impatience le retour d'expérience de Nmeunier qui a dit qu'il était sur le coup. Et j'ai soumis moi aussi quelques pistes de travail car mes besoins tout comme ton besoin ne sont pas - non plus - des besoins qui préoccuperont au premier chef Nmeunier, photographe de studio pro et non pas photographe strobist, le jour du test.

Pour l'instant, on parle en bien de l'automatisme TTL sans montrer comment ça marche réellement en priorité à l'ouverture et en mesure évaluative sans correction de l'exposition au flash.
Pour l'instant, on montre des photos de sujets en mouvements réalisés avec un reflex à la tombée de la nuit et non pas de photos d'action réalisées avec un reflex en plein jour. Les seules photos d'action réalisées avec le B1 en plein jour ont été faites au format moyen à 1/1600è s.
Pour l'instant, on ne voit aucune série de photos faites avec le B1 à raison de 6 ou 8 images par seconde alors que c'est un avantage décisif criant.
Pour l'instant, on ne voit aucune photo réalisée à hauts et très hauts ISO (c'est le cas des photos de mariage, des photos de famille et des photos animalières) où la préoccupation majeure est de réussir à restituer/sauvegarder l'ambiance en parvenant à équilibrer faible lumière disponible et éclair de flash.
Pour l'instant, on voit des photos réalisées avec deux B1 sans que l'on comprenne comment l'automatisme détermine que A est bien la source principale et B est effectivement la source d'appoint.
Pour l'instant, il semble que la télécommande AirTTL-C n'est pas compatible avec les boîtiers Canon pros 1D.

Je ne sais pas où tu as lu que j'ai donné des leçons aux pros. Tout au plus, j'ai signalé que la distance sujet-boîtier n'est pas prise en compte en automatisme e-TTL II quand on travaille en flash déporté, ce que ceux qui ne sont pas du tout intéressés par l'automatisme TTL ignorent le plus souvent.